Instituteur, peintre, critique d’art, parolier de chansons, dessinateur de presse, affichiste, il n’y a pas à dire : Jo Dustin aura été de ce genre d’individus à géométrie variable, touchant avec bonheur à tout ce qui lui tenait à cœur. Chronique du temps qui lasse est une belle occasion de découvrir – et pour cause ! – un Jo Dustin poète.Écrits entre 1956 et 1993, disséminés dans divers carnets de notes, les poèmes de Dustin n’auront été dévoilés au public qu’après sa disparition. Si leur auteur ne les a pas, de son vivant, donné à lire, ils ne constituent pas pour autant un « jardin secret », « strictement interdit au public ». À les lire – et à les entendre –, on ne ressent pas, en tout cas, la sinistre impression…
Thibaut Creppe n’est pas un inconnu au sein du petit monde de la littérature belge. Né en…
Il y a plus de vingt-cinq ans, les vents d'Armor m'inspirèrent ces poèmes dédiés à la femme…