Résultats de recherche pour “Auteur” 12001 à 12030 (12902)

Il y a assez bien de belgicismes comme ça!
En 1971 et en 1974 , l’Office du bon langage de la Fondation Charles Plisnier se fait remarquer par la publication…

Deux fils rouges de la littérature maghrébine en langue française
Le foisonnement de la littérature maghrébine est tel qu’on…

Objectifplumes.be la nouvelle adresse du livre belge francophone
La toute proche Foire du livre de Bruxelles accueillera un événement singulier : le lancement du portail…

Thomas Gunzig - la liberté solitaire, mais pas trop
La Vie sauvage , Le Tout Nouveau Testament , Kiss & Cry … Entre romans, nouvelles, bandes dessinées, scénarios pour le cinéma…

Dans ce premier roman, l’auteure belge Amélie Dieudonné aborde de façon très intime l’expérience du burn-out. Dans ce premier roman,…

Entretien avec Eduardo Halfón (1) – Carte(s) d’identité(s)
En mars 2015, Maxime Hanchir a rencontré à plusieurs reprises l’auteur…

Entretien avec Eduardo Halfón (3) – Genèses d’une œuvre
En mars 2015, Maxime Hanchir a rencontré à plusieurs reprises l’auteur…

Simenon à Neufchâteau et la BD belge
La mémoire-papier des grands Belges : deux belles propositions de lecture en Province de Liège Etrange pays que le nôtre. Ramassé sur…

Thilde Barboni: Sciences en bandes dessinées
Quelles sont les sciences évoquées par Thilde Barboni * , et quelle est leur place dans les intrigues de ses…

La fin de quelque chose ( Editorial )
In the old days Hortons Bay was a lumbering town. No one who lived in it was out of sound of the big saws in the mill by the lake. Then one year there were no more logs…

Il existe entre un livre et son auteur un espace d’exploration littéraire que Michel Joiret appelle en collaboration avec Noëlle Lans, « Voyage en pays…

Marcel Lecomte et Franz Kafka, une traduction discutée
1. Marcel Lecomte a traduit des textes littéraires de l’allemand et du néerlandais. Son premier…

Bruxelles. La ville vue par des écrivains du XIXe siècle
Repris sous une forme modifiée par Julien Gracq dans l’incipit de…

« Je ne veux pas faire de trucs à message »
Emporté par sa période de promo, Thomas Gunzig a accepté de se livrer sur son métier, sa carrière et son nouveau…

Prix Mireille Habets et Pierrot Habets 2024 : appel à candidatures
Dans le cadre de l'édition 2024 du Prix Mireille et Pierrot Habet, un appel à candidatures est…

Les Prix de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont été renommés récemment Les Espiègles . Un appel à candidatures à destination des auteurs et autrices en langue régionale est lancé pour deux de ces prix : L’Espiègle de la première œuvre en langue régionale et l’Espiègle de théâtre en langue régionale L’Espiègle de la première œuvre en langue régionale Ce prix récompense attribué à un auteur ou une autrice publiant sa première œuvre en langue régionale . Ce prix, doté de 500 euros, est ouvert aux personnes n’ayant jamais publié une œuvre en langue régionale endogène chez un éditeur papier ou numérique. Le Prix récompensera un texte littéraire, court, original et inédit, écrit dans l’une des langues régionales reconnues en Fédération Wallonie-Bruxelles, qu’il s’agisse d’une langue d’origine romane comme le champenois, le lorrain, le picard ou le wallon ou encore d’une langue d’origine germanique comme le francique ou le brabançon. Le jury de ce prix sera composé de membres de la Commission des Écritures et du Livre (session « Langues régionales endogènes ») qui peuvent faire appel, le cas échéant, à des experts extérieurs. La proclamation de ce prix aura lieu à l'automne 2024. Les œuvres présentées au prix seront inédites. L’Espiègle de théâtre en langue régionale En 2024, le prix triennal de littérature en langue régionale de la Fédération Wallonie-Bruxelles sera attribué dans la catégorie "théâtre". Ce prix adoptera le nouveau nom d'Espiègle de théâtre en langue régionale. Ce prix, doté d’un montant de 2.500 € attribué à l'auteur ou l’autrice, récompense une œuvre rédigée dans l’une des langues régionales reconnues en Fédération Wallonie-Bruxelles, qu’il s’agisse d’une langue d’origine romane comme le champenois, le lorrain, le picard ou le wallon ou encore d’une langue d’origine germanique comme le francique ou le brabançon. Le jury de ce prix sera composé de membres de la Commission des Écritures et du Livre (session « Langues régionales endogènes ») qui peuvent faire appel, le cas échéant, à des experts extérieurs. La proclamation de ce prix aura lieu à l'automne 2024. Poser sa candidature - Pour l’Espiègle de la première œuvre en langue régionale : Les œuvres devront être adressées le 10 février 2024 au plus tard au Service des Langues régionales endogènes de la Fédération Wallonie-Bruxelles, via l'adresse électronique suivante : langues.regionales(at)cfwb.be - Pour l’Espiègle de théâtre en langue régionale : Les œuvres présentées au prix seront soit inédites, soit publiées après le 1er février 2021. Elles devront parvenir le 10 février 2024 au plus tard, en six exemplaires, au Service des Langues régionales endogènes de la Fédération Wallonie Bruxelles, c/o Charmarke OSMAN OMAR, 44 Boulevard Léopold II, 1080 Bruxelles L'acte de candidature est à effectuer par l'auteur ou par sa maison d'édition ; à titre exceptionnel et sur demande de la Commission des Écritures et du Livre, le jury pourra inclure dans ses délibérations des œuvres méritantes remplissant les critères d'éligibilité mais n'ayant pas fait l'objet d'actes de candidature. Plus d’informations L’appel complet sur le site du Service des langues régionales endogènes Le règlement de l’Espiègle de théâtre en langue régionale (PDF) Le règlement de l’Espiègle…

Prix Mireille Habets et Pierrot Habets 2023 : appel à candidatures
Dans le cadre de l'édition 2023 du Prix Mireille et Pierrot Habet, un appel à candidatures est…

Le recueil de Thierry Werts qui paraît aux éditions Pippa se lit comme un carnet d’impressions de voyages. Ou plutôt, comme les éclats d’une mémoire vagabonde…

Michel Hody, auteur de Crimes en rouche et blanc, est liégeois et s’est mis à la littérature après une carrière professionnelle pendant laquelle il avait publié…

Une autre fin du monde est possible. Vivre l’effondrement (et pas seulement y survivre)
Après le remarqué Comment tout peut s’effondrer sorti en 2015, les ingénieurs agronomes Pablo Servigne, Gauthier Chapelle et l’écoconseiller Raphaël Stevens, « chercheurs in-Terre indépendants », poursuivent leurs réflexions dans un essai qui prolonge la « collapsologie » (dont ils sont les pionniers) en une collapsosophie. L’axiome des collapsonautes se définit comme « apprendre à vivre avec », avec la catastrophe en cours, avec la débâcle environnementale, avec l’effondrement de la société actuelle. De ce diagnostic condensé dans le vocable de collapsologie découle la mise en œuvre d’une éthique, d’une collapsosophie. S’appuyant sur un tableau clinique précis, incontestable (l’humanité menacée d’extinction dans le sillage de l’hécatombe de la biodiversité), les auteurs proposent des pistes fécondes qui réconcilient « méditants » et « militants », qui explorent l’idée de ré-ensauvagement, de nouvelles manières de coexister avec les non-humains, d’habiter la Terre. Lire aussi : un extrait d’ Une autre fin du monde est possible Croire que les choses peuvent encore être modifiées, redressées globalement relève à leurs yeux d’une illusion. Le futur n’existe que barré par l’impossible. Face à cet impossible, l’appel est lancé : creuser des niches, des îlots au cœur de l’apocalypse, inventer à la fois un chemin, un salut intérieur et des actions collectives dotées d’un impact sur l’extérieur. On a parfois l’impression que, pour les auteurs, les jeux sont faits. Il ne resterait qu’à assister au déferlement du pire en assortissant la course à l’abîme d’une morale stoïcienne. Un stoïcisme prônant, dans le fil du stoïcisme antique et de Descartes, de changer soi-même, son rapport au monde plutôt que l’état des choses. Or, les jeux ne sont jamais faits même lorsqu’ils semblent l’être. L’accent porté sur le « l’activisme de l’âme » minore par endroits la recherche d’une collapsosophie vue comme un prérequis à la politique, à une tentative d’infléchir la marche des choses. Dans cet « apprendre à vivre avec l’effondrement », on peut lire une sagesse mais aussi l’acceptation d’une défaite. Le présupposé discutable du (sur-)vivalisme, de la collapsologie est celui de l’inéluctable : l’effondrement, la pulsion de mort, l’autodestruction est un fait entériné sur lequel nous n’avons plus prise. Tout se réduit alors à un sauvetage moral, à une prise de conscience, à une résilience qui s’accompagne, certes, d’activités locales de résistance, ZAD, laboratoires de créativité, activisme. La phrase de Valéry, « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles » engage le choix d’un « Changement de Cap » (Joanna Macy), à savoir l’alliance entre activisme, proposition d’alternatives concrètes et changement intérieur. « Au service du vivant », les auteurs en appellent à des mobilisations collectives créant les rapports de force nécessaires afin de rompre avec le néolibéralisme. Le principe de responsabilité à l’égard des générations futures formulé par Hans Jonas implique de léguer un monde viable, digne d’être vécu, tissant de nouveaux « liens réels avec le sauvage retrouvé », dans une harmonie entre les formes du vivant.Louons les auteurs de parier pour la mise en œuvre des passions joyeuses de Spinoza, pour une résistance au camp de ceux qui détruisent la Terre, ses écosystèmes, ses collectifs humains et non-humains. À l’heure où le deuil de l’idée de révolution affaiblit en un sens la logique de la résistance, Une autre fin du monde est possible oppose salutairement un contre-feu au nihilisme, et ce, en dépit de l’oscillation relevée. La possibilité de prendre les armes, de lutter contre ceux qui mènent le monde à la ruine se dessine. « Le contrat politique avec les autres qu’humains n’est pas à réinventer, il est d’abord à découvrir chez eux ! À quoi pourrait ressembler un immense parlement interspécifique ? (…) Les animaux, les arbres, les champignons et les microbes ne sont pas des êtres passifs, ce sont de redoutables politiciens. Ce sont même des paysagistes, et même des activistes, car ils transforment la terre depuis des millions d’années, contribuant ainsi à former et à maintenir la zone critique , ce minuscule espace de vie commun sur lequel nous vivons, et dans lequel nous puisons sans relâche. Autrement, ils nous donnent (…) Cette obligation [de rendre ce qu’ils nous donnent] peut enfin se lire selon son autre acception : si nous ne le faisons pas, il se pourrait bien…

Jean-Marc DEFAYS , Dico-tomies , Murmure des soirs, 2020, 242 p., 18 €, ISBN : 978-2-930657-59-2Il est des livres dont on aimerait à l’instant tutoyer l’auteur… Il apparaît si proche…

Petite philosophie des arguments fallacieux
Pour son dix-huitième ouvrage, l’exceptionnel vulgarisateur Luc de Brabandere s’en prend aux « idées toxiques ».…

Poète de la simplicité, Philippe Leuckx est l’auteur de plus de cinquante recueils. Cependant, celui-ci sort du lot car il n’est pas le fruit de l’inspiration du quotidien,…

Prix Mireille Habets et Pierrot Habets : appel à candidatures
Dans le cadre de l'édition 2022 du Prix Mireille et Pierrot Habet, un appel à candidatures est lancé à…

Appels à candidatures pour les Prix de poésie de l'AEB
L’AEB (Association des écrivains belges) remettra cette année deux prix de poésie : PRIX HUBERT KRAINS Le prix Hubert…

Quand Pasolini regarde la psychanalyse, la psychanalyse regarde les queers
S’EMBRASSER SUR LE RING? La thèse qui sera…

« Elle qui avait lutté toute une vie pour ne pas être fille d’immigrés, la termina Anna Bielik », Page 69, Jean-François Füeg lâche cette phrase…
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