À PROPOS DES AUTEURS
Francisco Palomar Custance

Auteur de Le fils du matador

Francisco Palomar Custance, né à Genk en 1963 dans le Limbourg de parents espagnols mais a grandi à Frameries dans le Hainaut. Francisco est toujours de nationalité espagnole. A près de 20 ans et après une formation d'humoriste et de mime chez Parallaxe à Bruxelles, il débarque à Paris, fait des stages et des spectacles au théâtre Lucernaire avec Jean-Jacques Dulong, suivi d'un passage au cours Florent. A Paris, à travers des cours de théâtre, il découvre la direction d'acteurs et met en parallèle des performances de rue. Il est passionné par le mime et l'improvisation, qu'il poursuivra ensuite dans la rue avec passion, pendant plus de vingt ans et dans de nombreuses villes européennes et asiatiques.
Kevin Deneufchatel

Illustrateur de Le fils du matador

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Le Carnet et les Instants

« Rodrigo grimpait à toute vitesse la pente qui le conduisait au cimetière. Tout droit vers la proue du navire. L’éperon prétentieux qui surplombait les jardins et l’ensemble des logements sociaux (…). »Le jeune garçon (onze ans) s’apprête à réaliser un happening oscillant entre délinquance et affirmation : peindre en rouge Ferrari une tombe visible depuis chez lui. Ses multiples incartades le mettent au ban de la société du coin, de l’école, de la famille ? Le héros de notre roman n’en a cure. Seul lui importe de devenir un jour matador, comme son père et son grand-père. Et peu lui chaut d’être doué pour le dessin ou le chant. Être matador ou rien. D’où l’école buissonnière, le cimetière transformé en arène, un chien ou un engin de fortune…


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" Je sens ses bras autour de ma taille. Il me serre si fort. Je n'ose ouvrir les yeux. La chaleur de sa langue sur la mienne, que c'est doux, que c'est bon. Je profite de ce baiser qui n'en finit pas, de ses mains qui crient tendresse, de ses jambes qui disent caresses, de ce corps qui surgit de l'arbre en chantant l'Amour !". Les sept visages de l'eau, un mariage d'amour et de haine où le passé imprègne le présent et détermine l'amour. FranMi nous emmène à travers une recherche d'identité, d'un rôle social dans une communauté villageoise qui, à l'instar de Saint-Léger, son village d'adoption, présente plein de contradictions. Comment vivre, comment demeurer dans un environnement où les traditions et habitudes anciennes se frottent à la consommation et la vitesse…