Résultats de recherche pour “Truus” 2071 à 2100 (2249)
Un ouvrage qui aurait pu disparaître
Les textes sulfureux de l’abbé ont connu un bien étrange destin... Des copies sont arrivées à Paris où elles ont été…
Les Droles di lodjeûs, Les nut’ di mâle leune XX Une belle réussite . Le texte des chansons est le plus souvent l’œuvre de Jean-Pierre Vervier, à part l’un ou…
Simenon à Neufchâteau et la BD belge
La mémoire-papier des grands Belges : deux belles propositions de lecture en Province de Liège Etrange pays que le nôtre. Ramassé sur…
Enfant de son époque et précurseur : Jérôme Bosch
Il est étonnant de voir les nombreuses concordances que présentent la vie et l’œuvre de Jérôme…
« À la fin deven[ir] / le contraire / de [sa] souffrance » ne se fait pas sans arrachement. Véronique Wautier…
Georges Simenon et Pierre Assouline
Le vrai critique serait un personnage qui se promènerait silencieusement dans l’histoire racontée et en saisirait tout ce que l’auteur…
14-18, un passé entre front guerrier et zones occupées
DES AUTEURS N'AYANT PAS CONNU LA GRANDE GUERRE SE SONT PENCHÉS SUR CETTE EFFROYABLE…
Et Reykjavik devint – le centre du monde, – de l’amour et de la mort
LoveStar , le dernier ouvrage d’Andri Snær Magnason, est enfin paru en français,…
Interview de l’été – Adrien Grimmeau
Adrien Grimmeau est commissaire d'exposition et conférencier à L'Iselp. Adrien Grimmeau est commissaire d'exposition…
Béatrix Beck : « La vraie littérature est hermaphrodite »
Béatrix Beck est peut-être, à 88 ans, la doyenne des lettres françaises. Des lettres françaises de Belgique ?…
Un jour, Nella est traversée d’un sentiment impérieux : Nonna va bientôt s’éteindre, ses pulsations cardiaques s’affaiblissent,…
La ville en chantier ou la marche entravée: vers une perception renouvelée de l'urbanisme oriental romain Laurent Tholbecq La communication vise à explorer le rapport entretenu…
James Ellroy – le pape du roman noir – à Bruxelles !
Passa Porta, la Maison internationale des Littératures, a transféré l’une de ses soirées de la rue Dansaert vers…
Une courte histoire – de la BD turque #2
Politique, drôle, créative, talentueuse, parfois difficile à traduire en dehors de son contexte politico-culturel, mais diverse et en constante évolution,…
Thilde Barboni: Sciences en bandes dessinées
Quelles sont les sciences évoquées par Thilde Barboni * , et quelle est leur place dans les intrigues de ses…
Bakwanga, la pierre brillante. Une vie de femme au Congo de 1950 à l’Indépendance
En 1950, à peine âgée de…
Étais-je alors plus proche de mes treize ans que des douze ? Ce soir-là, j'avais cherché parmi les « Maigret » de mon père une enquête que…
Dans le petit volume intitulé « La poésie est-elle un mensonge ? », 70e numéro des Cahiers du journal des poètes, Jean Cocteau déclare avec l’aplomb un tantinet…
La fin de quelque chose ( Editorial )
In the old days Hortons Bay was a lumbering town. No one who lived in it was out of sound of the big saws in the mill by the lake. Then one year there were no more logs…
Jean-Marie Kajdanski : Être là, avèc, poèmes
Être là, avèc, recueil de poèmes en picard avec une traduction française et des illustrations de Roger Dudant,…
Le rayonnement de Mudra - Afrique. Entretien avec Germaine Acogny, «la fille noire de Béjart»
À l’inauguration de Mudra-Afrique à Dakar , Béjart déclarait à un journaliste : « Ce n’est pas moi le directeur, c’est Germaine Acogny. Elle va réaliser mes rêves, mais elle va le faire différemment. » XX Comment avez-vous réalisé ses rêves ? Germaine Acogny : Mudra-Afrique a duré cinq ans (l’école a dû fermer en 1982 faute de soutiens financiers, ndlr). Puis, j’ai rencontré Helmut Vogt et pendant dix ans nous avons essayé de réaliser nos rêves en France, mais cela a échoué. Je lui ai donc dit : « Quand tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens. » Puis je suis revenue dans mon pays, au Sénégal, en compagnie de Helmut et nous nous sommes installés dans un village de pêcheurs près de Dakar. Nous avons choisi ce lieu merveilleux pour y fonder une école. Comme disait Béjart, « un bon maçon se voit, comme un bon danseur » ; la formation est essentielle pour exercer un métier. Le président Senghor et Maurice Béjart m’ont aidée à faire asseoir la danse africaine et à lui donner la place qui lui revient de droit. L’École des sables, que j’ai fondée en 1998 avec Helmut Vogt, est un lieu d’échange et de formation professionnelle pour des danseurs africains et du monde entier dans les meilleures conditions, pour continuer de transformer les traditions dans la modernité. Ma rencontre avec Béjart a produit Mudra-Afrique, puis s’est incarnée dans l’École des sables… deux rêves qui se sont rejoints. Quels rapports entreteniez-vous avec Béjart ? Sentez-vous une filiation ? G. A.: Nous étions très proches. J’avais une totale liberté d’action, Béjart me faisait confiance, il m’appelait la « patronne ». Ma ressemblance avec lui est troublante, j’avais les mêmes pensées que lui et notre rencontre a produit Mudra-Afrique. Béjart disait que, s’il avait eu des enfants, ils auraient pu être noirs. Il avait un quart de sang sénégalais… Il me considérait comme sa fille noire, je l’appelais souvent papa. À travers le miroir de ses yeux, j’ai retrouvé mes racines. Je suis sa fille spirituelle. Quelle influence Mudra-Afrique a-t-elle eue sur le développement de la danse au Sénégal et en Afrique ? A-t-elle favorisé l’émergence d’une danse contemporaine africaine ? G. A.: La formation pluridisciplinaire de Mudra-Afrique a eu une grande l’influence sur les danseurs de toute l’Afrique qui ont suivi la formation. Par exemple, Irène Tassembedo, au Burkina Faso, a fondé une école et a développé une carrière internationale. Laurent Longafo, de la République démocratique du Congo RDC, a introduit ma technique de danse à l’Université. Le rayonnement va au-delà du Sénégal. Après Mudra-Afrique, j’ai été pendant cinq ans directrice artistique de la section Danse d’Afrique en Créations (fondation puis association qui a œuvré dans le domaine des arts contemporains, danse, photo, cinéma, théâtre…), où je me suis investie dans le développement de la danse contemporaine. Malheureusement, nos gouvernants ne mettent pas assez de moyens pour la formation de nos danseurs et dans les arts en général. Vous êtes directrice de l’École des sables, fondée en 1998 et inaugurée en 2004. Avez-vous gardé « l’esprit Mudra » dans l’enseignement qui y est dispensé aujourd’hui ? G. A.: Bien sûr, l’aspect pluridisciplinaire est très présent, un danseur doit avoir plusieurs cordes à son arc… Nous n’avons pas les moyens de dispenser des cours sur une année mais la formation se répartit sur trois mois intensifs et les danseurs les plus doués reviennent trois à quatre fois pour compléter leur formation (c’est une formation continue suivant les thèmes abordés, par exemple :outillage chorégraphique, interprétation ou pédagogie). La formation est dispensée par des enseignants internationaux qui ne sont pas là pour imposer mais faire découvrir, échanger. Eux-mêmes apprennent beaucoup en venant ici, il s’agit d’un dialogue entre le maître et l’élève. Vous venez de signer une nouvelle création, À un endroit du début… Vous revenez où tout a commencé. Quelles sont vos sources d’inspiration ? G. A.: Je m’inspire de mes racines et de ce qui m’entoure. Quand Mudra-Afrique existait, Béjart voulait créer Le Sacre avec des danseurs africains et il m’a dit, « ce sera toi l’élue ». J’avais 35 ans. Mais l’école a fermé, ce projet n’a pas abouti. 35 ans après, Olivier Dubois m’a proposé d’être son Élue noire XX, je n’ai pas hésité une seconde ; j’ai donc dansé Le Sacre en solo ! Dans mes prières ou mes méditations, Maurice Béjart est toujours présent. Cité dans Mudra.103 rue Bara de D. Genevois. Pour sa reprise du Sacre du Printemps de Stravinsky, le chorégraphe français Olivier Dubois a choisi Germaine Acogny. Mon élue noire d’Olivier Dubois, du 7 au 9 avril 2016, festival Séquence Danse, au CentQuatre, à Paris…
Vola co ène ânèye d’ èvôye ; Èlle ènn-îront turtotes insi. Nos-alans rtrover, so nos vôyes Dès-ôtès djôyes, dès-ôtes soucis. Dispôy ki vos…
Edition : Paul Nougé, « Je mens comme tu respires »
Qui fut-il ? Un biochimiste fourvoyé en littérature, ou un littérateur égaré en biochimie ? « La tête la plus forte du…
Liliane Wouters, la voix la plus vraie
Grand poète , traductrice fervente, anthologiste passionnée, dramaturge originale, Liliane Wouters incarne, dans chacun de ces…
André Romus, 1928-2015 (Hommage)
Lorsqu’un poète meurt, on court toujours après quelque chose à dire qui semble devoir s’assoupir dans la poussière de notre propre oubli, déjà…
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