Résultats de recherche pour “Claire Legat” 1 à 30 (120)

Belgiques

Dix-sept nouvelles, dix-sept textes très courts qui racontent, chacun, une certaine Belgique. Pas la Belgique telle qu’elle est, non. Ce que la Belgique pourrait ou aurait pu devenir, dans une version…

Quelque chose dans le ciel…

Qui a-t-il de commun entre un Parisien d’âge moyen travaillant dans une agence d’images et des apprentis djihadistes au Yémen ? Une photo. Celle…

Mon Père Noël à moi !

Voici revenu Noël‚ le temps des courses en luge‚ des bonshommes de neige et des cadeaux. Mais pour la première fois de sa vie‚ il y a un petit garçon…

L'école de Tibi

C'est enfin le premier jour d'école pour Tibi. Même si elle est loin de chez lui, le petit garçon est heureux d'y aller, avec son beau cahier tout neuf et son…

Al cwène dès djoûs

Le nom de Jean Collette évoquera des souvenirs à beaucoup ; homme de lettres, de théâtre, de radio et de télévision, il a produit une œuvre abondante et multiforme…

L’endroit défriché par le fou : Carnets d’une Côte d’Or

L’endroit défriché par le fou  : quel titre étrange ! C’est…

Anienda (tome 4) : Et la fin d’un monde

Le dernier opus de cette tétralogie nous immerge dans la cité d’Anienda deux ans après les péripéties du tome 3…

La Dodge

"J'ai fait des enfants sans y penser. Mais je savais (sans l'avoir clairement décidé avec des mots prononcés) qu'en les faisant j'étendais mon pouvoir car tel a été de tout temps le voeu de mon existence…

Le monde visible : Les aventures du réel

Luc Dellisse s’est fait dentellier. Ses dernières publications sont toutes des textes courts, des napperons de lettres tissées…

Boum ! Bam ! Boum !

Parfois, dans la maison de Lou, il n’y a pas de bruit du tout. Mais, d’autres fois, Lou fait des petits bruits : tic-tic-tic, avec le gravier. Alors Papa s’y met aussi : Vrôôôm.…

Surtout, n’ouvrez pas ce livre !

« Non mais pour qui tu te prends ? Depuis quand on ouvre un livre quand il est clairement marqué sur la couverture Surtout, n'ouvrez pas…

Les éblouis

Le nouvel opus d’ Aylin Manço commence en début d’année scolaire : Luce se réjouit d’entrer à l’internat mixte de Jamet afin de gagner en autonomie et de s’éloigner quelque peu d’une…

Nid de guêpes

Au village, une fête se prépare. Mais sous l’apparente bonhomie se cachent de sourdes rancoeurs : la fermeture du chenil, tenu par Rudi et sa femme Hélène, est l’objet d’une pétition.…

Eve Bonfanti et Yves Hunstad, accueillir l'inattendu : dialogue avec Frédérique Dolphijn

On connaît déjà les différentes collections littéraires et imagées des éditions belges Esperluète , cette maison qui soigne particulièrement les écritures singulières alliées à un art visuel de choix. La rentrée littéraire est pour Esperluète l’occasion de présenter une toute nouvelle collection, « Orbe », qui offre à lire, sous la forme des dialogues, des réflexions d’auteurs à propos de leur pratique d’écriture et de lecture. « Qui suis je ? C’est la question que les autres posent – et elle est sans réponse. Moi ? Je suis ma langue  » écrivait si justement le poète palestinien Mahmoud Darwish dans Une rime pour les Mu’allaqât en 1995. C’est par cette question complexe posée à l’auteur que s’entame chacun des dialogues d’« Orbe » . On habite sa langue moins qu’elle nous habite, moins qu’elle nous façonne et qu’elle nous hante. Disons-le : la langue évolue moins avec nous que nous auprès d’elle. Avec « Orbe », il est question de définir ce qui, pour chaque auteur a provoqué un désir lié à l’écrit. Ce désir, individuel et propre à chacun, s’inscrit dans un rapport au monde, à soi et à la lecture. L’enjeu, ici, sera de découvrir différents mécanismes et processus d’écriture et de création.La collection se veut ouverte à tous les genres littéraires, qu’il s’agisse du roman, de poésie, de nouvelles, de traduction, de théâtre, d’un scénario de film, de bande dessinée ou de littérature de jeunesse. Elle s’adresse à ceux qui s’intéressent au processus d’écriture ou aux auteurs interrogés en particulier, ainsi qu’aux enseignants et participants des ateliers d’écriture.Initiée par l’écrivain et cinéaste Frédérique Dolphijn , la collection présente trois premiers ouvrages dont elle signe le dialogue. Pour chacun d’eux, elle a choisi des mots à l’intention des auteurs. Ces derniers ont été piochés de manière aléatoire, les uns après les autres, et ont initié le début d’un nouveau chapitre et d’une ébauche de réflexion.L’emploi de la deuxième personne, tu , lors de chacun des entretiens, souligne le caractère spontané et non artificiel des dires de l’interrogeant comme de l’interrogé. Nul besoin de faire beau, ici, et c’est ce qui émeut dans le propos : d’entendre les rires et les hésitations entre les lignes nous fait nous, lecteurs, prendre part au dialogue à notre tour. Ève Bonfanti et Yves Hunstad, Accueillir l’inattendu Comment écrire pour enfin dire en public ? Dans cette conversation, il sera question de théâtre et d’une certaine écriture de la transmission.Eve Bonfanti et Yves Hunstad, tous deux acteurs et auteurs de théâtre, ont décidé de mêler leur virtuosité pour fonder la compagnie La fabrique imaginaire . Écrire en duo implique le challenge de la symbiose et de l’entente qui force à passer outre les questions d’égo. Deux écritures faites une, en perpétuel mouvement, donc, inattendue ;  en allers-retours de l’une à l’autre, où le public est partie prenante de la création et interroge sans cesse l’auteur. Imprévu Yves : On parle bien de l’écriture… Dans l’acte de jouer, il y a zéro imprévu. Sauf s’il y a un accident qui vient de l’extérieur. Mais de notre part, on ne crée pas d’imprévu quand on joue. On espère qu’il arrive pour orienter l’écriture, pour l’enrichir. Eve : Cet imprévu positif, là dans l’écriture et qui est reproduit après de manière illusoire dans le jeu, provoque une tension… presque une supra conscience dans le cerveau du public… Tout se tend vers ce moment : qu’est-ce qui va se passer ? Colette Nys-Mazure, Quelque chose se déploie C’est par ce dialogue avec Colette Nys-Mazure que s’est lancée la collection « Orbe ».Grande lectrice et enseignante inaltérable, l’incontournable poète, nouvelliste, romancière et essayiste dont l’œuvre a été récompensée de nombreux prix incarne plusieurs facettes de l’écriture poétique. Elle pose, dans ses pages comme dans son quotidien, un regard et une attention soutenus aux autres et à leurs écritures. L’autre C’est vraiment exigeant, l’autre… C’est à la fois l’autre en soi… d’étrange, de différent, d’inquiétant ; c’est l’autre, immédiat, avec qui on vit avec qui on tente de composer (…) Dans les livres que je fréquente, il y a une part des auteurs que j’ai appris à connaître. Mais il y a aussi tous ceux que j’ai envie de découvrir, que je ne connais absolument pas, et qui sont à des milliers de kilomètres de mes préoccupations ou de mes façons d’écrire (…) Il y a une rencontre avec un livre… mais une rencontre qui présuppose des deux côtés une disponibilité. Jaco Van Dormael, Écrire le chaos Qui sommes-nous ? Qu’est-ce que le sens, existe-t-il un sens, que faire de ce chaos qui nous traverse ? Cinéaste de l’imaginaire et de ce qu’il peut y avoir de grand dans l’enfance, Jaco Van Dormael pose chacune de ses réponses sous le signe du questionnement. Se définissant, à la suite de Luigi Pirandello, comme « Un, personne et cent mille  », il interroge avec nous le processus de création.C’est à l’écriture de scénario que Frédéric Dolphijn s’intéresse avec Jaco Van Dormael. On y découvre comment, écriture à part entière, elle induit également une création multiforme. Incarnation Celui qui incarne le plus, c’est l’acteur. C’est en ça que l’écriture que je fais est une écriture collective ! C’est à dire que je vis avec des fantômes pendant des années, dont je note les conversations par bribes, qui me sont très familiers, pour lesquels parfois j’ai de l’amour, parce que je les connais bien. Ils changent de visage régulièrement. (…) ce sont des « multi personnages. (…) En général on dit qu’il y a  trois écritures : l’écriture du scénario, l’écriture sur le plateau et l’écriture au montage. On ne parle jamais de la quatrième écriture, la plus importante : celle du spectateur qui retient certaines choses, en oublie d’autres, inverse les scènes, fait dire à tel personnage des choses qu’il n’a pas dites, et qui se réapproprie le film. Victoire de Changy Dans cette conversation, il sera question de théâtre et de l’écriture de la transmission. Comment dire pour un public ? Le spectateur devient partie prenante de la création dans les interrogations de ces deux auteurs de théâtre. Eve Bonfanti et Yves Hunstad ont décidé de mêler leurs talents ; écrire en duo implique une symbiose et une entente de travail qui dépasse les questions d’ego. La finalité est directement au centre du processus. Il ne s’agit donc pas de double jeu mais de construire cette présence à l’autre, induire la lecture d’un spectacle, l’écoute d’un texte. Accueillir l’inattendu, c’est admettre cette place du jeu, de l’improvisation, de l’accident et de l’imprévu. C’est le faire sien pour mieux avancer dans le processus d’écriture. Écriture qui se place ici clairement dans l’oralité, le son et le sens des mots faisant un, le jeu de l’acteur participant à l’écriture... Partageant avec générosité et enthousiasme ces moments d’écriture, Eve Bonfanti et Yves Hunstad mêlent leurs voix à celle de Frédérique Dolphijn pour une conversation triangulaire qui rebondit sans cesse, formant le kaléidoscope d’une écriture en mouvement.…

Le laveur de vitres

C’est à la première personne que Laurence Skivée nous emmène dans un fragment de sa vie. Le Laveur de vitres est un récit intime ponctué d’anecdotes. On l’accompagne…

Parler avec les dieux

Luc DELLISSE , Parler avec les dieux , Éléments de langage, 2022, 70 p., 14 €, ISBN : 978-2-930710-22-8Il est des mots que le pluriel trivialise. La multiplication ne leur…

La passe-miroir : La tempête des échos (tome 4)

Dans la saga de Christelle Dabos, La Passe-miroir, les écharpes vivent et traversent des mondes bien…

L'Effondrement (et après) expliqué à nos enfants... et à nos parents

Pablo Servigne Illustré par

C’est Lucie, 13 ans, qui s’adresse ainsi à son père.…

La ville endormie

Thibaut Creppe n’est pas un inconnu au sein du petit monde de la littérature belge. Né en 1990, l’auteur, alors étudiant à l’ULG, crée, début des années 2010, un collectif,…

Finis terrae

Pour Karoo, Thibault Scohier part à la découverte de la sélection 2016-2017 du prix des Lycéens de littérature : voici Finis Terræ de Nathalie Stalmans. Finis Terræ raconte l’histoire…

S’en aller

Contrairement à l’amour mis en chant par Bizet, Carmen est enfant de bourgeois, et a toujours connu des lois. Née au début du 20e siècle au sein d’une classe aisée, dès son…

Rodéo

Road-movie médusé, chronique sociale de la bassesse, western-fricadelle où les duels se règlent en bagnoles,  Rodéo  est tout ça à la fois. On y grince des dents, on y sourit jaune, et on y découvre…

La vie des abeilles

Maurice MAETERLINCK , La vie des termites , Préface de Michel Brix, Bartillat, coll. « Omnia Poche », 2019, 160 p., 10 €, ISBN : 978-2-84100-676-6Maurice MAETERLINCK…

Testostérone

Le mariage peut être une cage dorée. Tel est le constat d’Eva et Iris, les deux protagonistes de Testostérone , de Jean-Luc Renard, roman dont le titre reflète bien la domination,…

Je ne te mangerai pas tout de suite

La meilleure école d’écriture est la lecture, entend-on parfois. Peut-être traduire mène-t-il encore plus sûrement vers l’écrit ?…

Et je serai toujours avec toi

Armel Job est décidément un chroniqueur hors pair des passions villageoises. Au fil de sa production romanesque, forte déjà d’une petite vingtaine de titres,…

C’est trop beau ! trop !

L’ouvrage de Pascale Toussaint est une anthologie thématique qui met en valeur cinquante écrivains belges. Face à un marché qui possède déjà quelques…

Mélusine ou La robe de saphir

Espace Nord poursuit sa politique de réédition et de réimpression de textes des « fantastiqueurs » belges avec deux titres de Franz Hellens, l’un…