En couverture de ses souvenirs littéraires, il s’affichait au Portugal, entre ombre et lumière ; sur celle de son journal de voyage, Marc Hanrez a choisi un cliché qui le campe dans une pose conquérante, entre insolence et insolation, sur les marches du théâtre d’Épidaure.« Vous avez dit : un Journal de voyage ? », et aussitôt s’installe dans l’esprit du lecteur la terrible perspective d’avoir à effeuiller l’album-photo d’un autre, commentaires et exclamations à l’appui… Au moins, quand on est invité chez un couple d’amis qui insèrent une clef USB dans le téléviseur en frétillant à l’idée de vous faire défiler, et donc partager, leur bonheur vacancier, on se console en se gavant de chips et de limonade,…