Résultats de recherche pour “COLLECTIF” 331 à 360 (579)

Théâtre 5

Ce qui me séduit, c’est de rencontrer quelqu’un qui sonne juste . […] Quand je dis qu’il doit sonner juste, c’est par rapport à ce qu’il dit, à ce qu’il est et à ce qu’il va faire.…

Salle des pas perdus 3 : Les années d'or

Troisième est donc ce nouveau tome de la fresque entamée avec La salle des pas perdus , roman paru en 2006, suivi par Les années…

C'est ta vie !

Depuis belle lurette, nous sommes nombreux à insister sur l'importance de la lecture des textes de théâtre. Tout en reconnaissant que certaines pièces s'y prêtent mieux que d'autres.…

Les entrelus de Jean-Michel Aubevert

Le coudrier est ce bois dont on fait les baguettes de sourcier ! Et ne voilà-t-il pas que cette maison de poésie fait sourdre…

Philocomix : dix nouvelles approches du bonheur : pour être heureux ensemble !!! (tome 2)

À travers les siècles, l’homme n’a cessé de poser des cadres plus ou moins idéaux pour garantir l’épanouissement de chacun au sein du collectif. Comme tout cadre, celui-ci est régulièrement questionné. Plongeons-nous avec humour dans les pensées philosophiques nous guidant vers un meilleur ≪ vivre ensemble ». Pas moins de dix philosophes de l’Antiquité au XXe siècle (Aristote, Hobbes, Spinoza, Diderot, Montesquieu, Tocqueville, Mill, Thoreau, Sartre et Arendt…) se succèdent pour nous présenter leur programme bonheur avec effets immédiats sur le quotidien. Et si le bonheur, c’était les autres ?   Le bonheur, en un coup de crayon ? Anne-Lise Combeaud parle de son travail d’illustratrice. (LaLibre.be)   Le…

Qui a tué F. Walther ?

Réalisé, imprimé et vendu en une seule journée, le 23/08/1985 pour la librairie Marsupilami et Astrid.

Vertige !

Le récit Vertige ! est bâti à l’image du tableau Vertige, l’escalier magique de Spilliaert, qui figure en couverture. Avec brio, entre impossible anamnèse et démon de la logique,…

Ces princes de la futilité

Les communications et discours, rassemblés dans le présent volume, révèlent quelques-uns – pas tous – des domaines de prédilection de Georges Sion : le…

Le Don du Maître

La littérature est enseignée dans nos établissements scolaires, mais il arrive à nos écrivains de célébrer l’école. Ce livre s’inspire d’une…

Danser maintenant

Danser maintenant est un ouvrage dirigé par Jeanine Monsieur avec la collaboration d'un collectif d'auteurs comme Francis Chenot, Jacques De Decker et Jo Dekmine. Le sujet présenté ici concerne la danse contemporaine…

Neerpede

Un texte d'humeur sur le quartier de Neerpede, à Anderlecht, publié dans un volume collectif qui rassemble une dizaine d'écrivains belges ou français invités à écrire à partir d'un lieu.…

Chronique du rattachement de la Belgique au Congo,

Cela devrait se passer sur une petite place, derrière l’église Saint-Boniface à…

On ne s’excuse de rien

On s’écrie qu’on écrit.On frappe où ça fait mal.On marche. On danse. On embrasse. On écrase ses angoisses.« On », c’est le Collectif L-SLAM . Poètes,…

On ne s’excuse de rien

On s’écrie qu’on écrit.On frappe où ça fait mal.On marche. On danse. On embrasse. On écrase ses angoisses.« On », c’est le Collectif L-SLAM . Poètes,…

On ne s’excuse de rien

On s’écrie qu’on écrit.On frappe où ça fait mal.On marche. On danse. On embrasse. On écrase ses angoisses.« On », c’est le Collectif L-SLAM . Poètes,…

On ne s’excuse de rien

On s’écrie qu’on écrit.On frappe où ça fait mal.On marche. On danse. On embrasse. On écrase ses angoisses.« On », c’est le Collectif L-SLAM . Poètes,…

56 Descentes dans le maelstrÖm

Point d’ombilic de la naissance du projet maelstrÖm, la nouvelle d’Edgar Allan Poe, Une descente dans le Maelstrom se voit recréée, réinterrogée, prolongée…

Pays dans un pays. Marcheuses et Marcheurs des Temps présents

Ils ont marché et marcheront encore, ils traceront des voies nouvelles, ces Marcheuses…

Les sœurs Loveling / De zussen Loveling

Huit poétesses néerlandophones et francophones – Catherine Barsics , Victoire de Changy , Hind Eljadid , Astrid Haerens , Ruth Lasters…

Littérature et cinéma

De Rimbaud à Duras, de Simenon à Bourdouxhe, de Steeman à Aymé, rares sont les écrivains qui n’ont pas entretenu un lien – étroit ou non – avec le cinéma. Entre adaptations,…

La cuisine de nos écrivains : à table avec Charles Baudelaire, J.-K. Huysmans, Marcel Thiry, Thomas Owen, Jean Haust, Claire Lejeune, etc.

« Il n’y a que les imbéciles qui ne soient pas gourmands. On est gourmand comme on est artiste, comme on est poète ». Incitant le lecteur au péché de gourmandise, Yves Namur cite Guy de Maupassant dans son introduction aux actes du colloque consacré à La cuisine de nos écrivains qui s’est tenu en octobre 2021, à l’occasion du centenaire de l’Académie royale de langue et littérature françaises de Belgique. La gourmandise est en effet de mise pour évoquer un sujet d’une telle ampleur. C’est que les écrivains ne manquent pas, qui ont fait de la nourriture un sujet à part entière  ou la métaphore de leur art, et du repas, le subtil décor de leur roman ou le symbole de l’appartenance sociale de leurs personnages. Et que l’on ne s’y trompe pas, les auteurs et autrices dont il est question ici, «  nos écrivains  », sont belges ou français. Ce sont les écrivains de notre patrimoine littéraire, ceux qui ont façonné (et façonnent encore) notre imaginaire. La gourmandise, comme la littérature, n’a pas de frontière. Ainsi, Jean Claude Bologne parle de Flaubert, Zola et Proust dans un chapitre consacré à «  l’architecture pâtissière  » quand Jean-Baptiste Baronian se penche sur Baudelaire et ses découvertes culinaires belges, notamment.Les liens entre les écrivains et la nourriture, c’est aussi l’appétit d’écrire de Claire Lejeune qui a dû quitter l’école à seize ans, à la mort de sa mère, pour nourrir ses frères et a eu la révélation de l’écriture comme «  autogenèse  » en cuisinant pour son propre foyer des années plus tard.«  La relation à la cuisine n’est évidemment pas la même pour un homme ou pour une femme  », remarque Danielle Bajomée qui rappelle les réflexions d’Annie Ernaux et Mona Chollet sur le sujet. « [ T ] ête  » mais aussi «  bouche gourmande  », Claire Lejeune écrit pourtant peu sur les nourritures terrestres. Comme Marguerite Duras, elle rédige un livre de recettes, mais elle le destine à sa sphère intime. Les recettes, glanées çà et là, sont familiales surtout, et se transmettent comme la mémoire des anciens.La présence de la nourriture en littérature se mue également en «  hantise du repas  » chez Huysmans. Comme le rappelle André Guyaux , de Des Esseintes ( À Rebours ) qui refuse de s’alimenter à Folantin ( À vau-l’au ) pour qui se nourrir est une obsession, la cuisine est capitale dans l’œuvre huysmansienne.Omniprésente dans la littérature, belge ou française, contemporaine ou patrimoniale, la nourriture l’est aussi dans la langue. Daniel Droixhe évoque les écrivains et philologues membres de l’Académie qui se sont attardés sur l’alimentation dans les dialectes de Wallonie. Il cite, par exemple, Pierre Ruelle et son ouvrage intitulé Dites-moi d’où viennent ces mots borains ?, dans lequel il est question de «  l’âte levée  » et de «  grogne  », mais aussi la poésie de Willy Bal et sa savoureuse description des fruits de saison, comme les «  frambôjes  » et les «  pètches  ». Après avoir distingué proverbe, dicton et phrase situationnelle, Jean Klein décortique la récurrence des aliments dans ce type d’énoncés.Enfin, évoquant, entre autres, Giono, Mallarmé et Maurice des Ombiaux, en guise de mise en bouche, Yves Namur s’attarde ensuite sur Thomas Owen et Marcel Thiry. L’œuvre de Thomas Owen, Les sept péchés capitaux, retient son intérêt pour son interrogation sur la figure du gourmand, bon gros paisible, accueillant, engourdi par la digestion ou […] être primitif et sanguinaire, trouvant son plaisir à mordre, à jouer de la dent ? mais surtout pour son portrait élogieux du personnage d’Igor bien bel homme […] qui ne vivait que pour manger. Chez Marcel Thiry, c’est le personnage d’Octave et son repas au Béfour (référence au restaurant parisien, Le Grand Véfour), décrit dans Comme si , qui fait l’objet de l’attention de l’Académicien.Et c’est avec une incitation à la gourmandise qu’Yves Namur clôture les actes d’un colloque qui ouvriront incontestablement l’appétit aux découvertes littéraires, sociologiques et linguistiques. Laura Delaye Plus d’information Le présent livre rassemble les actes d’un colloque organisé sur le thème de la cuisine de nos écrivains. Y ont contribué avec brio plusieurs membres de l’Académie qui ont tour à tour évoqué l’œuvre de quelques-uns de leurs prédécesseurs – Willy Bal , Maurice Delbouille , Jean Haust, Claire Lejeune , Thomas Owen , Maurice Piron , Pierre Ruelle , Marcel Thiry … – ainsi que les écrits de Joris-Karl Huysmans ou Charles Baudelaire. Quelques proverbes savoureux et l’«architecture pâtissière», envisagée…

Cuistax – Compilax

Observer les voyageurs de la nuit avec Jina Cho, reconnaitre des becs oiseaux avec Loïc Gaume, retrouver les sept différences dans un panier de légumes avec Anne Brugni, ou cuisiner…

Henry de Groux (1866 – 1930), maître de la démesure

«  Cette peinture est si épouvantablement anormale, si prodigieusement en dehors des traditions ou des…

50 ans, ça se joue !

Un  Cinquantenaire nouveau vient de prendre place dans le paysage culturel : celui du Théâtre Jean Vilar. Étrange et formidable histoire que celle de ce théâtre et de son fondateur,…