Fête aux langues régionales, édition 2017

Pour cette nouvelle édition , des activités « transversales » seront préférentiellement organisées du samedi 20 au vendredi 26 mai 2017. Une fête sera organisée par ailleurs le samedi 27 mai 2017 après-midi aux Abattoirs de Bomel (Centre culturel). Activités transversales
– « Ma commune dit oyi », convention par laquelle la commune s’engage dans une série d’actions visant à promouvoir la langue régionale, convention qui fait l’objet d’un label ;
– créations artistiques au départ de proverbes en langue régionale ;
– bate di noûs mots – concours de création de néologismes sur le thème des objets ménagers usuels. Une liste sera proposée ;
– lîre sins r’lache – marathon de lecture en langue régionale ;
– appel à projets pour des activités en partenariat, à réaliser par une association de promotion des langues régionales en collaboration avec des relais culturels (écoles, musées, académies, centres culturels, théâtres,…

   lire la suite sur   REVUES.BE
À PROPOS DE L'AUTEUR
Bernard Louis

Auteur de Fête aux langues régionales, édition 2017

Originaire de Namèche, Bernard Louis est revenu habiter sa maison natale en 1981. Il a effectué sa carrière comme professeur de langues classiques dans l'Enseignement secondaire. Au contact de la société littéraire des Rèlîs namurwès, il est revenu à la langue de son enfance et s'est initié à l'écriture en wallon. Il a écrit des vers mais se trouve plus à l'aise dans la prose, avec pour modèle Auguste Laloux. Son recueil Tot fiant bètchî l' coq - Ricochets fut publié par la Société de Langue et de Littérature wallonnes, après avoir été honoré du Prix Biennal de la Ville de Liège en 2001. Comédien, récitant, animateur de radio, membre du Conseil des Langues régionales endogènes et de diverses associations, il lutte pour la survie de la langue wallonne. Il est également le responsable de l'édition des Cahiers wallons, la revue des Rèlîs namurwès. Il a été reçu comme membre titulaire de Société de Langue et de Littérature wallonnes en 2010.


FIRST:action commune projet langue régionale label - "Fête aux langues régionales, édition 2017"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Fruits de chez nous

Les auteurs de ce Carnet nature vous proposent d'apprendre à gérer votre jardin fruitier, que celui-ci soit déjà ancien ou encore au stade de projet. Pour choisir les espèces, les planter ou les entretenir,…

La ronde des vents

Les deux héros, figures typiques de la mentalité, des problèmes familiaux et de l'environnement…

Lamartine critique de Chateaubriand dans le Cours familier de littérature

À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique tiennent avec raison que La Légende d'Ulenspiegel en est le livre fondateur. Toute fondée qu'elle soit, cette assertion a tardé à prendre forte d'évidence. Lorsque Charles De Coster fait paraître sont livre, en 1867, seuls quelques lecteurs perspicaces y prêtent attention sans parvenir à lui assurer une quelconque reconnaissance. Et c'est aussi pauvre qu'inconnu que l'écrivain meurt en 1879. Il est vrai que «La Jeune Belgique», quinze ans plus tard, reconnaît son rôle, mais le statut de son livre n'en est en rien changé : il a peu de lecteurs, il n'est pas pris au sérieux. Tel n'est pas le cas du jeune Joseph Hanse dont l'Académie royale de langue et de littérature françaises s'empresse, dès 1928, de publier la thèse de doctorat consacrée à Charles De Coster et dont Raymond Trousson écrit aujourd'hui dans sa préface : «Ce coup d'essai était un coup de maître. Soixante-deux ans après sa publication, ce livre demeure fondamental, indispensable à quiconque entreprend d'aborder l'œuvre magistrale qu'il mettait en pleine lumière.» Devenu introuvable, enfin réédité aujourd'hui, le Charles De Coster de Joseph Hanse, qui a ouvert la voie à toutes les études ultérieures et internationales sur le sujet, fera figure, pour beaucoup, d'une découverte et d'une…