Résultats de recherche pour “Vincent Poth” 181 à 210 (240)
Fin 2017, Jérôme Poloczek publie cinq opuscules, cinq « jeux » pour ces lecteurs et lectrices. Mi-2018, je lis et je relis ces opuscules et je pense : Tu désires écrire ?…
Que l’aventure poétique ne fasse qu’un avec un enjeu vital, une urgence existentielle, À l’abri de l’abîme, le premier recueil du jeune poète Vincent Poth…
À l’occasion du 450ème anniversaire de la mort de Pierre Bruegel l’Ancien, décédé à Bruxelles en septembre 1569, Vincent Delannoy retrace l’effervescence créatrice…
Un Cinquantenaire nouveau vient de prendre place dans le paysage culturel : celui du Théâtre Jean Vilar. Étrange et formidable histoire que celle de ce théâtre et de son fondateur,…
On peut boire la transpiration d’un cheval
Cracheur de feu sonore, activiste expérimental, écrivain, performeur, philosophe biohardcore, professeur aux Écoles…
Prix « Ottignies-Louvain-la-Neuve de la Nouvelle » : appel à candidatures
La Ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve relance le Prix littéraire de la Nouvelle.…
Afin de célébrer et de prolonger la campagne « Lisez-vous le belge ? » qui a eu lieu entre le 16 novembre et le 25 décembre 2020, le PILEn vous invite à la Maison européenne des Auteurs et des Autrices (MEDAA) dès le 1er juin 2021 pour retrouver les textes poétiques et les illustrations mis en avant durant l’opération. Au total, 24 œuvres d’auteurs et d’autrices de la Fédération Wallonie-Bruxelles se répondront grâce à une scénographie conçue par Colombine Depaire. Lisez-vous le belge, c’est quoi ? Lancé par Wallonie-Bruxelles International, ce programme met en avant la littérature belge francophone et s’adresse à un public international. Il a été inauguré au Salon de Genève 2019 et se poursuit depuis via les réseaux sociaux. C’est également une campagne de promotion du livre belge francophone destinée au grand public wallon et bruxellois, financée par la Fédération Wallonie-Bruxelles en réponse aux recommandations du PILEn pour soutenir le secteur du livre face à la crise du COVID-19. Cette opération s’est étendue du 16 novembre 2020 au 25 décembre 2020 et a rassemblé près d’une trentaine de partenaires. Durant trois semaines, les réseaux sociaux de « Lisez-vous le belge ? » ont mis à l’honneur la création en Belgique francophone via le hashtag #LisezVousLeBelge. Réservation Réservation gratuite mais obligatoire en passant par la page Weezevent. Merci de réserver une séance de 1h par bulle. Par exemple, si vous êtes entre colocataires ou en famille, un seul ticket suffit. Nous vous demandons cependant de ne pas réserver un ticket pour plus de 4 personnes (enfants compris). Les auteurs & autrices Vous aurez l’occasion de retrouver les illustrations de Geneviève CASTERMAN, Geoffrey DELINTE, Xan HAROTIN, Monsieur Iou, Félix LAURENT, Annick MASSON, Vincent MATHY, Benjamin MONTI, Victor PELLET, Lisbeth RENARDY, Marine SCHNEIDER et Morgane SOMVILLE. Cette exposition accueillera aussi les textes de Serge DELAIVE, Anna AYANOGLOU, Catherine BARSICS, Soline DE LAVELEYE, Aurélien DONY, Zaïneb HAMDI, Françoise LISON-LEROY, Dominique MAES , Jean-Louis MASSOT, Camille PIER, Milady Renoir et Jérémie THOLOMÉ. Vous découvrirez également du contenu inédit comme des esquisses et œuvres originales, du contenu sonore et serez invités à participer à une bibliothèque belge… Alors, rendez-vous le 1er juin ! Ailleurs sur Lettres Numériques : Lancement de la campagne « Lisez-vous le belge ? » Les chiffres de l’édition belge francophone en 2019 dévoilés par l’ADEB Comment lire le belge sans sortir de chez vous ? Retrouvez Lettres Numériques sur Twitter, Facebook et LinkedIn. — Rédaction…
Le Carnet et les Instants - 2e trimestre 2021 - La Carnet et les instants 207
Sommaire • Namur, l’enquête littéraire (… et petite flânerie littérante…
Dictionnaire de citations pas comme les autres
On peut imaginer que, dans la vie de deux enseignants passionnés de littérature comme Liliane Schraûwen…
Le recueil l a Ligne blanche regroupe de nombreux auteurs et autrices autour de la réflexion « Que représente la ligne blanche ? ». Leurs styles se mélangent pour offrir au lecteur des textes plus originaux…
Petit manuel de survie en zone tempérée
Bon. Allez. J’avoue. Je jalouse, extrêmement, tous ces gaillards, toutes ces gaillardes, à l’œil vif et pointu, ces intelligences…
Il est un endroit secret où toutes les histoires du monde se rejoignent. Bienvenue à la Pension Almayer. Un livre choral qui ouvre les portes du temps. " À la Pension Almayer,…
Le ciel comme élément clé du paysage [Photographie]
La photographe paysagiste néerlandaise Saskia Boelsums aime la nature. Elle vit dans le même environnement et sous le même ciel que nombre d’illustres maîtres anciens. * Tout comme chaque auteur connaît ses classiques, je me suis bien entendu, en tant qu’artiste, intéressée de près aux maîtres anciens. Je ne les plagie pas, pas plus qu’un écrivain moderne ne copie Camus ou ne tente d’égaler Sartre. Ils n’en ont pas moins une influence considérable sur mon travail. Les maîtres néerlandais tels que Jacob van Ruisdael et, plus tard, Willem Maris et Vincent van Gogh font partie intégrante de l’histoire culturelle néerlandaise. De plus, leur influence sur la peinture et sur notre expérience du paysage est telle qu’ils déterminent toujours en partie la façon dont nous voyons le monde. Des études ont même été faites sur la question de savoir si la lumière de l’époque existe toujours aujourd’hui! De cette manière, les maîtres anciens ont également eu une énorme influence sur moi-même et sur mes photos de paysages. Non pas parce que j’en ai étudié à fond tous les détails. Non, la raison est beaucoup plus simple. La nature comme objet de fascination Je vis et je travaille dans le même paysage et sous les mêmes cieux que ces maîtres anciens. Et comme les Pays-Bas sont tellement plats, le ciel est souvent l’élément le plus impressionnant du paysage. Les nuages, le bleu entre eux, les échelles de Jacob qui mènent au ciel, les rayons de soleil qui, par temps couvert, éclairent au loin un arbre, un seul, dans un champ par ailleurs sombre… Il est logique que j’opte souvent dans mon travail pour un horizon bas afin de refléter le jeu impressionnant de ces nuages. Un Néerlandais voit toujours une grande partie du ciel. Bien que l’on me connaisse surtout comme photographe paysagiste, je suis artiste plasticienne de formation. À l’époque de l’académie, j’adorais apprendre toutes sortes de techniques, de la soudure au marbrage, de la peinture à la photographie. Par ailleurs, je m’intéresse beaucoup à l’histoire de l’art. Il est fascinant de constater combien l’art est le reflet de son époque et comment il évolue parallèlement à la société. Un peintre peut toujours pratiquer les techniques traditionnelles en utilisant toiles, pinceaux et couleurs, mais aujourd’hui il peut aussi atteindre le même résultat de façon électronique, en se servant d’une tablette et d’un stylet ou d’un pinceau tactile. Moi-même, j’utilise une tout autre technique. La nature me fascine. Il ne s’agit pas d’une fascination froide, technique. Non, j’aime la nature, j’aime me trouver à l’extérieur, errer dans les bois, me perdre dans de vastes étendues, ressentir l’espace qui m’entoure, le temps qu’il fait. Lorsqu’il fait froid, je veux avoir froid; lorsqu’il fait chaud, je veux irradier de chaleur. Et ce ressenti, je tente de le fixer dans la photographie. La photo que je fais sur place n’est pour moi que le début du processus. Non pas que cette photo soit sans importance, au contraire. Car je planifie très soigneusement mes séances. Souvent, je pars reconnaître les lieux, je décide dans quelles circonstances je souhaite faire une photo à cet endroit précis, je m’y rends lorsque le temps s’y prête à un moment soigneusement choisi. Une fois arrivée, j’attends le moment décisif, le moment où je sens jusqu’au fond de mes fibres: c’est maintenant que je dois faire cette photo! Cette photo est mon matériau de base. Car je l’aborde à la façon d’un croquis. Comme je travaille avec des fichiers RAW, je dois ensuite adapter la photo et la peaufiner, en particulier en ce qui concerne la couleur et la luminosité. Je le fais de telle manière que l’image finale me fait revivre le ressenti du moment. Que je ressens de nouveau le froid lorsqu’il s’agit d’un paysage hivernal, ou que je savoure de nouveau le soleil dans le cas d’un cliché estival. Ces interventions, je les fais évidemment sur l’ordinateur. Il est en quelque sorte ce que l’atelier était pour les maîtres anciens. Je retravaille mes croquis - les photos brutes - jusqu’à ce que les moindres détails me conviennent et que l’image reflète l’émotion recherchée. On me demande souvent pourquoi mes œuvres sont carrées. À vrai dire, c’est la faute des réseaux sociaux, en particulier d’Instagram. Car au commencement mes photos de paysages étaient bel et bien rectangulaires. Mais lorsque je les partageais sur les réseaux sociaux, elles devenaient carrées! Ces grossiers programmes coupaient, sans me demander mon avis, de grandes parties de mes paysages soigneusement composés. Comme je n’ai rien pu y changer, je me suis adaptée et je suis passée au format carré. L’exercice n’a pas été simple, car l’obligation de changer les proportions du paysage me contraignait à rechercher mieux encore l’essence de la photo pour obtenir une image forte et claire. Tradition picturale Mais revenons un instant aux maîtres anciens néerlandais. Ils ont fait un travail remarquable qui tient toujours fièrement la route aujourd’hui. Et ce travail est aussi typiquement néerlandais. Dans l’exposition Sprezzatura qui s’est tenue au Drents Museum à Assen, j’ai vu un tableau qu’un peintre italien avait réalisé d’un paysage néerlandais. Il avait beau être parfait techniquement, il lui manquait un petit quelque chose d’indispensable. On me demande parfois s’il m’arrive d’aller photographier à l’étranger. Je réponds alors par l’affirmative, mais je me rends bien compte que j’y regarde l’environnement avec des yeux d’étrangère. Qu’un paysage désertique ou montagneux héberge un monde qui m’est inconnu. Ou qui ne m’est pas aussi connu que le paysage néerlandais dans lequel je vis et travaille depuis des années et dont je connais aussi l’histoire. Dans lequel j’ai grandi et où j’ai été formée par la riche tradition picturale des maîtres anciens néerlandais. Saskia Boelsums Artiste néerlandaise de l’Année 2020 Photographe paysagiste www.saskiaboelsums.nl [Traduit du néerlandais par Caroline Coppens] © 2020, Saskia Boelsums, magazine Septentrion 2-2020…
Fleurs de funérailles : accompagner les défunts en poésie
Devenu poète national au début de l’année, Carl Norac s’est interrogé sur ce que peuvent les poètes en cette…
Beaucoup attendent de la foi consolation et certitude. Moi, j’en espère la liberté. Croire pour moi, c’est prendre son envol, malgré ou grâce aux blessures…
Vincent Engel sur les traces d’une civilisation perdue
Cela commence à l'université . Charles Vinel, un jeune professeur d'archéologie…
Dérivations - 3 - 2016 - # 3 - Septembre 2016
Sommaire • Façades aveugles, maisons archi-intimes (in Sur le pont) par Caroline Lamarche • Sur le pont Le temps d’une place Marie-Noëlle…
Sarah Berti n’en est pas à son premier polar au sein d’une œuvre littéraire par ailleurs abondante, mais la Rebecquoise consent cette fois une infidélité à son terroir brabançon…
Cahiers internationaux de symbolisme - 137-138-139 -2014 - Monstres
Sommaire • Introduction par Catherine Gravet, Pierre Gillis • Témoigner la monstruosité…
Rêves et vies d’Alphonse Brown, Mike Triso, Henri M et Diego Dora
À dix reprises, Vincent Tholomé a rencontré des élèves…
Écrire en marchant. Premiers pas
Deux événements minuscules se produisent à ce moment-là. Une mouche, soudain piégée au cordon de glu qui pend du lustre au-dessus de…
Un Cinquantenaire nouveau vient de prendre place dans le paysage culturel : celui du Théâtre Jean Vilar. Étrange et formidable histoire que celle de ce théâtre et de son fondateur, Armand Delcampe…Le…
Points critiques - 380 - mars-avril 2019 - Antisionisme, antisémitisme
Sommaire • Un cœur converti par Tessa Parzenczewski • De l'art de parler et d'avoir…
Francophonie vivante - 3 - 2016 - Bruxelles, diversité culturelle (Dossier)
Sommaire • Editorial par Myriam Watthee-Delmotte • Bruxelles, un lieu polyphonique…
Traversées - 75 - 2015 - 1er trimestre 2015
Sommaire • L'art du haïku par Dominique Chipot • Refrain (fragment) par Bernard Grasset • David Colling : Le haïku à la mode? • Haïkus…
Belgique, terre de poètes : le cliché est toujours d’actualité ! Mais au-delà des formules, qu’est-ce qu’être poète, aujourd’hui, en Belgique francophone ? Que demeure-t-il d’un…
Alternatives théâtrales - 126-127 - janvier 2016 - Amitié, argent... les nerfs du théâtre
Sommaire • Passage de témoin Bernard…
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