Résultats de recherche pour “Auteur” 5971 à 6000 (12882)

Le récit fantastique : Un algorithme complexe
Daniel LAROCHE , Le récit fantastique, Un algorithme complexe , Académie royale de Langue et Littérature françaises,…

Giuseppe SANTOLIQUIDO , Le don du père , Gallimard, 2025, 208 p., 20 € / ePub : 14,99 € , ISBN : 9782073101327 Giuseppe Santoliquido a intégré l’écurie Gallimard…

Le titre Destins nomades couvre cinq recueils dont le présent volume reprend les quatre premiers , Daniel De Bruycker se présentant non comme auteur mais comme traducteur et…

Quarante ans de la vie d'un prof du secondaire, de même qu'une réflexion plus théorique sur le Pacte d'excellence, la remédiation, le tronc commun, le système finlandais,…

Vie et survie de la littérature bruxelloise
Une curieuse dame à l’allure soignée, coiffée d’un chapeau et plongée dans la lecture du Mariage de Mlle Beulemans…

Sándor Ferenczi : l’enfant terrible de la psychanalyse
Benoît PEETERS , Sandor Ferenczi. L’enfant terrible de la psychanalyse , Flammarion,…

Dans ses œuvres radiophoniques, dans ses livres qui souvent leur répondent, Jean Marc Turine s’est attaché à donner voix à ceux et celles que l’on n’écoute pas :…

Gossec : Le maitre des chœurs (1734 - 1829)
Voici un ouvrage consacré à un musicien fort oublié aujourd’hui, à la riche discographie pourtant, qui a mené sa carrière…

Il y a quelques années déjà, nous avions été séduits par un ouvrage de Laurent Robert ( Sonnets de la révolte ordinaire ) publié par la belle maison lyonnaise, Aethalidès. L’auteur,…

Sonnets de la révolte ordinaire
Laurent ROBERT , Sonnets de la révolte ordinaire , Aethalidès, coll. « Freaks », 2020, 141 p., 16 €, 978-2-491517-04-5Parmi les plaisirs…

De mémoires est le troisième livre d’Olivier Bailly, qui décide de nous plonger dans la région de la Hesbaye. L’auteur y prend les traits d’un passeur d’âme le temps d’une histoire…

Orné de dessins de Philippe Joisson , de M. la Mine et de l’auteur, cette fable en vers de François Degrande s’ouvre sous une épigraphe…

L’on sait que Kenan Görgün est un observateur fin et particulièrement bien documenté des phénomènes sociaux, entre autres en Belgique. Une société dont les marges et le…

Thisou se souvient. Dans cet album illustré de petit format, elle mêle broderie et dessin pour faire revivre des souvenirs d’enfance fugaces, mais qui ont laissé chez elle une trace vive. Par évocations, sous…

Ce livre-objet est composé de textes manuscrits et de peintures réalisés par l'auteur qui donne ainsi à voir, pour la première fois, son travail d'artiste. Cet ouvrage est-il un livre?…

Comme l’auteur, le personnage central de L’Inconnu du parvis , dernier roman du Liégeois de Bruxelles Giuseppe Santoliquido, est un enfant de l’immigration…

Laura TINARD , J’ai perdu mon roman , Seuil, coll. « Fiction & Cie », 2022, 320 p., 19,5 € / ePub : 12,99 € , ISBN : 978-2-02-149402-0Le premier roman de Laura Tinard…

Dans la collection « Documents pour l’Histoire des Francophonies » qu’il dirige aux éditions Peter Lang, Marc Quaghebeur publie le premier volume d’une somme qui en comptera cinq : Histoire, Forme et Sens en littérature. La Belgique francophone . Si l’auteur y rassemble – encouragé par le regretté Jean Louvet – une série d’articles publiés depuis 1990, il ne s’agit pas d’une simple réédition : sélectionnés avec soin, les textes ont été retravaillés parfois en profondeur, ré-intitulés, ordonnés à la fois selon la chronologie des périodes traitées et selon le point de vue adopté. Ces coups de projecteur mettent en relief avec une grande précision la diversité et la complexité des relations entre histoire générale et œuvres littéraires – car tel est le fil conducteur de l’entreprise. Sans s’attarder aux micro-structures textuelles – de minimis non curat praetor –, l’auteur parcourt à grandes enjambées les siècles et les règnes, le champ international de préférence aux terroirs, les mythes nationaux et les idéologies officielles, le romanesque et le théâtral davantage que la poésie, les récits extravertis plutôt que les introvertis. Ainsi traque-t-il obstinément « l’enracinement et l’articulation des faits littéraires dans et à l’Histoire », ses recherches l’ayant progressivement convaincu qu’il existe un « lien génétique entre l’Histoire et les Formes ». L’entreprise n’est pas sans risque. Expliquer le surgissement et le contenu des œuvres littéraires par les caractéristiques du contexte où elles sont nées mène généralement à une vision déterministe où sont oubliées tant la position spécifiquement subjective de l’écrivain que la structure interne du texte. M. Quaghebeur ne tombe pas dans ce travers positiviste, précisément parce qu’il ne fait pas de l’explication de texte. Ce qui l’intéresse chez De Coster ou Kalisky en passant par Verhaeren, Maeterlinck, Bauchau, Compère, c’est de repérer dans leurs écrits les échos – tantôt manifestes, tantôt plus discrets – de l’histoire passée ou contemporaine de la Belgique, et d’analyser ces échos pour en identifier la logique sous-jacente : idéalisation de personnages ou d’épisodes, mythification, déformation, parodie, dénégation, etc. Il affirme en particulier la propension des écrivains belges à éluder les événements survenus, à se réfugier dans l’imaginaire, le légendaire, le fantastique. Et « si renvoi à l’Histoire il y a dans la fiction belge de langue française, c’est foncièrement à travers les figures de l’échec historique ou de la sortie de l’Histoire »… Avisé, l’auteur ne se contente pas de revisiter le panthéon des chefs-d’œuvres estampillés, lequel donne de toute littérature une image faussée. D’une part, il redécouvre des livres peu connus de Nirep, G. Eekhoud, M. Van Rysselberghe, Rosny ainé, sans négliger les genres paralittéraires comme la bande dessinée ; d’autre part, il examine de nombreux ouvrages, textes et articles non littéraires qui concernent l’histoire et l’identité nationales, offrant ainsi d’utiles points de comparaison ou de référence.Intitulé L’engendrement (1815-1914) , ce Tome 1 montre l’importance de certains mythes dans la construction de l’identité nationale, particulièrement l’« âge d’or » de la période 1450-1560, ou la « culture belge » comme confluent des cultures latine et germanique, tandis que le rapport à la France fait l’objet d’une attention soutenue, notamment en ce qui concerne la question de la langue ou l’histoire des lettres à la Gustave Lanson ; la colonisation du Congo et le déclenchement de la Grande Guerre ne sont pas, eux non plus, sans relation avec la production littéraire, ce que l’auteur démontre de manière convaincante. D’une grande richesse intellectuelle et informative, ces pages sont toutefois d’une lecture ardue. La formulation est souvent abstraite, elliptique, surtout dans les passages généralisants. Plus curieusement, M. Quaghebeur ne définit pas les grands concepts sur lesquels s’appuie son édifice. Ainsi, ce qu’il dénomme l’« Histoire » se réduit le plus souvent, sous sa plume, à l’exercice du pouvoir, de la domination, avec la place prépondérante donnée aux volontés des puissants, ce pour quoi il peut qualifier de « sorties de l’Histoire » l’exil d’Œdipe ou l’abdication de Charles Quint. Quant aux « Formes » littéraires qui seraient déterminées par les vicissitudes historiques, ce vocable ne semble pas désigner le genre ou le style, comme on s’y attendrait, mais plutôt la thématique et l’imaginaire des œuvres… Bref, l’ouvrage est visiblement destiné à un cercle étroit d’universitaires expérimentés. Daniel Laroche L'auteur met en relation la fin de la révolution de 1830, qui voit la naissance d'une Belgique moderne, et l'apparition d'une littérature francophone belge singulière, en rapport avec le contexte historique, et qui se distingue de la littérature…

Au commencement, il y eut le mal
Au commencement… de la lecture, ou juste avant celle-ci, à la lisière d’un univers vierge, il y a l’étonnement. Devant des distorsions…

Mon hôte s’appelait Mal Waldron
Un triangle mystérieux règne au centre de la littérature : la relation entre le lecteur, l’auteur et le narrateur. Les personnages…

Jean Luc Werpin verse dans le haïku comme un enfant plonge dans une meule de foin. Il s’y enfonce à se perdre et l’air hirsute, il en ressort plein d’épis et de fétus accrochés…

Si une ville est un lieu chargé d'histoire, elle est aussi le repaire sacré de l'amour. Nul besoin d'entendre fredonner un gondolier pour attirer les amants : on peut…

Comme chaque mercredi, Gil attend Jo aux Trois Compères, un café sans grand charme. Cette fois, sa comparse de banquette ne se contentera pas d’un léger retard : elle ne viendra pas…

« Peut-on revendiquer le titre de journaliste en restant dans sa bulle, sans avoir éprouvé sa qualité de citoyen du monde, sans capacité d’empathie avec les…

Réalités obliques (tome 3) : Rencontres obliques
Après Réalités obliques et Mondes obliques , l’auteur de bande dessinée Clarke livre un troisième tome de ses récits aussi brefs que lugubres. L’auteur de la série Mélusine (dont le dernier album vient de sortir) délaisse sa petite sorcière et s’adresse ici à un public adulte, pour lequel il a aussi réalisé d’autres albums remarqués, comme le thriller d’anticipation Les Danois ou le diptyque Dilemna . Les vingt-cinq courtes histoires de Rencontres obliques , qui passent d’un registre fantastique à horrifique ou réaliste, ont en commun leur noirceur. Une jeune femme qui devine la mort dans les yeux de ceux qui vont disparaitre ; un mange-lumière qui plonge le monde dans l’obscurité ; un exorcisme sanglant ; une impression de malaise prémonitoire ; un enfant perdu ; un tueur en quête de sa prochaine victime… L’auteur prend un malin plaisir à plonger le lecteur dans une atmosphère angoissante avant de laisser deviner le pire.Récits fantastiques, nouvelles à chute ou petites histoires d’horreur, de celles à se raconter dans le noir, de préférence avant de dormir… autant vous prévenir : cela se termine toujours mal, pour le plaisir des amateurs du genre. Le livre ressemble à un exercice de style, pour lequel l’auteur s’est inspiré de maitres à penser qu’il remercie en dédicace : Ray Bradbury, Edgar Allan Poe, mais aussi Will Eisner, le graveur M. C. Escher ou le peintre Milt Kobayashi.Ces Rencontres obliques sont également le fruit de rencontres artistiques. En effet, pour réaliser ce recueil de saynètes, Clarke s’est entouré de beau monde : Kid Toussaint, Fabien Vehlmann, Andreas, Dugommier, Zidrou, Raoul Cauvin, Aimée de Jongh, Joseph Safieddine et Foerster ont collaboré à l’écriture de ces histoires, dont certaines sont particulièrement efficaces. Ces auteurs semblent s’être amusés à inventer ensemble ces scénarios cauchemardesques un soir d’Halloween.Des planches de quatre cases, un format carré et imprimé en noir en blanc : on saluera la mise en page du livre, très réussie, qui met en valeur les récits et plonge d’emblée le lecteur dans une atmosphère à la noirceur oblique.Pour les lecteurs qui aiment leurs histoires noires, bien serrées…
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