Résultats de recherche pour “Francis Carco” 1 à 30 (32)

Le bon père frédéric : messager de dieu de la Flandre au Québec

La vie de Frédéric Janssoone, franciscain ordonné prêtre en 1870,…

Avoir connu San Francisco et autres poèmes

Avant-lire de Lise Thiry À propos du livre Trente-trois poèmes et un épilogue mettent en lumière les thèmes qui ont charpenté…

Mes cloîtres dans la tempête suivi de La Charge de Tervaete

Le récit émouvant et sincère d'un officier d'artillerie, sur sa retraite de…

Allez! Allez!

"Nous sommes le 18 août 1904. Il y a des guerres et des atrocités plein le monde. Jack London en suit une, dans le Caucase, pour son journal, le San Francisco Tribune. Ce jour-là. Emile…

Herwarth Walden, l’homme des avant-gardes (1878-1941)

Musicien talentueux, compositeur audacieux, dramaturge, critique d’art, éditeur, mécène,…

Relation

Quasi-corollaire de tout début vu que «  pour absolument tout dans la vie, marcher, respirer, boire du vin ou se faire pipi dessus, il y [a] une première et une dernière fois  », elle peut enliser,…

Insaisissable Francisca

Un voyage, une rencontre, un déclic puis... une quête identitaire. Miami - Bruxelles - Charleroi. Un nom en commun : Beausart. C'est au retour d'un voyage à Miami que…

Voyage de noces avec ma mère

Voyage de noces avec ma mère . Le titre surprend, intrigue, suggère une comédie pétillante d’ironie et de rires – un peu jaunes, peut-être.…

Le miroir des illusions

Octobre 1849, dans l’étude d’un notaire genevois, Atanasio assiste au rendez-vous qui changera le cours de sa vie, levant le voile sur son passé et le chargeant d’une…

Le grand jeu des courages de l'ours en Alaska

"San Francisco, juin 1912. Matias Hitman a quinze ans. Une jeune fille inconnue lui fait parvenir une lettre de France…

Cérémonial nocturne et autres histoires insolites

« Cérémonial nocturne » est, par excellence, un livre qui dérange — le livre du trouble et du frisson —…

Les histoires étranges de la Biloque

Après Le carrousel des maléfices, après Visages et choses crépusculaires, un troisième tome se devait de rassembler les textes encore inédits…

Les maudits du Pacifique

(Ecrit sous le pseudonyme de Georges Sim) A San Francisco (U.S.A.), une dizaine d'hommes embarquent à bord du Cobra , une goélette qui met le cap vers le sud sous…

La panthère borgne

(Ecrit sous le pseudonyme de Georges Sim) Le Français Yves Gérard se rend à San Francisco (U.S.A.) dans l'intention de parcourir le Pacifique. Son frère, aviateur, s'y…

Le monstre blanc de la terre de feu

(Ecrit sous le pseudonyme de Georges Sim) Avec son chien Jack, Jérôme Dantan — explorateur et écrivain français — se rend dans les…

Les phoques de San Francisco

Où on voit un écrivain célèbre proposer à un débutant de reconstituer la vérité de sa vie et rendre justice au bonheur que lui-même fut incapable…

Largo Winch (tome 11) : Golden Gate

Moteur ? Action ! Simon Ovronnaz, l'ami de Largo, vedette d'un feuilleton télé ! Sa photo à la une des magazines "people" ! Pour l'intéressé,…

Nexus de feu

Couverture Gilles Francescano / Photo Th. van der Schelden

American Macadam

American Macadam est le treizième titre de la collection « Je », dans laquelle nous avons déjà eu l’occasion d’épingler quelques pépites comme L’usine de Vincent De Raeve,…

Rien n’arrête les oiseaux

Après un premier recueil ( Rien n’est rouge ) publié chez Luce Wilquin en 2015 et auréolé de différents prix , le Tournaisien François Salmon…

Sauver les phénomènes

L’expression « sauver les phénomènes » peut introduire à l’activité philosophique depuis Nietzsche et en tout cas le début du XXe siècle, mais à condition…

Dans nos mains silencieuses

Pierre TREFOIS (Textes), Valentine DE CORDIER , S’élever aux signes…

Contribuer à un monde meilleur. De jeunes créateurs à l’avant-garde du développement durable et de l’économie circulaire

La création durable et circulaire va beaucoup plus loin que le recyclage et la réduction des dégâts environnementaux. Nous devons opérer une transition vers une économie circulaire. Avec une manière de produire et de consommer qui n’épuise pas les ressources rares de la terre, basée sur l’énergie renouvelable et mettant en œuvre des cycles fermés, sans déchets. Les designers jouent un rôle important en la matière. Par l’invention de nouveaux produits et services, et le choix des matériaux. Et en faisant en sorte que les produits durent plus longtemps, soient plus facilement réparables et recyclables. La nouvelle génération se consacre corps et âme à cette mission. Les Pays-Bas se situent à l’avant-garde, mais le courant est également perceptible en Belgique et en France. * Emma van der Leest (° 1991) fait produire des matières présentant des similitudes avec les textiles et le cuir par des bactéries, et en trouve d’autres dans le port de Rotterdam pour colorer ces substances de manière naturelle. En collaboration avec un biologiste et avec des chercheurs d’un centre médical universitaire, elle étudie la possibilité de faire produire un revêtement imperméable naturel par certaines moisissures. Au cours de sa formation de conceptrice de produits à la Willem de Kooning-academie de Rotterdam, Van der Leest s’est spécialisée en biodesign: l’utilisation de micro-organismes comme source d’inspiration, comme élément constructif ou comme base d’un produit complet. Elle travaille aujourd’hui en free-lance, enseigne à la Design Academy Eindhoven et effectue des recherches dans le cadre du Biobased Art & Design lectoraat, une coopération entre la Willem de Kooning-academie, TU Delft (université de technologie) et l’Avans Hogeschool de Breda. Elle a également fondé le BlueCity Lab à Rotterdam, un lieu de travail où scientifiques, designers, artistes, étudiants et entrepreneurs peuvent à leur gré expérimenter de nouveaux matériaux et produits conçus à partir de micro-organismes. Jalila Essaïdi (° 1980), artiste formée à l’université de Leyde, avec une spécialisation en bio-art, a fait parler d’elle dans le monde entier avec une peau capable d’amortir, voire même d’arrêter des balles. Une combinaison de tissu humain et de soie d’araignée, produite par des micro-organismes génétiquement modifiés. Plus tard, elle a capté à nouveau l’attention des médias avec un textile fabriqué à partir de bouse de vache. Il y a un an et demi, elle a ouvert à Eindhoven le BioArt Lab, où l’on s’emploie à résoudre des problèmes sociétaux en combinant nature et technologie. Pratique et pragmatique Van Leest et Essaïdi sont exemplaires des développements dans le domaine du design durable et circulaire aux Pays-Bas. Les concepteurs de la nouvelle génération font s’estomper complètement les frontières entre science, technologie, design et art. Ils collaborent de préférence avec des gens de toutes provenances, dans des réseaux ouverts, de manière à réunir autant de connaissances et de compétences que possible. Et ils ont une mission : contribuer à un monde meilleur, si possible avec un effet concret. Ils veulent offrir des solutions aux défis auxquels nous sommes confrontés, que ce soit dans le domaine de l’écologie, de l’économie ou de la vie en société. Ils ne puisent pas leur inspiration dans de grands idéaux ou des perspectives politiques, mais sont pratiques et pragmatiques. Pleins d’ardeur, les créateurs de la nouvelle génération s’attaquent aux problèmes et, tout en expérimentant, ils se lancent avec enthousiasme à la recherche d’un produit, d’un procédé ou d’un matériau innovants. Dans cette quête, la nature offre de l’inspiration en abondance, nulle part ailleurs on ne trouve plus beaux exemples de bouclage de cycles écologiques. Les vieux métiers et les techniques et méthodes traditionnelles de travail suscitent un regain considérable d’intérêt, car la nature y est souvent habilement utilisée. Cette tendance est internationale et observable en de nombreux endroits. «On ne conçoit plus sans penser à la durabilité. Ce ne sont plus des matières diverses mais des idées et des solutions (durables) qui ont pris le dessus», a écrit Tracy Metz, journaliste et auteur américano-néerlandaise en avril 2018 en introduction à un article sur le Salone del Mobile de Milan, le plus important événement au monde - par la taille et l’influence - dans le domaine du design. Avec un clin d’œil Les Pays-Bas peuvent certainement revendiquer une place de premier plan dans ce domaine. Ce fut Piet Hein Eek qui, diplômé de la Design Academy Eindhoven, lança en 1990 une armoire en morceaux de planches de bois de récupération. Un manifeste pour l’artisanat et la conscience environnementale comme contrepoids au design bien trop léché, à ses yeux sans âme, qui donnait le ton à cette époque. Des contemporains comme Richard Hutten, Hella Jongerius et Marcel Wanders l’accompagnèrent dans cette voie, et ainsi se développa lentement le mouvement qu’on appela Dutch Design et qu’on qualifia de minimaliste, expérimental, innovateur, peu conventionnel et doté du sens de l’humour.   En suivant l’enseignement de design industriel, davantage tourné vers l’entreprise, de l’Université de technologie de la TU Delft, l’étudiante Conny Bakker fut, au début des années 1990, étroitement impliquée dans la mise en place du réseau d’écodesign O2, devenu mondial depuis. Par la suite, elle soutint une thèse sur les informations environnementales pour les concepteurs. «Au début du processus de conception, les créateurs tâtonnent trop. Il leur manque l’outillage pour s’attaquer correctement au sujet. Il faut disposer d’un point d’appui pour développer une combinaison produit/marché pour le long terme. Imaginez : avec toutes ces discussions sur l’émission de dioxyde de carbone, on peut parier que la législation se fera attendre cinq ou dix ans. Si dès maintenant on anticipe là-dessus, on peut prendre un formidable avantage concurrentiel», a-t-elle déclaré en 1995 (!) dans une interview relative à sa soutenance de thèse. En 2017, Conny Bakker a été nommée professeur ordinaire de méthodologie de conception pour la durabilité et l’économie circulaire à la TU Delft. Matelas recyclable Après une première vague d’intérêt pour l’environnement et le développement durable dans les années 1990, incluant assurément le secteur manufacturier, une deuxième vague se dessine maintenant. De même que les lycéens descendent en nombre croissant dans la rue et en des lieux multiples pour faire entendre leur voix sur les problèmes climatiques, de jeunes concepteurs imaginatifs de plus en plus nombreux se manifestent avec des idées et des concepts parfois radicaux, qui peuvent contribuer à l’économie durable et circulaire. Tracy Metz l’a constaté à Milan, mais cette tendance est visible aussi lors de la Dutch Design Week à Eindhoven, qui accueille chaque année 350 000 visiteurs. Un échantillon de l’édition d’octobre 2019. Ontwerpbureau Niaga (again lu à l’envers) a développé, en collaboration avec DSM, un tapis composé d’une seule matière - du polyester - et par conséquent complètement recyclable. Et avec Auping, un premier matelas recyclable. Pour l’entreprise de traitement des déchets Renewi, qui transforme déjà près des deux tiers des ordures collectées en nouvelles matières premières, les étudiants de la Design Academy Eindhoven se penchent sur les résidus qui, à l’heure actuelle, vont directement à l’incinérateur. Pourquoi ne fait-on pas de baskets à partir de vieux pneus, lança l’un de ces pionniers. Et même des cendres des incinérateurs, on peut encore tirer des minéraux et des matériaux utiles, d’autres l’ont montré. Le musée d’art moderne Van Abbe à Eindhoven a participé lui aussi et offert une estrade à des concepteurs…

Personne ne gagne

Jack Black n’a laissé qu’une montre après sa mort, retrouvée chez un prêteur sur gages. Et ce livre, où il raconte sa vie de vagabond et de voleur, ses nuits dehors et la faim qui…