Résultats de recherche pour “Auteur” 12571 à 12600 (12902)

Léo a des difficultés à se faire accepter. Quand il parle, il arrive souvent que sa langue fourche, qu’il se mette à bégayer et que son discours en devienne incompréhensible,…

Lorenzo Cecchi, dans son dernier roman, Paul, je m’appelle Paul , traite des questions les plus intimes qui soient : la fratrie, l’identité perdue et retrouvée,…

Vers d’autres ailleurs. Journal de voyage (1954-1996)
En couverture de ses souvenirs littéraires, il s’affichait au Portugal, entre ombre et lumière…

Jack Sparrow. Manifeste pour une linguistique pirate
Laurent DE SUTTER , Jack Sparrow. Manifeste pour une linguistique pirate , Impressions nouvelles,…

40 ans, trop jeune pour mourir
Après avoir affronté une séparation, un déménagement hâtif, des dettes et un changement de travail, Marie-Paule, quarante ans,…

Propos de table. Dialogue entre la vie et le corps
Il y a quelque chose de naturellement réconfortant et d’absolument pas vain à lire, encore et toujours,…

Il ne pouvait y avoir meilleure collection que celle dirigée chez Academia par Marc Bailly pour accueillir le premier roman (après un livre «…

Sortie d’un mariage qui a duré neuf ans, Carol savoure sa solitude dans sa maison bruxelloise avec son chat Diego et sa chienne Gala. Bien dans son corps, dans sa vie…

La complexité de la Franc-Maçonnerie. Approche historique et philosophique
Professeur émérite de l’Université…

Tu vas aimer notre froid. Un hiver en Yakoutie
Qui peut croire qu’au milieu de la Taïga, dans les confins gelés du monde, se trouve un petit bout de Belgique,…

Un valeureux gaillard, Jean-Denis Coumba, petit-fils de Sibri-le-Colosse, descendant de Mamba, le chef de cavalerie du roi des Mossi, quitte l’Afrique et entreprend la traversée vers…

Dans le recueil poétique superbement illustré par Marie Boralevi, Corinne Hoex cisèle…

Imaginez-vous un instant : vous vous trouvez dans une situation difficile, vous êtes en retard à un rendez-vous, vous n’avez pas eu le temps de finir un travail important, vous…

N’avez-vous jamais été totalement subjugué.e, emporté.e par un paysage ? Un lieu qui, d’un seul coup, semble vous envelopper entièrement et vous retenir au creux…

Parmi les pistons de la poésie, les pulsions priment. De mort comprises. En amont, elles se forment, se compriment en pépites dans le corps et de cette mine s’extrait…

Le goût âpre de la poussière afghane
4 juin 2012. Un avion militaire se pose dans une zone de guerre à Kaboul. À l’intérieur, François Weber, un représentant…

Himmler et le Graal. La vérité sur l’affaire Otto Rahn
Le nouvel essai d’Arnaud de la Croix s’inscrit dans le fil de ses travaux…

Un beau samedi d’avril, un triple meurtre tombe sur les bras du commissaire Pierre Van Calster et de son équipe. Une ancienne cantatrice, Alice Dantinne, est retrouvée…

Tension de la pensée avec la réalité, expérience d’une perte d’être, d’une défaillance ontologique qu’Henri Michaux partage avec Artaud, inlassable exploration de l’« …

L’entame dégage un parfum de saga Malaussène , avec un garçon pas très assuré qui se frotte à l’édition, sa machine infernale, la difficulté de se faire…

Avez-vous déjà pensé que votre vie se déroule entre d’innombrables boîtes ? Et que, presque à votre insu, elles vous sont chères, et même indispensables ?Bruno Manster…

Je ne vous ai pas oubliés – Liberté. 1945
Née en 1922, Andrée Dumon a à peine dix-sept ans quand…

Le rire du jeune crocodile. Une enfance au Congo belge de 1950 à 1960. Récit d’une odyssée
Le récit que Jean-Marie Dubetz nous donne à lire est composé de fragments de son enfance dans l’ancien Congo belge, depuis ses premiers souvenirs jusqu’à ses dix ans. Il souligne d’entrée de jeu sa volonté de transmettre son histoire au sein de sa famille, mais aussi auprès d’un public plus large intéressé par son vécu particulier et l’empreinte que ce dernier a laissée sur lui, à savoir la capacité d’émerveillement de l’enfant face à la beauté du monde dans lequel il a grandi. Comment tant de souvenirs ont-ils pu rester marqués dès l’âge de deux ans dans ma mémoire ? Oserais-je dire qu’un coucher de soleil sur ce fleuve gigantesque ne pouvait que laisser des traces indélébiles ? La magnificence de la nature au milieu de laquelle je me trouvais a sans doute eu pour effet de stimuler une sensibilité prête à éclore. Est-ce un hasard si aujourd’hui je suis toujours prompt à m’émerveiller ? Mon regard semble en tout cas d’abord à l’affût du moindre signe de beauté. Ce n’est qu’ensuite qu’il relève ce qui malheureusement semble l’altérer. Jean-Marie Dubetz nous raconte ainsi son enfance divisée en deux parties : il passe les six premières années de sa vie sur plusieurs bateaux avec son père (qui est batelier), sa mère et son frère André. Ensuite, il mettra les pieds sur terre pour nous raconter les quatre années suivantes où il emménagera à Léopoldville, son père réparant désormais les cargos. L’auteur a pris le parti de raconter son histoire à travers son regard d’enfant. Une série de souvenirs juxtaposés nous sont donc dévoilés, où l’on devine en filigrane les particularités du régime colonial, la minorité dominante, le monde de privilégiés auquel appartient Jean-Marie. Maman salue, porte son attention à la santé des hommes. Quand il y a un souci, pendant la traversée, c’est à elle que l’équipage fait appel, car c’est connu, la femme du capitaine soigne aussi. Je vois, j’entends, je comprends. Ma langue est blanche comme celle de maman. Au creux des machines, dans les cales, au village, la noire chante, supplie ou crie. Tout en haut du bateau, la blanche prime. Pourquoi, comment ? Quand je parle blanc comme mes parents, le roi c’est moi. J’adore ça. Vous l’aurez compris, Le rire du jeune crocodile n’est pas un récit engagé qui aurait pour objectif de retracer minutieusement les détails de l’histoire de l’ancien Congo belge. Nous découvrons davantage au fur et à mesure des pages le questionnement d’un enfant, qui nous raconte essentiellement les bêtises qu’il a faites avec son grand frère, inconscient des dangers de la faune locale qui l’entourait (les crocodiles, les hippopotames, les mouches tsé-tsé et les moustiques prêts à transmettre la malaria n’étaient jamais loin). Lorsque le Congo est en passe de devenir un état indépendant, les émeutes, les troubles dans la capitale et le racisme envers les noirs sont en arrière fond, mais n’inquiètent jamais le petit Jean-Marie, dont la principale préoccupation est de s’amuser. Le rire du jeune crocodile est une histoire agréable à lire. Elle est préfacée par Pie Tshibanda, qui salue le travail de transmission et interroge sur le statut de réfugié, dans lequel nous pouvons tous un jour basculer. Un petit bémol : dommage qu’il y ait tant de fautes d’orthographe. Séverine…

Sur les rails. De Victor Hugo à Jacques Roubaud
Comment la littérature, les arts plastiques se sont-ils emparés de l’objet train ? Comment une invention…

Moria. Chroniques des limbes de l’Europe
« On peut faire un homme n’importe où, le plus étourdiment du monde et sans motif raisonnable ; un passeport,…

Poète, essayiste, auteur d’une œuvre exigeante, traducteur, rédacteur en chef de L’Étrangère , Pierre-Yves Soucy délivre dans Reprises de paroles un espace poétique…

Soucieux d’impliquer de la première à la dernière page de son roman historique, Thierry Jacquemin utilise deux outils. D’une part il chérit la personnification, une figure…

La vie quotidienne de Freud et de ses patients
On mesure toute la nouveauté de La vie quotidienne de Freud et de ses patients à l’occasion de sa réédition plus de…
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