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Les Égarés

Ceci est une ville écarquillée, effarée, démantelée, une ville belle par endroits, à d'autres elle est sale, une capitale usurpée de l'Europe, qui aurait facilement le culot de se…

M’as-tu écrit depuis le port aux parfums ?

Ceci est un livre sur un ami, le temps qui passe, l'enracinement et aussi quelques déplacements, un livre sur…

Chansons de la Grande Droguerie Poétique

Poèmes de la Grande Droguerie PoétiqueLa Grande Droguerie Poétique est un magasin de produits imaginaires créé et animé…

Chemins de la Grand-Place

Un clochard ensoleillé, un archange un peu barré, quelques personnages historiques vous emmènent sur le parcours secret de la Grand-Place de Bruxelles.…

En raison du mauvais temps, dansons !

Elle attrape une paire de ciseaux. Elle déchire sa robe. Elle est surprise de rencontrer un corps, son corps de femme. Aujourd’hui, elle…

La fabrique à cercueils

Recueil de poèmes évoquant les évolutions et les révolutions nécessaires afin d'anticiper l'avenir. Une ville-usine. Dans la partie haute, la section…

Ouf !

Ces poèmes proposent une philosophie de la rue qui pense le monde en s'amusant de lui. Quoi ? Un CD, joint à OUF  ? Excellente idée ! Nous aurait manqué quelque chose, sinon. Inconcevable, en effet,…

Ex cathedra

Un langage qui ne peut s’articuler. Tu es là. Tu regardes. Tu n’es pas né. Pas encore à jamais. Les adverbes définitifs toujours. Tu gardes les yeux ouverts. Ta tête reste introuvable. C’est…

Nocéan

Une femme et un homme vont s’aimer à travers la distance et le temps, dans la chair et le verbe. Le puzzle dont le lecteur est invité à rassembler les pièces dévoile une passion sauvage. Une expérience…

Intérieur cuir : Le fond de mes choses

Le fond de mes choses La civilisation me rend sourde / j’ouvre le regard j’observe les autres avancer / Je suis les ombres, grave…

La Belle Enceinte : Nos amours de Flandre et de Picardie

Qu’est-ce donc que cette « Belle Enceinte » qui fait le titre du dernier…

Fauchage tardif

Poèmes Qu’elle dut avoir froid sous les ébéniers / La petite fille du Stuyvenberg / Le vent glacial sur ses cuisses d’enfant / Qu’elle dut se sentir seule dans le…

Moctezuma : Le dernier soleil

La civilisation aztèque ne peut retourner à la poussière, se voir plongée dans la nuit. Nous qui avons connu les feux de la gloire, le raffinement…

Au soleil la nuit

« C’était au temps de la guerre du Viet-Nam, des hippies, du flower power ». Ce temps «  Où tous les téléphones, tenus en laisse étaient assignés à résidence…

Les chroniques de Mapuetos (Volume 7) : Le totem d’Imyriacht, 252 portraits oniriques (2016-2023)

Patrick Lowie est un drôle d’écrivain (comme on dit un drôle d’oiseau). Il imagine des projets littéraires pour l’emmener où seul Marceau Ivréa sait, Marceau Ivréa, cet écrivain énigmatique qui lui a confirmé l’existence rêvée de Mapuetos, «  la ville qui n’existe pas dans un monde qui n’existe pas  ». Des voyages oniriques pour se perdre, se re-trouver au-delà du monde réel, castrateur d’imaginaire et de poésie. Il rêve et conçoit ces aventures au long cours pour générer une écriture hors-piste, poétique, automatique, parfois ésotérique, toujours exploratrice d’inconscient. Mais pour que ces incursions en terres et mers inconnues puissent continuer leur excursion, ne pas s’épuiser, il a besoin, nous semble-t-il, de trois choses : un point d’attache, des balises, des gens pour lui emboîter le pas, prendre les devants et la tangente. Le point d’attache : son nom. Patrick Lowie. Qu’il dissémine et rive dans de nombreux portraits (mais pas dans le sien). Parfois il note : Monsieur Lowie, quand il est interpellé par ses portraiturés. À son nom, qui s’écrit «  Lowie comme Bowie  », il accole souvent ses fonctions, sortes d’autodéfinition : conteur de rêves, percepteur des invisibles, clinicien des rêves, motivateur, écrivain, éditeur, poète, polyglotte et éternel suspect, etc. Cette répétition obsessive et nominative le retient de s’anéantir dans les rouleaux et les éruptions d’écriture automatique, redonne force à son ego. Son nom est le signifiant auquel il s’agrippe pour revenir là d’où tout part et où tout ne finit pas, là où il est homme avec ses besoins de liberté et de passion.Les balises : les recueils des portraits oniriques qu’il écrit et publie sur internet depuis 2016 : deux volumes parus aux éditions P.A.T, l’un en 2017, 111 portraits oniriques, Les chroniques de Mapuetos n°4 , Next (F9), l’autre en 2020 , 66 autres portraits oniriques, Les chroniques de Mapuetos n°6 et une première intégrale, très bel objet de papier, sortie au mois de juin aux éditions Maelström reEvolution : Le totem d’Imyriacht, 252 portraits oniriques (2016-2023) . Ce dernier recueil reprend les textes des deux premières livraisons ainsi que ceux publiés depuis sur le site www.mapuetos.com [1] . Dès les premières pages, les portraits en eux-mêmes perdent de leur importance au profit des tribulations vers les « champs invisibles ». Cette compilation des textes en livre – atlas sans cartes – assure à Patrick Lowie la cohérence de sa démarche, l’existence de s/ces rêves les plus émancipés, étapes nécessaires, toujours recommencées et déplacées vers Mapuetos.Les gens pour lui emboîter le pas …  : les compagnes et les compagnons de rêve, de voyage, sans oublier ceux des autres (non-)genres – Patrick Lowie n’exclut personne dans son exploration du monde inconscient, même ceux qui prétendent ne pas retenir leur rêve. Avec chacun·e, il crée une étape originale de sa folle équipée, et ce, à partir d’un rêve rêvé par elles, eus, eux, par lui, un rêve qui se métempsychose en texte onirique qui les dit elles, eus, eux, qui le dit lui, qui invente une géographie multilingue et multisite, une géographie mythique avec pour non-centre du monde Mapuetos et Imyriacht, son volcan totem en éruption. Comme nous ne pouvons citer tous ces gens du voyage – il y a des inconnu·es, des artistes, des personnes de plusieurs pays et de plusieurs disciplines, des mort·es aussi – nous préférons n’en nommer aucun, mais nous redisons simplement que sans elles, sans eus, sans eux, sans leur être-même, cette fabuleuse aventure littéraire vers Mapuetos resterait lettre morte, ce qui serait le plus affreux des cauchemars. Michel Zumkir [1] Le site internet Next (F9) sur lequel Patrick Lowie a publié nombre de ces portraits n’est plus tenu à jour et va disparaître, il est maintenant remplacé par le site http://www.mapuetos.com Plus d’information Depuis 2016, Patrick Lowie a écrit 252 portraits oniriques avec le consentement et la participation des portraituré∙e∙s : 118 femmes, 131 hommes et 3 autres genres. Ce recueil est le 7e épisode des Chroniques de Mapuetos.   Le Totem d'Imyriacht - 252 Portraits Oniriques (2016-2023) - Extraits Publish at Calameo…

Prostituée sacrée

La mystique des corps, les puissances cathartiques de l’amour et de l’érotisme composent le noyau des romans et récits de Sophie Buyse , de La graphomane à L’organiste ,…

Si l'immensité était contée

Saviez-vous que la pauvreté n’est pas une fatalité ? Saviez-vous que l’immensité a été inventée dans une clairière ensorcelée et ramenée…

Alna. À l’horizon de nos ventres

Danseuse, performeuse, poétesse, Roxane Lefebvre délivre avec Alna. À l’horizon de nos ventres un chant aquatique, tellurique qui noue…

Le plongeoir

Quatre comédiens sur scène (deux Brésiliens et deux Québécois) hésitent de plonger dans la vie. Le plongeoir est pourtant bien là. Il devrait servir à ça. Pièce d'une beauté abyssale…

Les chroniques de Mapuetos (volume 5) : Le rêve de l’échelle

Pénétrer dans l’univers de Patrick Lowie, c’est faire l’épreuve…

Les Chroniques de Mapuetos (volume 1) : Amaroli Miracoli

Amaroli Miracoli ne reflète en rien la réalité. Marceau Ivréa, narrateur amusé par le monde,…

Depuis que tu n'as pas tiré

Je bosse dans un resto bobo à côté du bazar et de ses murs bariolés style échec et mat alcoolisés. En face, des jardins de Babylone et de leur garage en rouille…

Recoudre la nuit

C’est juste un jour de plus Assise au bord d’une nuit Qu’il me faudra recoudre Personne ne m’avait dit Avant Comment naissent les étoiles

Arianna

… unwinding its scarlet fibres… My hand is not alone Following Arianna’s voice She sings my steps alone I enter the labyrinth * … déroulant ses fibres écarlates… Ma main n’est pas seule…

On ne s'excuse de rien ! (tome 2)

Garder le titre. Garder l’esprit frondeur. Garder les tremblements et la sueur. Saluer les nouvelles plumes, les nouvelles incandescences,…

Les danses de Roberto Succo

Véronique BERGEN, Les danses de Roberto Succo , Maelström, coll. « Bookleg », 2023, 3 € , ISBN : 978-2-87505-480-7D’une densité dessillante,…

La plaine

La Plaine s’étendait sous nos pas et nous n’en savions rien. Neuf poè·é·tes·ses s’associent pour donner voix à La Plaine – monde sous le monde, vous savez ? La Plaine, c’est une terre où respirer…

Le diable en pantoufles

Vu de l’extérieur, le n°18 de l’allée du Silence a tout de l’habitation modèle avec jardinet propret, où niche une famille qui semble l’être tout autant :…

Le poète fait sa pub

«La poésie ne peut pas rester aux seules mains des poètes / / ces types-là ne savent pas ce qu'ils font. / A force de jouer avec les mots dans son coin, comme un / adolescent…

Poèmes sauvages

"je ne le connais plus ce type / que tes yeux verts transpercent / j’ai pensé au ressac de l’océan / sur une plage de Patagonie / que j’ai foulée il y a longtemps / si longtemps…