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Soutien exceptionnel au secteur culturel non subventionné : 2e appel

La Fédération Wallonie-Bruxelles lance un deuxième appel en vue de soutenir le secteur…

Appels à candidatures pour les Prix de poésie de l'AEB

L’AEB (Association des écrivains belges) remettra cette année deux prix de poésie :   PRIX HUBERT KRAINS Le prix Hubert…

Un Futur pour la Culture : proposez votre propre territoire de création !

Au vu du succès rencontré par la première édition de l’appel à projets…

Retrouvez les textes et illustrations de la campagne « Lisez-vous le belge ? » lors d’une expo inédite !

Afin de célébrer et de prolonger la campagne « Lisez-vous le belge ? » qui a eu lieu entre le 16 novembre et le 25 décembre 2020, le PILEn vous invite à la Maison européenne des Auteurs et des Autrices (MEDAA) dès le 1er juin 2021 pour retrouver les textes poétiques et les illustrations mis en avant durant l’opération. Au total, 24 œuvres d’auteurs et d’autrices de la Fédération Wallonie-Bruxelles se répondront grâce à une scénographie conçue par Colombine Depaire. Lisez-vous le belge, c’est quoi ? Lancé par Wallonie-Bruxelles International, ce programme met en avant la littérature belge francophone et s’adresse à un public international. Il a été inauguré au Salon de Genève 2019 et se poursuit depuis via les réseaux sociaux. C’est également une campagne de promotion du livre belge francophone destinée au grand public wallon et bruxellois, financée par la Fédération Wallonie-Bruxelles en réponse aux recommandations du PILEn pour soutenir le secteur du livre face à la crise du COVID-19. Cette opération s’est étendue du 16 novembre 2020 au 25 décembre 2020 et a rassemblé près d’une trentaine de partenaires. Durant trois semaines, les réseaux sociaux de « Lisez-vous le belge ? » ont mis à l’honneur la création en Belgique francophone via le hashtag #LisezVousLeBelge. Réservation Réservation gratuite mais obligatoire en passant par la page Weezevent. Merci de réserver une séance de 1h par bulle. Par exemple, si vous êtes entre colocataires ou en famille, un seul ticket suffit. Nous vous demandons cependant de ne pas réserver un ticket pour plus de 4 personnes (enfants compris). Les auteurs & autrices Vous aurez l’occasion de retrouver les illustrations de Geneviève CASTERMAN, Geoffrey DELINTE, Xan HAROTIN, Monsieur Iou, Félix LAURENT, Annick MASSON, Vincent MATHY, Benjamin MONTI, Victor PELLET, Lisbeth RENARDY, Marine SCHNEIDER et Morgane SOMVILLE. Cette exposition accueillera aussi les textes de Serge DELAIVE, Anna AYANOGLOU, Catherine BARSICS, Soline DE LAVELEYE, Aurélien DONY, Zaïneb HAMDI, Françoise LISON-LEROY, Dominique MAES , Jean-Louis MASSOT, Camille PIER, Milady Renoir et Jérémie THOLOMÉ. Vous découvrirez également du contenu inédit comme des esquisses et œuvres originales, du contenu sonore et serez invités à participer à une bibliothèque belge… Alors, rendez-vous le 1er juin ! Ailleurs sur Lettres Numériques : Lancement de la campagne « Lisez-vous le belge ? » Les chiffres de l’édition belge francophone en 2019 dévoilés par l’ADEB Comment lire le belge sans sortir de chez vous ? Retrouvez Lettres Numériques sur Twitter, Facebook et LinkedIn. — Rédaction…

L'autrice Geneviève Damas reçoit le Prix des lycéens 2021

Au cours de cette année scolaire soumise aux aléas de la situation sanitaire, la lecture a plus que jamais constitué…

Le jeu «décomplexé». Le théâtre flamand vu de France

Dans les années 1980 et 1990, la puissance d'innovation du théâtre flamand…

Il y a assez bien de belgicismes comme ça!

En 1971 et en 1974 , l’Office du bon langage de la Fondation Charles Plisnier se fait remarquer par la publication…

Le festival de littérature Passa Porta Porter la voix de ceux qui ne l'ont pas

Malgré l’impossibilité de se rassembler, les amoureux de romans et…

Traversées - n° 97 - I - 2021 - Janvier 2021

Sommaire • Voisine par Aline Recoura • Dans les pas de Paul Celan Antoon Van den Braembussche • Ma traverse fragile Laurence Werner David…

La Polémique du Nobel décerné à Bob Dylan

[ La Polémique du Nobel  est la 2e Partie du texte intitulé Bob Dylan et le prix Nobel , par Adrian Grafe, à lire également…

Méduse comme opérateur de la fiction: Treasures from the Wreck of the Unbelievable de Damien Hirst, Palazzo Grassi et Punta della Dogana, Venise, 2017

LE SECRET Deux ans après, nous en trouvons encore des traces sur internet, sur Youtube notamment, de cet événement de 2017 qui a pris de court, « estomaqué », parfois scandalisé, le monde de l’art. Les Treasures from the Wreck of the Unbelievable de Damien Hirst se sont déployés, sur quelque cinq mille mètres carrés, dans les deux sites vénitiens du collectionneur François Pinault : la Punta della Dogana et le Palazzo Grassi au bord du Grand Canal, un peu avant la Biennale d’art contemporain, au point de quasiment l’éclipser. Du 8 avril au 3 décembre 2017, ces « Trésors de l’Épave de l’Incroyable » offrent à la vue des visiteurs l’immense collection hétéroclite d’œuvres trouvées dans l’épave d’un bateau, l’Apistos (« incroyable » en grec), coulé près des anciens ports commerciaux de l’Azanie, sur la côte africaine de l’Océan indien, il y a deux mille ans. L’esclave romain affranchi devenu ce fabuleux collectionneur se nommait Amotan II, autrement dit l’anagramme de « I am a fiction ». Mais cela, on l’apprendra plus tard. Comme le découvriront, avec retard, les très riches invités du vernissage, en lisant sur place les cartels XX . Cette exposition de l’artiste britannique Damien Hirst est donc une fiction. Sauf que la plupart des visiteurs, non informés, croient sans peine que les coraux et concrétions marines qui recouvrent abondamment la centaine d’œuvres, dont une grande part monumentales, témoignent de leur long séjour en mer. Sauf que dans l’entrée de la Punta della Dogana, dans des caissons lumineux, des films documentaires, tournés avec des budgets colossaux, font croire à l’authentique campagne de plongée qui aurait été organisée en 2008 pour remonter ces statues monumentales du fond de l’Océan. Sauf que pas une de ces statues, pas un de ces objets, pas un de ces fragments, n’est issu de la soi-disant épave dont on voit la maquette dans le Palazzo Grassi avec l’emplacement précis où chaque pièce aurait été retrouvée. Sauf, enfin, que Damien Hirst a tout réalisé à grands frais, pendant dix ans, de 2008 à 2017, dans le plus grand secret, soutenu par son collectionneur François Pinault qui, lui aussi sans compter, a fait transporter, a assuré et fait installer l’ensemble à Venise, lieu de tous les commerces maritimes et de tous les défis. Certes, puisque toute cette saga est consultable sur internet, les faits sont bien documentés pour qui veut être parfaitement informé. Pourtant, ces faits, qui interrogent ici le faire de l’artiste, méritent une analyse au-delà de l’événement et des réactions des critiques. On observera comment le concept de fiction dérive directement du faire et du façonnage ; puis comment l’artiste feint le face-à-face avec Méduse, à partir de celle qui est reproduite partout, en malachite, dans le Palazzo Grassi ; enfin comment cette figure de Méduse aurait le pouvoir de faire et défaire l’artiste et serait un opérateur essentiel, en fait le cœur battant de l’exposition et de ses enjeux les plus intimes.   INVENTER, FAIRE ET FEINDRE: COMMENT FAÇONNER UN TRÉSOR Damien Hirst, donc, aurait trouvé au fond de la mer un trésor. Or on le sait, trouver signifie « inventer ». Qui trouve un trésor ou un site archéologique en est, dans le langage juridique, « l’inventeur », du latin invenire, qui signifie trouver, selon tous les dictionnaires. Inventer suppose de trouver le lieu où chercher le trésor, de savoir où fouiller pour qu’apparaisse ce qui existait déjà mais n’était pas encore connu, avait été oublié, avait disparu. Tel le Laocoon au XVIe siècle. Le terme, également présent dans la liturgie, est conservé dans l’expression « l’invention de la Sainte-Croix » (1270) XX . Inventer s’oppose à imiter, copier, certes. Mais on voit que le terme est ambigu : il faut inventer quelque chose pour le trouver. Ou bien le trouver pour en être l’inventeur. Nous tournons en rond. Dans ce cas précis, dans cette invention qui oscille d’un côté ou de l’autre en ruban de Mœbius, qu’est-ce que faire ? Œuvrer avec une matière première déjà là, enfouie dans les abysses de l’Océan Indien jusqu’à ce qu’on l’ait trouvée. Comme le Laocoon, trouvé en 1506, était enfoui dans le sol de Rome. Dans le cas de Hirst, travailler « à façon » un matériau archéologique, lui donner une forme, fait passer ce matériau dans le domaine artistique. De même les photos de Paris par Eugène Atget sont passées, au MOMA de New-York, du département documentaire de la photographie à son département artistique. Il s’agit de remodeler un matériau, de changer radicalement de point de vue, de modifier profondément la façon de voir. Il y a un substantif pour désigner cette opération : le façonnage. Quelle est ici la matière première ? Les « trésors » (ainsi nommés dans le titre de l’exposition de Hirst), la cargaison fabuleuse trouvée dans l’épave, « inventée » par Damien Hirst qui l’expose comme son œuvre propre. C’est ce que nous disent les explications affichées à l’entrée de la Punta della Dogana. On aurait eu affaire à une démarche conceptuelle, à une sorte de trésor « ready-made », Juridiquement, il en aurait eu le droit. Sauf que ce trésor soi-disant trouvé, exhumé, a été entièrement fabriqué sous ses ordres, inventé par l’artiste et réalisé par lui-même et sa centaine d’assistants, sans doute aussi de la main-d’œuvre chinoise. D’ailleurs parfois les cartels indiquent : made in China. En fait, il a dissocié l’usage courant des verbes « trouver » et « inventer », brouillé le sens de l’étymologie. Et c’est cela qui a fait scandale. Témoin quelque part dans la Punta della Dogana, une statue de l’artiste lui-même en vieil homme (The collector with friend), en bronze, couvert de concrétions marines comme s’il avait passé deux mille ans au fond des eaux de l’Océan indien, tenant par la main un Mickey avec lequel il aurait séjourné tout ce temps. Et là, ce qu’il façonne serait la figure de l’artiste en éternel enfant, mais à cette enfance selon Bachelard qui n’appartient à aucun temps historique ni à aucun présent. Hirst invente en faisant semblant de fouiller concrètement, il opère un retournement de point de vue. Le matériau qu’il façonne est virtuel, enfoui, certes, mais en lui, comme le ferait le narrateur proustien de La Recherche ou le héros des Cahiers de Malte Laurids Brigge. En fait, Hirst a l’habitude de procéder par façonnage. En 1991, il avait œuvré en mettant pour la première fois dans du formol cette « matière première » qu’était un Requin, pêché à sa demande par un pêcheur australien, et plus tard une Mother and child divided (1993). Le requin, simplement immergé dans du formol exposé dans un aquarium et nommé The Physical Impossibility of Death in the Mind of Someone Living [L’impossibilité physique de la mort dans l’esprit d’un vivant], a dû, au bout de quelques années, être presque totalement remplacé, car le formol n’avait pas suffisamment imprégné l’animal dont la chair, s’étant diffusée en lui, l’avait irrémédiablement abîmé. Seule la peau a été conservée pour mouler un corps d’animal artificiellement reconstitué à la manière des taxidermistes. Si nous sommes maintenant attentifs à la double étymologie du façonnage, nous remarquons que facere (faire) le dispute à égalité avec fingere (feindre) et conduit à la fiction, mais encore à « faction », à l’idée d’un acte « factieux », ce dont relèverait cette formidable exposition de Venise, aux dires de certains critiques indignés. Envisagé du côté de « feindre », le travail « à façon » ne suppose aucun effort physique, il ne dérive pas d’un labor (où ce qui serait mis en avant relèverait du laborieux). En revanche, utiliser le travail de la nature et celui du temps, avec…

Les prix Atomium 2020

Les Prix atomium, qui récompensent chaque année des auteurs et des oeuvres de bande dessinée, ont été attribués ce vendredi 18 septembre. Les auteurs primés sont notamment : • Dominique Goblet…

« Lire, c’est vivre » : une opération de soutien aux librairies indépendantes

Les libraires indépendantes de la Fédération Wallonie-Bruxelles…

Les éditions Mijade nommées pour un prix à Bologne

La foire du livre de jeunesse de Bologne n’aura pas lieu ce printemps dans la capitale émilienne-romagnole, en raison de la crise…

Dans nos archives : Panorama du théâtre belge actuel

À l’occasion de la journée mondiale du théâtre, célébrée chaque année le 27 mars, nous republions un article d’Émilie…

Quelques textes de Henri Karthaus (Dison 1906 - Verviers 1974)

Des quelque deux cents textes qu’il avait dans ses cartons au moment où…

Les noirs secrets – de Jean de La Ville de Mirmont

Babel propose une réédition de Strangulation , le roman de Mathieu Larnaudie paru en 2008 chez Gallimard. Profitons-en pour nous…

50 ans, ça se joue !

Un  Cinquantenaire nouveau vient de prendre place dans le paysage culturel : celui du Théâtre Jean Vilar. Étrange et formidable histoire que celle de ce théâtre et de son fondateur, Armand Delcampe…Le…

Le frère de l’ombre

Dans l’Autre Simenon Patrick Roegiers convoque la figure de Christian Simenon, frère de l’écrivain Georges Simenon, pour éclairer à la fois les circonstances d’une époque noire, la Deuxième…

La scène aux ados – 13 – 14

Forte de ses missions d’éducation, de formation et d’échange, l’association IThAC – anciennement appelée asbl théâtre-éducation Promotion-Théâtre – s’est lancée,…

Ce qui embellit le désert

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Balises - 15-16 - février 2014 - Vérité et violence en art

Sommaire • Editorial par Marc Quaghebeur • Vivre tue Dominique Eddé • Violence de la vérité ou vérité…

Simone

Il est un air très vieux, languissant et funèbre... Nous avons tous à l'esprit l'un de ces airs, l'une de ces chansons, qu'évoque ici Gérard de Nerval. Pas nécessairement languissant et funèbre : il peut…

4e de couverture

Depuis la fin du XXe siècle, on a pu observer une mise en crise systématique du texte théâtral, voire de l’idée du répertoire tout court. Le texte a non seulement perdu sa…