Le petit mot



À PROPOS DE L'AUTEUR
Laurent Herrou
Auteur de Le petit mot
Laurent Herrou écrit et publie depuis 2000. Reconnu dans le domaine de l’autofiction (Les enjeux de la chair dans l’écriture autofictionnelle, EME Editions, 2017, Louvain-La-Neuve), son travail interroge tout autant le quotidien que le geste d’écrire lui-même, ses rites, sa nécessité, son impératif. Avec Pauline Sauveur, il a créé * Public Averti, collectif libre d’artistes, en 2015 : ensemble, ils organisent des lectures et des expositions.


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Le Carnet et les Instants

« J’ai commencé un texte que j’ai intitulé Fnac, en recherchant systématiquement dans mon journal toute phrase en rapport avec la Fnac, depuis que j’y travaille. »Quand on connaît la place que Laurent Herrou accorde à l’écriture de son journal, et comment cette écriture est à l’origine de la plupart de ses projets littéraires, on est frappé par sa capacité à se renouveler continuellement à partir d’une telle matière. Laurent Herrou a travaillé pendant huit ans à la Fnac de Nice, au rayon librairie. Il en est sorti indemne, et c’est sans doute en partie grâce à la composition du Petit mot, son dernier livre, où il recense, année après année, les fragments où apparaissent le mot « Fnac ». Le livre est divisé en huit sections, dûment…


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Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919

À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…

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