Le roman, dernier en date de Jacques Lefèbvre, L’amazone du Cirio, commence par une sorte d’accolade littéraire à un projet lancé dans la quiétude du célèbre café restaurant Cirio près de la Bourse de Bruxelles où nous rencontrons le narrateur, ancien professeur de français, romancier dilettante, fin connaisseur des pays de l’Europe orientale, ex pays de l’Est, et une collègue polonaise rencontrée lors d’un Congrès à Vienne et qu’il retrouve à Bruxelles.Ils sont là, attablés devant un half en half – moitié champagne, moitié vin blanc, la boisson du cru – et partagent des confidences et des passions littéraires. Soudain une ombre traverse un rai de lumière. Cette femme capte leur attention et ils la choisissent immédiatement comme…