Luxembourgeois sur le pavois

Le petit Grand-Duché de Luxembourg (2 586 kilomètres carrés), avec près de 512 353 habitants au dernier recensement de 2011, parmi lesquels 291 831 Luxembourgeois — âge moyen de 41,33 ans — et 220 522 étrangers — âge moyen de 35,30 ans — (dont 82 363 Portugais, possédant en majorité un taux d’éducation faible), a toujours exercé un pouvoir d’attraction sur ses voisins : les cigarettes et le carburant y étaient moins chers, et on franchit encore la ligne de partage des pays pour se procurer de l’alcool dans les magasins frontaliers. Mais surtout, à l’instar de la Suisse (une région touristique grand-ducale s’appelle d’ailleurs la petite Suisse) dont j’ai parlé précédemment (Francophonie vivante,1-2013), le Luxembourg cultive un secret qui irrite beaucoup de ses partenaires en Europe, le secret bancaire – protégé par le code pénal du pays, mais appelé à disparaître au 1er janvier 2015 (aïe !).

Le train du Luxembourg était bien connu des Belges qui…

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Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique

À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…