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Le Carnet et les Instants

« Rodrigo grimpait à toute vitesse la pente qui le conduisait au cimetière. Tout droit vers la proue du navire. L’éperon prétentieux qui surplombait les jardins et l’ensemble des logements sociaux (…). »Le jeune garçon (onze ans) s’apprête à réaliser un happening oscillant entre délinquance et affirmation : peindre en rouge Ferrari une tombe visible depuis chez lui. Ses multiples incartades le mettent au ban de la société du coin, de l’école, de la famille ? Le héros de notre roman n’en a cure. Seul lui importe de devenir un jour matador, comme son père et son grand-père. Et peu lui chaut d’être doué pour le dessin ou le chant. Être matador ou rien. D’où l’école buissonnière, le cimetière transformé en arène, un chien ou un engin de fortune…


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