Bruxelles. La ville vue par des écrivains du XIXe siècle






NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Repris sous une forme modifiée par Julien Gracq dans l’incipit de La forme d’une ville, le vers de Baudelaire tiré du poème Le cygne —  « la forme d’une ville / Change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel » — compose la basse continue de l’essai de Joseph Van Wassenhove. Par quel prisme appréhender Bruxelles au 19e siècle, sachant qu’elle a subi, au nom du progrès et de la modernité, des modifications architecturales, urbanistiques souvent désastreuses, sinon par celui de la littérature ? Dans Bruxelles. La ville vue par des écrivains du XIXe siècle, l’auteur se livre à une enquête archéologique qui prend la forme d’une promenade littéraire.Les visages, le plus souvent…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:ville essai - "Bruxelles. La ville vue par des écrivains du XIXe siècle"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Lettres de Liège. Littérature wallonne, histoire et politique (1630-1870)

Genre : Essais littéraires Editeur : en coédition avec Le Cri Format : 16 X 24 cm Nombre de pages : 253 p. Date de publication : 2012 ISBN : 978-2-8710-6593-7 Prix : 21,00 € À propos du livre L’ouvrage entend saisir une image des lettres dialectales, en région liégeoise, à trois moments privilégiés de leur histoire. Des Dialogues de paysans offrent un tableau des misères de la guerre au XVIIe siècle. Inscrits dans le cadre de conflits internationaux, ils se lisent également sur la toile de fond de la politique communale, où s’affrontent Chiroux et Grignoux. Le « Théâtre liégeois » du XVIIIe siècle renvoie à la guerre de Sept Ans et au choc culturel, notamment linguistique, que représente le contact avec les troupes françaises. Enfin, on met en évidence combien le « renouveau dialectal » du milieu du XIXe siècle, illustré par la création de la Société liégeoise de Littérature wallonne en 1856, est préparé par une importante production politique opposant catholiques et libéraux francs-maçons. Cette littérature militante comporte une évocation de la ville mosane et des bouleversements urbanistiques contemporains à laquelle l’amateur pourra trouver le charme des photographies d’autrefois. La « poésie ouvrière » y promène le lecteur des alentours du vieux pont-des-Arches, avec la « nouvelle » tour de Saint-Pholien, vers l’ancien Collège communal, le Jardin Botanique, le marché aux fromages de la place…