De même que les Nativités hutoises conservées dans le manuscrit 617 de Chantilly, la pièce de théâtre qui fait l’objet du présent ouvrage fut longtemps inconnue de la critique. Elle le serait peut-être restée à tout jamais si la découverte, puis la publication par G. Cohen, en 1920, des oeuvres wallonnes n’avait incité les philologues à porter leur attention de manière soutenue, pendant plusieurs années, sur cette production vénérable et sur la situation du drame religieux au pays de Liège. L’un des résultats de cet effort de recherche fut l’exhumation, au fil des dépouillements d’archives, de textes supplémentaires à verser au dossier : parmi ceux-ci, le Jeu de l’Étoile.
Ouvrage édité à l'occasion du vingtième anniversaire du Festival International Bellone Brigittines…
Molière : Le Malade Imaginaire est mort il y a 350 ans (L’Article n°29)
Editorial de Maxime Lamiroy : Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin . Une mise en abîme réussie pour « un malade qui se porte comme un charme ». Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin. Une mise en abîme réussie pour « un malade…