Ni Dieu, ni halušky | Objectif plumes

Ni Dieu, ni halušky

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-François FÜEG

Auteur de Ni Dieu, ni halušky

Jean-François Füeg est directeur général adjoint au ministère de la Fédération Wallonie Bruxelles. Il a dirigé le service de la lecture publique durant 10 ans. Historien, il a été archiviste, dirigeant notamment le Mundaneum entre 1996 et 2001. Il a publié une cinquantaine d'articles sur des questions touchant à l'histoire du XXe siècle, en particulier de l'entre-deux-guerres. Diplômé de l'Université libre de Bruxelles, il est égalementprofesseur, chargé de cours dans le cadre de la formation des bibliothécaires, en Province de Hainaut depuis 1999.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

« Elle qui avait lutté toute une vie pour ne pas être fille d’immigrés, la termina  Anna Bielik », Page 69, Jean-François Füeg lâche cette phrase simple et trouble, la nomination initiale la mère reprenait le dessus et Annie allait disparaître…Dans Ni Dieu, ni halušky, son dernier opus, l’auteur poursuit la quête d’une mise à jour du palimpseste de toute immigration, des secrets de famille intriqués dans l’histoire collective, des silences paralysants. Cette suite de livres[1] poursuit avec une qualité rare, le dévoilement du concept de « stress identitaire ». L’histoire d’Annie, c’est l’histoire de la mère, celle qui conte une autre histoire fondatrice à ses enfants, qui raconte l’Histoire à sa façon, déportée…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:récit auteur - "Ni Dieu, ni halušky"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les lichennes

La croûte terrestre n’est plus que cela, une croûte. Une carcasse stérile…

La grande génération

Bernard Gheur est décidément l’écrivain belge de la nostalgie heureuse. On retrouve…

Les sept visages de l'eau

" Je sens ses bras autour de ma taille. Il me serre si fort. Je n'ose ouvrir les yeux. La chaleur de sa langue sur la mienne, que c'est doux, que c'est bon. Je profite de ce baiser qui n'en finit pas, de ses mains qui crient tendresse, de ses jambes qui disent caresses, de ce corps qui surgit de l'arbre en chantant l'Amour !". Les sept visages de l'eau, un mariage d'amour et de haine où le passé imprègne le présent et détermine l'amour. FranMi nous emmène à travers une recherche d'identité, d'un rôle social dans une communauté villageoise qui, à l'instar de Saint-Léger, son village d'adoption, présente plein de contradictions. Comment vivre, comment demeurer dans un environnement où les traditions et habitudes anciennes se frottent à la consommation et la vitesse…