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Littérature et homosexualités

sous la direction d'Alain Dantinne Indications nov.-déc. 2004

« Ceci n'est pas un Magritte ou De la ressemblance »

in René Magritte, Les mots et les images lecture et choix d'écrits de René Magritte

Pour introduire à la création

Ce texte est paru dans le volume : Max Loreau, De la création. Poésie, peinture, philosophie , choix de textes et lecture par Eric Clemens, Bruxelles,…

Le roman célibataire . D’« A rebours » à « Paludes »

Avec Jean-Pierre Bertrand, Michel Biron, Jeannine Paque. --- L’hypothèse de travail de cet essai est la suivante:…

Hergé écrivain

L’œuvre d’Hergé, qui transforme la bande dessinée en genre littéraire, invente un nouvel équilibre entre l’iconique et le verbal. Dans le « style » d’Hergé, le souci du texte…

Les romanciers du réel . De Balzac à Simenon

Ce livre décrit et met en place la lignée des grands romanciers qui ont pris en charge la représentation de la société française pendant un…

Le rire de Rome

Entretien de Philippe Sollers avec Frans De Haes

L’artisanat du roman : Initiation à l’écriture créative

Destiné à ceux et celles qui écrivent ou que l’écriture de fiction…

Martine : L'éternelle jeunesse d'une icône

Petite fille gaie et curieuse née en 1954 de l’imagination de Marcel Marlier…

Simon Leys. Vivre dans la vérité et aimer les crapauds

Ressaisir la cohérence, la puissance d’une œuvre, l’arracher aux malentendus durables…

Yves Peyré : L’espace d’un instant

ire Yves Peyré, c’est entamer un périple qui, au-delà de la forme diversifiée de ses écrits, conduit à un paysage métaphysique…

Jeff Bodart : Et parfois c'est comme ça qu'on se jette çà et là quelques bribes de phrases (L'Article n°41)

« A boire ou je tue l’Prince !!! » a-t-il hurlé à une conférence de presse des Francos, en tenant la tête du Prince Laurent par son bras droit, style prise de judo d’un match remporté. Cette phrase pourrait à elle seule résumer Jeff : – Jeff avait toujours soif. – On pardonnait tout à Jeff (à commencer par le service d’ordre du Prince qui n’est point intervenu). – Ce moment était pétri de bienveillance. Si si, Jeff n’aurait jamais fait ça à quelqu’un qu’il n’aurait pas respecté (si tant est que Jeff ait manqué de respect à qui que ce soit). – Jeff était désopilant. Ce besoin presqu’obsessionnel d’amuser la galerie. Ou plutôt sa propension à établir un climat propice à « passer un bon moment ». – Jeff osait tout (c’est à ça qu’on le reconnaissait). Mais vraiment tout. Un vrai Jackass avant l’heure. Sa clavicule, sa jambe, son pied, et j’en passe, pouvaient en témoigner. Au même titre que les ambulanciers, attendant backstage qu’il daigne terminer son concert, pour l’emmener aux urgences suite à de nombreuses chutes scéniques. – Loin de s’infatuer, c’était sa manière iconoclaste de montrer qu’il connaissait un membre de la famille royale. Pour le protocole, il reviendra en septembre. 1988. Je me souviens de ce matin-là. Le téléphone sonne. « Salut, c’est Jeff des Gangsters d’Amour. On cherche un claviériste. Ca te dirait de participer au casting ? » Après tout s’est s’enchaîne. Très vite. Grosse virée après quelques jours, longues discussions à deux sur le trajet du retour d’un concert. Ta copine qui ne t’ouvre pas (normal, t’avais promis de rentrer pour 2h au plus tard. Raté, il faisait jour). Pas grave, tu dormiras dans le champ de patates et elle te découvrira en ouvrant ses rideaux... C’est sans doute ces quelques heures qui ont scellé nos liens, forts, professionnels et fraternels. Ensuite, carrière solo, albums, plateaux TV, tournées, voyages. Et son cortège de corollaires à la carolo. Avec Olivier Bodson, le jeune surdoué des Gangsters. Comme t’es un réseau social à toi tout seul et bien avant l’heure, tu nous fais découvrir le tien. Qu’au gré des escales nous compléterons, avec entre autres une certaine Sylvie... Que du beau monde. Que de belles personnes. Que de longs et mémorables moments cardinaux. Nous avions l’habitude de terminer les soirées (des autres) et de « claquer la porte derrière nous en partant » comme tu disais. Mais en 1995, nous avons été dépassés sur nos propres terres. Par un ovni révélé par un film proverbial, tout aussi ovni. Pour qui 5h du mat était une bonne heure pour aller allumer le studio Dame Blanche, tenter d’y faire de la musique et chanter d’sus. Mais bon, belle gageure hein. Vu nos états, nous nous contentions généralement de reprises improbables (mais drôles, drôles !). Qu’est-ce que ce Ben, en plus du foie, nous a donné mal au ventre. Et tu sais quoi ? Tout ça est resté intact. Dans nos mémoires, dans nos vies, dans nos manières d’appréhender les petits espoirs et grands tracas. On se revoit. Certes sans toi (quoi que). Rares sont les soirées, fêtes et cocktails où on ne croise pas quelqu’un que tu as marqué, qui t’a profondément aimé. Et on parle de toi... Tout ce réseau (famille, amis (de bamboche ou pas), musiciens) est resté en l’état. Et c’est tant…

Guido Crepax : L’axiome d’Eros

Véronique BERGEN , Guido Crepax. L’axiome d’Eros , La Lettre volée, 2023, 140 p., 18 € , ISBN : 9782873176167Bien sûr, il y…

Littérature et cinéma

Cet ouvrage rassemble les actes du colloque «Littérature et Cinéma», organisé par l’Académie royale de langue et de littérature françaises le samedi 15 octobre 2022. Ce colloque a réuni Pierre…

Marcel Pagnol : Le Provencal universel (L'Article n°37)

Me voici près du jet d’eau qui arrose le bassin du château de Seneffe. Je tiens…

Gallus : lettres wallonnes et culture

Textes rassemblés, établis et présentés dans une Introduction par Albert Maquet. Témoignage par Willy Bal. Bibliographie des travaux…

La Musique silencieuse de José Muñoz et Carlos Sampayo

Tous deux Argentins exilés en Europe dans les années 1970, José Muñoz et Carlos Sampayo…

Saint-Gilles, Ixelles

Les anciens villages de Forest, Saint-Gilles et Ixelles ont préservé un bâti chargé d’histoire. Ils sont, depuis plus d’un siècle,…