Frédéric Sojcher, Je veux faire du cinéma!

Pour la réédition  de Main basse sur le film , augmentée d’un chapitre final qui éclaire les liens profonds entre la fabrication d’un film et les fracas douloureux d’une vie, et l’édition de son nouveau livre Je veux faire du cinéma , le cinéaste belge Frédéric Sojcher nous livre son témoignage sur les rouages du cinéma belge.

Sans langue de bois, pratiquant une introspection et une autocritique qui l’accompagnent depuis maintenant plusieurs ouvrages, le cinéaste dépeint un système accaparé par les normes ultra libéralistes.

Dans cette équation, se loge un cinéaste en lutte et des interrogations fécondes sur le cinéma d’hier et d’aujourd’hui, une sensibilité, un parcours, tendant la main à ceux qui veulent prendre part à ce débat sur les moyens mis en place pour réaliser un film.

Bien que la polémique concernant la Commission de sélection des films semblerait avoir pris le dessus sur le livre, nous avons rencontré Frédéric…

   lire la suite sur   REVUES.BE


FIRST:film cinéaste livre parcours cinéma belge système personne tournage projet histoire vie main basse débat position polémique sorte part long-métrage commission du film choses chance - "Frédéric Sojcher, Je veux faire du cinéma!"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Lettres de Liège. Littérature wallonne, histoire et politique (1630-1870)

Genre : Essais littéraires Editeur : en coédition avec Le Cri Format : 16 X 24 cm Nombre de pages : 253 p. Date de publication : 2012 ISBN : 978-2-8710-6593-7 Prix : 21,00 € À propos du livre L’ouvrage entend saisir une image des lettres dialectales, en région liégeoise, à trois moments privilégiés de leur histoire. Des Dialogues de paysans offrent un tableau des misères de la guerre au XVIIe siècle. Inscrits dans le cadre de conflits internationaux, ils se lisent également sur la toile de fond de la politique communale, où s’affrontent Chiroux et Grignoux. Le « Théâtre liégeois » du XVIIIe siècle renvoie à la guerre de Sept Ans et au choc culturel, notamment linguistique, que représente le contact avec les troupes françaises. Enfin, on met en évidence combien le « renouveau dialectal » du milieu du XIXe siècle, illustré par la création de la Société liégeoise de Littérature wallonne en 1856, est préparé par une importante production politique opposant catholiques et libéraux francs-maçons. Cette littérature militante comporte une évocation de la ville mosane et des bouleversements urbanistiques contemporains à laquelle l’amateur pourra trouver le charme des photographies d’autrefois. La « poésie ouvrière » y promène le lecteur des alentours du vieux pont-des-Arches, avec la « nouvelle » tour de Saint-Pholien, vers l’ancien Collège communal, le Jardin Botanique, le marché aux fromages de la place…

Vieilles choses d'Ardenne

LIVRE ÉPUISÉ L'abbé Charles Dubois (1874-1954) fut aussi enseignant, homme…