Résultats de recherche pour “M&” 1591 à 1620 (1679)
Maurice Maeterlinck et Pelléas et Mélisande
Il est né à Gand en 1862 et mort à Nice en 1949. Il a fait oeuvre de poète, de dramaturge et d'essayiste. En 1911, il se voit décerner le Prix…
Tout Eddy est dit. Écrits 1969-1979
Bien sûr, vous ne connaissez pas Jeanne Rahier, et personne ne pourra vous en faire grief, car la production de cette Serésienne (1896-1981)…
Points critiques - 378 - novembre-décembre 2018 - Femmes libres!
Sommaire • Hélène Cixous, d'Osnabrück à Jérusalem, à contre-oubli par Tessa Parzenczewski •…
Dorinne / Dorène XX XX À mèsse, li djoû qu’èle va à l’ comunion , èle dimeûre voltî après l’s-ôtes. Li pwate qui r’clape on…
Cahiers wallons-Rèlîs Namurwès - 3 - 2015 ( 78e année ) - Mai - juin 2015
Sommaire • Réception des Rèlîs Namurwès au Palais provincial par Bernard Louis…
Cahiers wallons-Rèlîs Namurwès - 2 - 2016 ( 79e année ) - Mars -avril 2016
Sommaire • 95 kulos èt one faflote par Joëlle Spierkel, R. N. •…
Le poète en société et dans la presse. Verhaeren journaliste
1 Émile Verhaeren est probablement le poète qui bénéficie du plus de stature dans la poésie belge francophone…
S’ouvrir à l’essence de la vie
Philippe LEKEUCHE , Poème à l’impossible , Peintures de Jean Dalemans, Taillis pré, 2018, 74 p., 10 €, ISBN : 978-2-87450-125-8 Tu retournais le Bonheur Le mettais…
Accents toniques. Journal de théâtre (1973 – 2017)
Le théâtre vu, regardé, lu, écrit, analysé, raconté par Jean-Marie Piemme en trois…
Quelques mots de la Grande Guerre
Tenter de cerner, à un siècle de distance, ce que fut la Grande guerre passe aussi par une exploration du langage. On trouve sur internet plusieurs…
De Cocteau à Bauchau, en passant par Anouilh et Brecht, Antigone, l’antique figure de la résistance, est loin d’avoir été à jamais emmurée. Et alors que certains titrent qu’une troisième guerre mondiale…
Tu m’as trempé, tel un acier qu’on forge Émile Verhaeren, L’Escaut L’Escaut ! Lets go ! Il faut l’aborder avec ses muscles, ses paumes ou ses mollets,…
Economeye : Li pris d’ voste aiwe
E Walonreye, on mete cube d’ aiwe ki vos alez poujhî al cråne do robinet vos costêye a pô près 5 uros. Kimint carculnut i ç’…
L’usage du faux (3) – La copie
Nicolas Marchal poursuit pour Karoo sa série d’articles intitulée « l’usage du faux », réflexions sur la fiction et ses frontières, ses infinis, ses jeux de miroirs.…
Un ouvrage qui aurait pu disparaître
Les textes sulfureux de l’abbé ont connu un bien étrange destin... Des copies sont arrivées à Paris où elles ont été…
In Memoriam : HENRY MATTERNE, vice-président des Rèlîs Namurwès (1929-2015)
Po rinde bon d’vwêr à…
14-18, un passé entre front guerrier et zones occupées
DES AUTEURS N'AYANT PAS CONNU LA GRANDE GUERRE SE SONT PENCHÉS SUR CETTE EFFROYABLE…
Béatrix Beck : « La vraie littérature est hermaphrodite »
Béatrix Beck est peut-être, à 88 ans, la doyenne des lettres françaises. Des lettres françaises de Belgique ?…
Dans ce roman de Dina Kathelyn, nous sommes plongés dans la vie d’Élodie, une jeune femme légèrement complexée et renfermée, qui ne se sent exister qu’à travers le regard de l’autre…
La ville en chantier ou la marche entravée: vers une perception renouvelée de l'urbanisme oriental romain Laurent Tholbecq La communication vise à explorer le rapport entretenu…
Il s'agit de deux variantes inédites de Philippe Cantraine pour Une symphonie Or, mises en regard du roman publié par les éditions Luce Wilquin, p. 218-220…
Fraternités Ouvrières, haut lieu de permaculture discrète : entretien avec Josine et Gilbert Cardon
HR : Pourquoi « fraternités ouvrières » ? JC : Parce qu’on vient du monde ouvrier. Dans la période où on a fondé l’association, on ne voyait pas que cela puisse s’appeler autrement. On était déjà dans cette période de crise. On se connaissait entre syndicalistes et on a été vidé des équipes populaires en raison des engagements politiques de certains. HR : Les équipes populaires ? JC : Un mouvement d’éducation permanente mais d’obédience catholique, qui n’a pas supporté ici que des gens fassent partie de ces équipes et soient en même temps engagés dans des actions politiques non PSC. HR : Quelle époque ? JC : En 1969, 68/69. Il y a eu des statuts spéciaux et on a été viré et cela nous a fait le plus grand bien ! Parce qu’alors on a tout réinventé : tout n’arrivait pas mâché bouilli de la maison mère : on a dû faire la tambouille nous-mêmes ! Réfléchir comment on allait organiser un mouvement. 50 personnes ont quitté les équipes populaires à ce moment-là ; on a fait des activités entre nous. HR : Tu parles d’orientation politique pourtant fraternités ouvrières, c’est une association d’agriculture biologique, dès l’origine ? JC : Non, c’est n’importe quel thème de réflexion, de possibilité d’analyse des situations, du monde dans lequel on vit, pour le transformer. À un moment, on s’est englouti complètement dans le jardin, dans l’apprentissage du jardinage naturel, dont on ignorait beaucoup de choses. Mais ce qu’on voulait, c’est de ne plus employer de poison. Dès le début, on a été pris par la demande, tellement il y avait d’amateurs. On a eu jusqu’à 1200 membres. On a reconsidéré l’éducation permanente un peu autrement. On n’a pas commencé à mettre des thèmes, par exemple : voilà, on va parler du krach boursier qu’il y a eu dans les années 80. On n’a plus prévu de thème mais c’est au moment des réunions que les conversations se sont dirigées naturellement vers un thème. L’actualité est là qui guide ; ces rencontres ne sont pas dirigistes. Le thème vient naturellement entre les personnes qui disent leur avis. On constate que les plus pauvres sont toujours esquintés par les plus riches. Prise de conscience importante qui signifie une prise de responsabilité en tant que citoyen où les gens vont devoir réfléchir à comment ils votent pour quel programme ils vont voter et c’est aussi pour les animateurs principaux de l’association, c’est un moyen de demander aux gens de faire l’effort de s’intéresser, de se faire responsables, eux aussi de la société qui va mal parce que ils ont aussi leur part à donner. Consacrer du temps à réfléchir, à ne pas répondre, je m’en fous et laisser tout aux seuls élus politiques. HR : Ces réunions se font en dehors des rencontres jardinages ou en leur sein ? JC : Cela se fait spontanément. Parfois des thèmes sont prévus mais il n’y a pas un dirigeant qui aurait ses conceptions. Il y a échange : les gens prennent, reçoivent des éléments d’informations qu’ils ne comprenaient pas. Un exemple : il y a quelqu’un qui était raciste et s’exprimait souvent contre les personnes d’autres origines présentes dans le pays. Et puis à un moment donné on a expliqué les migrations. Comme il y a une ignorance de l’histoire, on a expliqué les migrations, les problèmes qui engendrent les migrations et qu’il y en a partout sur toute la planète, dans tous les sens. Et on s’est rendu compte que dans la même conversation, cette personne défendait le migrant ! En disant, il y en a qui sont obligés. C’était un jeudi après-midi, quand on est à plusieurs et que des choses discutent. HR : Et le jardinage naturel ? JC : C’est arrivé en 78. Il y a eu des activités (sur le style des autres associations d’éducation permanente). On a abordé comme sujet les jardins. Et on a été happé ; on n’avait pas le temps de préparer quelque chose de complètement dirigé, pourtant, cela s’est passé quand même parce que les gens parlent entre eux, parce que le fait d’être bien ensemble ; il y a toute une série de circonstances qui font que quand on est à 10 ou 12, quelqu’un va lancer quelque chose et c’est parti, on discute. HR : Et Gilbert et toi, vous aviez une sensibilité particulière par rapport au jardinage ou vous aviez appris ? JC : Pas du tout. Tout ce qu’on a appris, c’est par nos propres moyens avec... justement, la formation permanente [rires]. HR : Et maintenant, vous avez deux jardins d’une grande superficie ? JC : On a notre jardin, ici, qui est le plus proche des gens qui viennent – juste à côté de la salle de réunion – et puis il y en a un autre, qui est un jardin collectif qui se fait avec 6 familles, qui se situe du côté Flandres, à Albeek. HR : Et ces familles ? JC : Il y a des personnes qui font partie du groupe, pratiquement tous... Ce sont des gens de la région. Il y a 6000 mètres carrés. 6 ares donc ? (Non, 60...) HR : Vous le divisez ? JC : Non, tout est en collectif. On travaille ensemble puis on partage les récoltes. Ici le jardin fait 1800 mètres carrés. HR : Gilbert avait un jour dit le nombre d’arbres qu’il y a dans ce jardin... JC : Oui, plus de 2000 ! HR : Le type de travail de la terre que vous préconisez est assez particulier. On parle de « permaculture » bien que Gilbert semblait réservé par rapport à ce mot ? Mais c’est de la permaculture. Comment y êtes-vous venus ? JC : Ben Gilbert dit : moi, c’est par paresse en premier lieu... Dring... [on sonne à…
Jean Cayron: Les disfindeus d’ l’ acoird acsegnnut ki les payis d’ Azeye, Inde et Chine e leu tiesse, fwaiynut des demonés acoirds di comiece. Ki, si on n’ si…
Edition : Paul Nougé, « Je mens comme tu respires »
Qui fut-il ? Un biochimiste fourvoyé en littérature, ou un littérateur égaré en biochimie ? « La tête la plus forte du…
À propos des Roseaux noirs (dossier Marie-Thérèse Bodart)
« Un livre est toujours semblable à ce message que le poète enfermait dans un flacon…
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