Le petit mot

À PROPOS DE L'AUTEUR
Laurent Herrou

Auteur de Le petit mot

Laurent Herrou écrit et publie depuis 2000. Reconnu dans le domaine de l’autofiction (Les enjeux de la chair dans l’écriture autofictionnelle, EME Editions, 2017, Louvain-La-Neuve), son travail interroge tout autant le quotidien que le geste d’écrire lui-même, ses rites, sa nécessité, son impératif. Avec Pauline Sauveur, il a créé * Public Averti, collectif libre d’artistes, en 2015 : ensemble, ils organisent des lectures et des expositions.
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Le Carnet et les Instants

« J’ai commencé un texte que j’ai intitulé Fnac, en recherchant systématiquement dans mon journal toute phrase en rapport avec la Fnac, depuis que j’y travaille. »Quand on connaît la place que Laurent Herrou accorde à l’écriture de son journal, et comment cette écriture est à l’origine de la plupart de ses projets littéraires, on est frappé par sa capacité à se renouveler continuellement à partir d’une telle matière. Laurent Herrou a travaillé pendant huit ans à la Fnac de Nice, au rayon librairie. Il en est sorti indemne, et c’est sans doute en partie grâce à la composition du Petit mot, son dernier livre, où il recense, année après année, les fragments où apparaissent le mot « Fnac ». Le livre est divisé en huit sections, dûment…


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À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…

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