À l’image traditionnelle d’un Norge (Georges Mogin, 1898-1990) poète humaniste, partagé entre la spiritualité et l’épicurisme, Daniel Laroche, dans sa conférence du trente et un janvier dernier aux Midis de la Poésie, éditée aujourd’hui par l’Arbre à paroles, Modernité de Norge, apporte une dimension, un souffle nouveaux.Il se fonde, plutôt que sur les recueils souvent commentés Le sourire d’Icare (1936) ou Joie aux âmes (1941), sur sa poésie d’après-guerre, où se forge son originalité : Les râpes (1949), Famines (1950), Les oignons et Le gros gibier (1953).On découvre Norge marqué par deux inspirateurs de poids. Darwin et sa grande loi cruelle du plus fort,…
Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations
Cet essai parut initialement en 1967. Par l'auteur des Controverses du christianisme.…
Au moment des révoltes politiques de 2013 en Turquie, l'écrivain K. Görgün fait partie des occupants de…