Résultats de recherche pour “Soro” 901 à 930 (948)
Le fiEstival – ou – les arts de la scène – au service de la poésie
Lancé en 2007 par Antonio Bertoli et David Giannoni, le fiEstival, point de confluence…
C’èst dîmègne. Il èst d’abôrd noûv eûres èt l’ Noré Gayète ronfèle co, tot rafûrlé dins sès couvêrtes. Pôve Noré, i pout…
Lès bolèdjîs Pètcheûr do Bork. (Dès djins èt dès mèstîs d’ ayîr.)
(En wallon de Saint-Hubert) Prumîre…
La ville de Mons entretient un rapport particulier au patrimoine : du côté du patrimoine matériel, notamment bâti, Mons a échappé aux «ravages» modernistes des années 1960 et 1970 en se…
Histoire du lièvre, de l’éléphant et de la baleine
Charles Baissac (Port Louis, 1831 - Beau Bassin, 1892) Charles Baissac naquit dans l'Île…
Inside Llewyn Davis. Le cycle de l’homme malchanceux. (Cinéma)
Pour leur 16e long-métrage, les frères Coen signent une variation tragicomique…
Côde ISO 369-2 « wa » pol walon. Responda di Pablo Sarachaga
Ehåyaedje [planification] do statut do walon 1996 : onk des bigboss di l' eståvlixhmint…
WePorn. Le X et la génération Y
Il y a deux décennies, Amélie Nothomb publiait Attentat (Albin Michel, 1997), son cinquième roman, et, au détour d’une histoire d’amour et des normes à respecter ou…
Depuis une semaine, les copines du quartier ne parlent que de ça. Leurs grands frères leur ont raconté: Qu'un grand monsieur moustachu avec sa petite moto jaune vient devant…
Spôrts: Les tchafiaedjes do Ptit Louwis / 50. Adon k’ on n’ sait pus cwè edvinter po diminouwer l’ CO2 et po djoker l’ restchåfmint del Daegne, les otos d’ ralî rôlnut…
Georges Simenon et Stanislas-André Steeman
1. LES CHEMINS PARALELLES En comparant le cheminement de ces deux « géants », non seulement du roman criminel, mais…
Strimaedje di « Moudes a rvinde »
[Avec, en bas de page ** , le Discours "Spitch Mahin", traduit en français par Joseph Docquier, de Lucien Mahin, lors de la présentation de…
L’Esprit frappeur, récit d’une aventure théâtrale
Les souvenirs de spectacles sont des lucioles, elles surgissent de la…
Pour présenter – Eduardo Halfón
En mars 2015, Maxime Hanchir a rencontré à plusieurs reprises l’auteur guatémaltèque Eduardo Halfón (prix Roger Caillois 2015) dans le cadre du festival de littérature…
Avant de déménager, j'aimerais parler d'un livre reçu par la poste. Brûle l'enfant-vieux est de couleur verte et dehors, il neigeait. Maintenant que les arbres ont à…
Auteur d’une œuvre importante qui se diffracte en romans, récits ( La Faute des femmes, L’Arpenteur de mémoire, Fermé pour cause d’Apocalypse …), en…
Le parti de l’étranger. L’Image du «réfugié» dans la littérature néerlandophone d’aujourd’hui
[Traduit du néerlandais par Christian Marcipont.] Le sort du réfugié est devenu un thème de la littérature contemporaine, y compris des lettres de langue néerlandaise. quels sont les auteurs qui, dans les plats pays, ont eu le courage d’aborder le thème du réfugié, montrant chacun à leur manière que la littérature peut apporter une plus-value parce qu’elle sait observer ce sujet sensible sous une multitude d’angles différents? * De nos jours , il est un thème – avec le climat et le terrorisme – qui domine et détermine l’actualité: celui de la migration. C’est surtout depuis les années 1990, qui voient le déclenchement de la guerre civile en ex-Yougoslavie, que la question des « réfugiés » en Europe est devenue un sujet aux nombreuses implications éthiques, politiques et sociales, et que les brasiers en Syrie et au Moyen-Orient ont rendu plus prégnant encore. Il est devenu l’enjeu de campagnes électorales virulentes et est aujourd’hui instrumentalisé comme jamais auparavant par les politiques, et cela sur le dos de groupes de population qui ne se doutent pourtant de rien. C’est aussi une question qui attise la rhétorique belliqueuse des populistes européens. Que cette problématique ne soit pas sans influencer la culture et la littérature contemporaines, c’est là une quasi-évidence. La question s’est toutefois déjà posée à maintes reprises: le réfugié est-il devenu le cache-misère idéal pour l’artiste qui cherche à s’avancer armé de son engagement? Et, mutatis mutandis, cela vaut-il également pour le monde des lettres? S’agit-il d’un passage obligé, d’une thématique « prémâchée »? Toujours est-il qu’à l’heure actuelle les romans et récits dont les protagonistes sont des réfugiés s’accumulent. Nombre d’écrivains traitent dans leurs livres des motivations des migrants et plus particulièrement des réfugiés, des demandeurs d’asile et des sans-papiers. Ils racontent les obstacles à surmonter dans la quête d’une vie meilleure. Chose on ne peut plus logique si l’on considère que ce n’est pas d’hier que les écrivains observent les soubresauts du monde. Le sujet est au cœur de l’actualité et, de surcroît, ces dernières années les catastrophes se sont succédé sans relâche. Cependant, les écrivains ont parfaitement compris qu’il ne leur était pas permis de se jeter tête baissée dans la littérature pamphlétaire. Mieux vaut se tenir à quelque distance des versatilités de l’opinion. On ne peut sortir de son chapeau un « récit de réfugiés », sauf à espérer marquer un point par le biais du journalisme ou de l’essai. Il y a peu, par exemple, Valeria Luiselli a braqué les projecteurs sur les enfants mexicains qui traversent la frontière entre le Mexique et les États-Unis dans son livre de non-fiction Raconte-moi la fin, récit des expériences qu’elle a vécues comme interprète. Mais, récemment aussi, la même Valeria Luiselli leur a consacré un roman, Archives des enfants perdus, où elle raconte les vicissitudes d’une famille à la dérive, dans le contexte de la crise des réfugiés à la frontière du Mexique et des États-Unis. Or, les choses se présentent différemment dans un roman, qui est régi par d’autres règles: « Les récits qui trouvent leur origine dans la réalité nécessitent une plus longue période d’incubation s’ils veulent se transformer en fiction, beaucoup d’eau doit couler sous le pont avant que l’on atteigne la juste mesure », déclarait à ce propos l’auteur néerlandais Tommy Wieringa dans une interview accordée au quotidien flamand De Standaard. Si l’on considère la situation d’un point de vue international, on constate que les ouvrages dont les réfugiés occupent la première place suffiraient à remplir une bibliothèque entière. Dans le genre, Le Grand Quoi de Dave Eggers représente incontestablement un jalon: l’auteur, à travers un roman, raconte l’histoire de Valentino Achak Deng, un enfant réfugié soudanais qui émigre aux États-Unis sous les auspices du Lost Boys of Sudan Program. Citons ensuite le très populaire Khaled Hosseini. Ce dernier a acquis une réputation planétaire grâce à son livre consacré aux atrocités vécues en Afghanistan sous le régime des talibans. En définitive, le protagoniste des Cerfs-volants de Kaboul, après un passage par le Pakistan, finira par débarquer aux États-Unis. Dans le roman qui lui fait suite, Mille soleils splendides, Hosseini évoque également les camps de réfugiés en Afghanistan. « Voilà plusieurs siècles que la littérature prend fait et cause pour l’étranger, l’« autre », le réfugié », observait Margot Dijkgraaf dans le quotidien néerlandais NRC, renvoyant explicitement à l’œuvre du Français Philippe Claudel, qui n’a jamais fait mystère de son indignation quant au sort réservé aux réfugiés. Amer, humain, allégorique, factuel, pamphlétaire ou moralisateur: les angles d’attaque ne manquent pas dès lors que des auteurs se penchent sur le sujet. À quoi il faut ajouter que la question ne divise pas seulement la société, mais les écrivains eux-mêmes. Tommy Wieringa, par exemple, s’est depuis peu rangé à l’idée qu’« une frontière extérieure européenne sûre est nécessaire », ce qui est un point de vue d’adoption récente. Pour ne rien dire ici de Thierry Baudet, chef de file du parti de droite populiste Forum voor Democratie, qui ne répugne pas à se présenter comme écrivain. Parmi les représentants de la littérature d’expression néerlandaise, Kader Abdolah, originaire d’Iran, fut l’un des premiers à coucher par écrit son vécu de réfugié, entre autres dans De adelaars (Les Aigles) et Le Voyage des bouteilles vides XX . Depuis lors, les textes en prose consacrés à l’immigration sont quasiment devenus un genre en soi. Pourtant, des années-lumière séparent Hôtel Problemski XX, Dimitri Verhulst s’immerge dans un centre pour demandeurs d’asile, et l’effrayant L’oiseau est malade XX d’Arnon Grunberg. Souvent, le réfugié offre matière à opter pour des thèmes plus vastes. C’est ce qu’a réussi à faire, par exemple, Joke van Leeuwen avec Hier (Ici), une parabole sur les frontières et sur les contours de la liberté. « Les frontières maintiennent une pensée de type nous / eux, ce qui ne ressortit pas exclusivement au passé. Au contraire, j’ai l’impression que ce type de pensée binaire s’est renforcé ces dernières années », déclare-t-elle à ce sujet. Jeroen Theunissen, de son côté, a introduit subrepticement le thème des réfugiés dans son roman Onschuld (Innoncence) XX , où l’on voit le photographe de guerre Manuel Horst se faire enlever et torturer par des djihadistes dans le guêpier syrien avant, la chance aidant, de parvenir à s’échapper. Il est très peu disert à propos de sa nouvelle liberté, assure qu’il n’a nul besoin d’un soutien posttraumatique et tombe amoureux de Nada, une réfugiée syrienne. Il rentre avec elle en Belgique, où il leur faut batailler pour se construire une nouvelle existence avec le jeune fils de Nada, Basil. Mentionnons également Rosita Steenbeek, auteure de Wie is mijn naaste? (Qui est mon prochain?), un ouvrage engagé non fictionnel s’apparentant au reportage et consacré à l’accueil des réfugiés à Lampedusa, en Sicile et au Liban. Présenter un miroir au lecteur Venons-en à trois œuvres néerlandaises en prose qui traitent du thème des réfugiés d’une manière beaucoup plus directe et qui, pour se baser sur un récit nettement personnel, n’en parviennent pas moins à donner à cette problématique une portée universelle. Elvis Peeters (° 1957) – qui écrit ses romans en collaboration avec son épouse Nicole Van Bael – est un de ces auteurs flamands qui abordent régulièrement ce thème avec maestria, quoique sans menacer quiconque d’un doigt moralisateur. Plus d’une fois on trouve chez lui un penchant pour l’allégorie et un ton pessimiste. Son roman De ontelbaren (Les Innombrables,…
Qu’est-ce qu’un magneû d’ blanc ? Qu’est-ce qu’un « mangeur de blanc » ?
Lors du décès de Michel…
Ilan Stavans, l’auteur de cet article, paru en espagnol dans le numéro 389 d’octobre 2013 de la revue Revista de Occidente, a aimablement accepté qu’on en publie une traduction française,…
On deur ahan po Pouchdomont Dins l’ Rantoele 83, nos vos cåzéns des ptits payis avou on lingaedje ey ene tuzance da leur, mins k’ estént eclôs dins des pus grands…
Le lecteur qui s’engage dans les travées de la Recherche, ou bien qui considère la masse impressionnante de l’œuvre, a effectivement cette impression…
Pierre TREFOIS (Textes), Valentine DE CORDIER , S’élever aux signes , Éranthis, 2018, 25 p., 12 €, ISBN : 9782874830167Les deux petits volumes…
Deus moes d’ cérudjeye a Mossoul Nén totafwaitmint . Ene cwénzinne di djoûs divant l’ terme, on hôt boss des M.S.F. (Medcéns Sins Frontire) nos vna copler sacwants djoûs, et nos…
Ratacaedje. Bounès fiesses, todi !
Les fiesses del Walonreye , c’ est, tos ls ans, ene boune ocåzion po rtuzer a l’ avni do walon. Vicrè-t i co dins 10, 20... 50 ans. S’…
D'imperceptibles voix: sur Voicelessness (in blog A.T. 22 mai 2017 )
Entretien avec Azade Shahmiri à propos de « Voicelessness…
Regarder la société par le prisme de la citoyenneté
Laurence Van Goethem : Pour toi, Sam, qu’évoque le mot diversité ? Sam Touzani…
Avant toute chose, c’est avant la vie et avant ce qui viendra, maintenant. Entretien avec Noé, auteur-compositeur-interprète bruxellois de 23 ans, à l’occasion de la…
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