« Contre toute attente. J’ai découvert que je n’étais pas dénuée de forces. »
Romancière belge, Amélie Nothomb porte à la France un amour qui n’a cessé de s’approfondir. Si elle se montre très sensible à la séduction du peuple français, elle épingle deux grands défauts de notre pays : sa complexité administrative et son culte du conflit. Son attachement à Bruxelles, le lien profond avec le Japon, son rapport à la lecture, mais aussi la défense de la forêt amazonienne : l’écrivaine se dévoile ici, sincère et émouvante
Autrice de Conversation avec Amélie Nothomb
Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880
À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…