Quatre textes écrits ou recueillis à différentes époques. Ils ont en commun d’évoquer des jeunesses tragiques, des camps de concentration à la guerre d’Indochine, en passant par les bombardements de dioxine au Vietnam et l’injustice sociale aux Comores.
Il est des écrivains qui font honneur à la vie des autres et qui mettent leur savoir-faire au service de récits de vie qui autrement ne verraient sans doute jamais le jour. Une démarche qui était déployée avec brio déjà dans les trois derniers ouvrages de Jean Marc Turine, dont La Théo des fleuves, qui lui a valu le prix des Cinq continents. L’auteur de Vivre (si vous saviez comme j’avions) est de ceux-qui prêtent leur plume aux sans-voix avec un talent qui force l’admiration. Car dans cet exercice délicat, il convient de respecter la parole de l’autre et la réalité des faits, mais l’on sait que cette mise en ombre de l’auteur n’est pas pour autant un effacement comme l’illustre à merveille ce volume qui rassemble quatre textes distincts.
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