Résultats de recherche pour “Collectif” 481 à 510 (590)

Un Futur pour la Culture : proposez votre propre territoire de création !

Au vu du succès rencontré par la première édition de l’appel à projets…

Frédéric Sojcher, Je veux faire du cinéma!

Pour la réédition  de Main basse sur le film , augmentée d’un chapitre final qui éclaire les liens…

Karoo, la mutation d’une revue littéraire vers le web et le mook

En mars dernier, la revue de critique littéraire  Indications a laissé la place à Karoo, une…

Librel enrichit son catalogue grâce à Numilog !

Après son lancement en octobre dernier, Librel a le plaisir d’annoncer l’arrivée de plusieurs milliers d’ebooks disponibles à la…

Europeana 1914-1918, portail thématique

La Bibliothèque Royale de Belgique, dont on on évoquait les programmes de numérisation ici, participe activement au déploiement de ses collections dans les…

Rencontre : le contrat d’édition & la cession de droits d’auteur

Pour répondre aux questions des auteurs du livre sur le contrat d’édition et ses finalités,…

Papier Machine - n° 9 - hiver 2019-2020 - Plateau

Sommaire • Aplanir une orange n’est pas (seulement) un jeu d’enfant par Axel Houillier   • Préface Vide-Poche de Papier Machine…

bOn AnNiVeRsAiRe, ThYl !

" De l’Ulenspiegel de Charles De Coster est issue la littérature belge. " Romain Rolland Jubilons ! En 2017, Ulenspiegel sera jeune de trois jubilés, et le…

Sous le rideau, la petite valise brune

Tu t’appelles France. Tu es belgo-burundaise. Tu es arrivée en Belgique avec un Boeing de la Sabena en 1966. Tu avais six ans.…

Bénédicte Linard, ministre de la Culture et des Médias de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Face à la crise sanitaire , le monde culturel se débat pour survivre. Plus que jamais. Alors que les salles de spectacle et de cinéma ont fermé leurs portes, les artistes paient les pots cassés. Spectacles annulés, tournages reportés, ils «se réinventent», c’est en tout cas ce qu’on leur demande de faire, pour le moment. Indépendamment des circonstances, les acteurs du monde culturel ont toujours dû se débrouiller, avec les moyens du bord, avec leur statut précaire. Comment Madame Bénédicte Linard, Ministre de la Culture compte-t-elle, en collaboration avec son équipe, améliorer la situation? Comment rendre la culture accessible à tous? Comment soutenir ces créateurs et créatrices? Comment mettre davantage en lumière la gent féminine dans le secteur culturel? Madame la Ministre a du pain sur la planche. * Cinergie : Dans une de vos interviews on apprenait vous aviez comme leitmotiv l’engagement. Qu’en est-il de cet engagement avec ce premier mandat de Ministre de la Culture? Est-ce que vous avez l’impression que vous allez pouvoir changer le monde culturel? Bénédicte Linard : On essaie d’améliorer les choses et on s’engage, moi et mon équipe. Je pense qu’on avance et que nous allons dans le bon sens, mais nous sommes un peu freinés dans notre ardeur avec la crise car nous sommes obligés de gérer quelque chose que nous n’avions pas prévu et qui s’installe de manière durable, particulièrement dans la culture. Je mise beaucoup sur la construction et l’intelligence collectives. Cela prend parfois plus de temps, mais c’est souvent plus efficient et efficace lorsque nous avons travaillé avec les premiers concernés que lorsque l’on prend des mesures qui ne tiendraient pas compte des réalités de terrain. Vers où voulez-vous aller, quel est votre but? De manière générale, mon intention par rapport à la culture, c’est d’ailleurs ce que les écologistes ont toujours défendu, c’est de faire en sorte que la culture soit accessible au plus grand nombre. Je crois très fort que la culture est un des fondements d’une démocratie. Je pense qu’on a droit à la culture dès le plus jeune âge ; et mon travail, c’est de rendre cette culture accessible au plus grand nombre quel que soit le profil qu’on peut avoir. On doit travailler à un soutien des créatrices et des créateurs, à la diffusion aussi. Et on doit s’assurer qu’il y ait une diversité suffisamment grande pour que tout un chacun puisse se reconnaître dans ce que l’on offre en matière culturelle. Aujourd’hui, quelles stratégies aimeriez-vous mettre en place pour parvenir à ces buts? Dans le domaine culturel, on travaille au soutien des créateurs et des créatrices. Même en dehors de la crise, on renforce aujourd’hui le soutien à la création. C’est indispensable et on fait un focus particulier sur tous les arts émergents et sur l’innovation. C’est important aujourd’hui de soutenir l’art dans ses différentes formes. On a aussi un travail lié à la diffusion qui risque de prendre plus de temps. Aujourd’hui, on a des talents dans de nombreuses disciplines mais on a parfois un manque d’espace de diffusion que ce soit chez nous ou à l’étranger. En cinéma et en théâtre jeune public, on a des ressources et des talents incroyables qui s’exportent déjà bien et on doit pouvoir continuer à soutenir cette diffusion vers l’international. Travailler au soutien à la création et à la diffusion, c’est permettre à nos artistes de pouvoir exister, c’est permettre aussi de renforcer le lien avec les publics particulièrement en cinéma mais pas seulement. On essaie de travailler à la mise sur pied de politiques qui font le lien entre des opérateurs culturels existants, des artistes parfois liés ou non et le public sur un territoire défini. Je pense que la question de l’ancrage territorial est vraiment très importante parce que je pense que la culture, au sens large, permet de divertir mais aussi de s’interroger sur soi, sur le monde, de faire face aux événements auxquels nous sommes confrontés, de permettre de comprendre et de réagir, d’anticiper le futur. C’est en ce sens que la culture doit s’ancrer dans le territoire dans lequel on existe. Renforcer une culture imprégnée dans un territoire, c’est aller toucher plus de public. Je pense que c’est fondamental aujourd’hui que l’on puisse avoir plus de culture et faire en sorte que non seulement on puisse assister à de la culture mais aussi participer à de la culture. Ces deux points sont fondamentaux et c’est ce que nous essayons de faire lorsque l’on renforce la culture à l’école, dans les milieux d’accueil. On se dit que tout enfant devrait avoir accès à la culture dans son parcours et les politiques doivent jouer un rôle là-dedans. Vous pensez spécifiquement à la culture dans les écoles? Il y a bien sûr un travail qui est mené pour renforcer la culture dans les écoles à travers le parcours d’éducation culturelle et artistique (le PECA) qui fait partie du pacte d’excellence. Ce parcours est en train d’être construit avec Caroline Désir pour augmenter la place de la culture pendant tout le parcours scolaire. Il y a aussi un travail qui est en train de se faire pour renforcer l’éveil culturel dans les milieux d’accueil, dans les crèches, en collaboration avec l’ONE. Il y a des budgets dégagés pour augmenter cela dès 2021. On se demande aussi quelle est la place de la culture dans ces autres lieux de vie par lesquels les jeunes passent. Par exemple, dans les maisons de jeunes, dans l’extrascolaire (l’accueil temps libre), il y a un travail à mener pour renforcer la culture toujours au bénéfice des jeunes. Parfois, les jeunes n’ont pas le loisir d’avoir accès à la culture dans leur contexte familial donc il est primordial que les politiques à mener leur donnent cet accès soit en étant spectateurs soit en étant partie prenante. Vous êtes entrée en fonction au moment où le cinéma était en pleine crise (cinémas fermés, tournages suspendus, professionnels du métier sans réel statut). On se rend compte que l’aspect économique et l’aspect création artistique sont fortement liés.  L’année 2020 pour le cinéma est marquée par deux défis: la réponse à la crise sanitaire qui touche le secteur culturel et l'avancée vers une vision du cinéma qu’on porte. On doit mener les deux de front. Par rapport à la crise sanitaire, on tente d’accompagner le secteur de deux manières: dans ce qui est de notre champ de compétences mais aussi en interaction avec d’autres niveaux de pouvoir. On sait, par exemple, que pendant la crise, la Fédération Wallonie-Bruxelles a dégagé un budget de 6 millions d’euros pour accompagner le secteur du cinéma. On a eu des actions comme «J’peux pas, j’ai cinéma» cet été, on a permis grâce à un fonds de garantie que les tournages aient lieu. On est obligés de travailler avec des niveaux de pouvoir autres puisque le Tax Shelter, qui soutient le secteur, dépend du Fédéral. On a mené ce travail et on va continuer pendant l’année 2021. À côté de cela, il y a aussi la question: «Qu’est-ce que le cinéma en Fédération Wallonie-Bruxelles aujourd’hui? Qu’est-ce qu’il devrait être et comment on travaille à cela? ». Je suis convaincue qu’on regorge de talents et de capacités d’innovation qui sont très présentes. On est très forts dans les coproductions tournées vers l’international, dans l’animation. On a des talents liés à certains métiers parce qu’on a vu arriver dans les temps, des producteurs et des réalisateurs qui ont renouvelé le genre cinéma en Belgique avec Jaco Van Dormael, Lucas Belvaux, les frères Dardenne mais on a aussi des professions qui sont des atouts, des valeurs ajoutées. On a des directeurs photo, des monteurs et monteuses, des costumières qui ont une plus-value. Aujourd’hui, on doit travailler sur deux pans: comment est-ce qu’on peut mieux soutenir nos créateurs et créatrices? Comment donnons-nous du temps à nos…

INTRODUCTION: La vie et ses limites

Le 13 novembre 2020 , on enregistrait 1 338 100 morts du COVID. Si nous n’avions lancé notre appel dès 2019, l’actualité nous aurait…

La pension Almayer

Il est un endroit secret où toutes les histoires du monde se rejoignent. Bienvenue à la Pension Almayer. Un livre choral qui ouvre les portes du temps. " À la Pension Almayer,…

INTRODUCTION. De l’âme des objets à la phalloplastie

Dans les derniers vers du célèbre poème « Milly »,  Objets inanimés, avez-vous…

L'objet livre : une instance de légitimation

Les années 1850 marquent la naissance de la littérature en tant qu’institution. Désormais autonome dans ses pratiques, la sphère littéraire…

Le concours Ad@ptez un classique est de retour !

Le concours  Ad@ptez un classique  est un concours littéraire de la Fédération Wallonie-Bruxelles autour de la collection Espace Nord ,…

Prix des Cinq continents : l’appel à candidatures est lancé

L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) organise un prix littéraire annuel, le prix des…

Les AML récoltent les archives de quarantaine des écrivains

La crise sanitaire du Covid-19 a poussé la Belgique à un confinement de plusieurs semaines. L’opération « Archives…

Fêter les mo(r)ts ?

Depuis un mois, Karoo propose un focus sur la poésie belge. Découvrez aujourd’hui, l’entretien de Caroline Lamarche pour son poème Le festin des morts  illustré par Aurélie William Levaux  et…

Nouvelle histoire de Bruxelles. Des origines à aujourd’hui

Comment naît une ville ? Comment croît-elle, évolue-t-elle au fil…

Interview de l’été – Jacques De Decker

Jacques De Decker est un homme de culture par excellence, tour à tour dramaturge , auteur de romans (parmi lesquels le Ventre de la baleine ), traducteur…

Prix du Cercle Montherlant : appel à candidatures

Le prix du Cercle Montherlant – Académie des Beaux-Arts récompense chaque année un ouvrage d’art de langue française. Le prix est…

Les Vermeilles

Entre rêverie fabuleuse et récit initiatique teinté d’absurde, Les Vermeilles de Camille Jourdy est une lecture éclatante de singularité qui, en mêlant des imaginaires pluriels,…

Fête aux langues régionales, édition 2017

Pour cette nouvelle édition , des activités « transversales » seront préférentiellement organisées du samedi 20…

En quelques mots

Concevoir, rédiger, composer, adapter, citer, copier-coller, chorégraphier, improviser, diriger, au plateau ou en chambre, avec ou sans ambition littéraire, dans une…

Cinergie - été 2018 - Août 2018

Sommaire • Jeanne Brunfaut, Directrice du Centre du Cinéma par David Hainaut ,  Tom Sohet • Ioan Kaes et PlayRight, société belge de gestion collective des droits…