Résultats de recherche pour “les auteurs” 61 à 90 (1120)

Le talisman du loup

Il était une fois un loup qui était captivé par la voix d'une jeune femme. Elle vivait avec son vieux père dans une cabane au milieu de la forêt. Lorsque le vieux père mourut,…

L’amour, après

L’amour, après de Baptiste Sornin et Marie Baudet, est leur première bande dessinée individuelle ou collective. L’idée de cette BD est de mettre en scène une relation qui…

L’épopée infernale

Paru en 2019, l’album Noire, la vie méconnue de Claudette Colvin , d’ Émilie Plateau avait connu un accueil public et critique chaleureux. L’autrice nous revient…

La demoiselle de magasin

Les éditions Samsa, dans la collection « Des lettres bruxelloises », viennent d’inscrire à leur catalogue une pièce de théâtre, La demoiselle de magasin…

Mes inscriptions : 1945-1963

À l’instar de Paul Nougé et Marcel Mariën, Louis Scutenaire (1905-1987), « Scut » pour les intimes, mena jusqu’au bout « l’expérience…

Le plus mauvais livre du monde

Quand Paul, par un étrange coup du sort, se retrouve face à l’auteur du livre qu’il est en train de lire, cela pourrait se révéler une…

Petit ours, Tout petit ours

Marine Schneider , qu’on a pu notamment découvrir avec Hiro, hiver et marshmallows en 2018 chez Versant Sud Jeunesse, nous embarque d’album en album…

Scrîjeûs d'Ârdène

L'Ardenne, terre de contes et de légendes, a inspiré maints auteurs. Dans le domaine des lettres wallonnes, elle est toutefois peu représentée, à l'exception de l'oeuvre…

Bonne fête, mouton !

Ahmed, enfant musulman, s'apprête à fêter l'aïd : la fête du mouton. Son copain Arthur s'est mis en tête de sauver l'animal, mais l'aventure ne se passera pas tout à fait comme…

Sorcière blanche

Smilla a été enlevée par la fameuse Sorcière Blanche qui l’a emportée dans sa hotte. Miki, son père, ne sait que faire. Un mystérieux garçon-au-sourire va proposer de la retrouver…

Sans papiers

Une petite fille dont le papa a choisi la France comme terre d’asile nous raconte son arrachement à son pays d’origine, sa joie d’être une enfant presque comme les…

L’étrange et folle aventure du grille-pain, de la machine à coudre et des gens qui s’en servent

On peut n’avoir jamais connu l’odeur d’une tranche de pain brûlé noir de chez noir (parce que sur l’antique grille-pain de vos arrière-grands-parents encore utilisé, les tranches ne sautent pas, il faut les retirer à temps), et ignorer le nom de Lautréamont (« Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie », citation iconique chérie des surréalistes), et néanmoins, se plonger avec curiosité dans ce livre qui évoque l’archéologie, l’usage et les normes qui régissent une grande partie des objets – et notre vie quotidienne. C’est ce à quoi s’attellent deux historiens et universitaires, Gil Bartholeyns (également romancier, auteur de Deux kilos deux , une enquête sur l’élevage intensif de volailles dans les Hautes-Fagnes, Lattès, 2019) et Manuel Charpy (auteur de Ma vie dans la sape , 2020), dans cet ouvrage qui évoque presque, par ses illustrations de toutes époques et tous genres, un catalogue de la Manufacture des armes et cycles de Saint-Etienne, et par son érudition, un précis de sociologie à travers les siècles et les cultures. (On regrette l’impression sur un papier de qualité médiocre, mais soit.)Au départ, donc, il y a un objet. Sa naissance et son pourquoi, son évolution technique, sa diffusion sociale, son accessibilité, les discours qui l’entourent, sa propension à grignoter de plus en plus de parts de marché (même au 19e siècle), et sa capacité incroyable à être transformé au fil du temps (car il en fera gagner tellement…) en outil indispensable à l’existence de tout être humain digne de ce nom… et en figure lexicale basique de tout étudiant en études commerciales. Objet = bingo.Si à 50 ans la vie est foutue quand on n’a pas sa Rolex au poignet, c’est une chose – ridicule on en convient –, mais qui sous-tend une conception du monde social dont Bourdieu a fait son pain. Si en Afrique, « au temps des colonies », un « indigène » portant une montre cassée montrait par là qu’il refusait « le temps colonial » tout en sachant qu’il y était intégré de force, c’est une autre chose, et pas moins signifiante que la première. Bartholeyns et Charpy, munis d’un bagage encyclopédique (parfois trop) sur une foule d’objets qui ont envahi nos vies et celles de nos ascendants, sont d’une efficacité redoutable, et d’une précision référentielle qu’on aurait du mal à mettre en balance, même si le sujet en lui-même n’est pas neuf.Ainsi, prenons les outils de cuisine et les robots ménagers. Quel domaine enchanteur ! Bien utiles à la maison, appelés souvent dès les années 1950 d’un prénom féminin (pour mieux les distinguer bien sûr), ils vont non seulement permettre d’apprendre à la gent féminine à cuisiner (encore) mieux, mais aussi plus vite, moins cher, et avec moins d’effort, c’est évident. La mère de famille pourra mettre à profit ce temps précieux à veiller davantage sur le bien-être domestique (ah ! l’aménagement décoratif du home  !), sur elle-même et ses atouts beauté. Chance, il y a là aussi des objets pour lui faciliter la vie, et lui permettre de cumuler le rôle de mère exemplaire, avec celui de décoratrice d’intérieur, et d’épouse sexy quand il est temps (encore…) de le paraître. En 1975, la revue féministe Les pétroleuses y répondait sans discutailler : « Arts ménagers, art d’aménager, la double journée ! » Et si l’on se souvient, chez nous et à raison, des ouvrières de la FN en grève dans les années 1960, réclamant « À travail égal, salaire égal » , on n’oubliera pas non plus la variante sans illusion qu’en tira peu d’années après l’un de nos meilleurs auteurs d’aphorismes, André Stas : « À travail égal, galère égale » .L’aspirateur (mécanique et sans électricité, oui, ça a existé), le téléphone, le vélo d’appartement, le rameur, l’interrupteur, la TSF puis la radio, la télévision, la cassette audio, l’ordinateur, l’agenda électronique, l’hygiène (et le plaisir) intime, la cafetière électrique, la machine à café à dosettes, la poêle antiadhésive et la tondeuse à gazon autonome…  N’en jetez plus ? Si, justement. L’obsolescence programmée est là, et les acheteurs compulsifs aussi, que viennent talonner les rétifs de la consommation à outrance. Opposer les Black Friday à la tiny house , voilà l’injonction paradoxale à laquelle la société consumériste et mondialisée nous confronte.Cet ouvrage roboratif et sans complaisance devrait, non pas seulement inquiéter sur notre monde, comme le suggèrent souvent les auteurs, mais au contraire, aider à convaincre qu’il est encore temps d’en changer un peu. Alain Delaunois Grille-pain, machine à coudre ou à laver... Chaque foyer occidental possède une centaine d’appareils ; des objets techniques qu’on utilise sans savoir comment ils fonctionnent. Ce livre propose de les ouvrir et d’explorer la façon dont ils ont bouleversé la vie quotidienne depuis le xix e  siècle, en ville comme à la campagne, en Europe et à travers…

Passer l'hiver

Promesse tapie sous la neige ou point de suspension dans l’air glacial, Passer l’hiver dessine la parenthèse que semble être un long hiver dans les…

Sauvage ?

Alexandre Galand Illustré par

En 2018, Alexandre Galand (docteur en histoire, en art et en archéologie) et Delphine Jacquot (illustratrice) nous avaient envoûtés avec Monstres et Merveilles (Le Seuil jeunesse), une visite…

Poèmes pour mieux rêver ensemble

Sur leur site, les éditions Actes Sud junior présentent Poèmes pour mieux rêver ensemble comme «  un recueil de poèmes bienveillants et optimistes…

L'été Diabolik

Un agent secret sorti de nulle part, un accident dramatique, une fille troublante et la disparition de son père, le tout en deux jours. Pour Antoine, 15 ans, l'été 1967 sera…

Michel Audiard : L'homme à la casquette à carreaux qui en avait sous le capot (L'Article n°26)

Editorial : Les auteurs ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! Des mots d’esprit, un phrasé atypique, la gueule de l’emploi ou encore une galerie incroyable d’acteurs de légende... Reconnaissable parmi ses pairs, et ses contemporains, voilà les caractéristiques ciblées de notre dialoguiste de talent. On pourrait l’affubler de tellement d’autres détails mais n’est-ce pas dans les détails que se dissimule le vrai génie ? En parlant des mots d’esprit, la littérature, à travers le théâtre et les livres, nous en donne à foison. On peut citer Oscar Wilde, Jules Renard ou le génial Sacha Guitry. Mais concernant l’art qui porte le numéro sept, ce n’est pas vraiment le cas. Heureusement, le Papa du cinéma était là pour donner ses lettres de noblesse au 7ème art (concernant le sobriquet Papa, on en parle dans cet article, vous comprendrez mon allusion). Grâce à mon ami Alain Magerotte, on (re)découvre ici toute la jubilation de cette verve qui traverse le temps à travers des répliques devenues aujourd’hui presque des proverbes ou des mots que l’on glisse entre amis pour « faire bien ». Audiard a marqué cet « Art Majeur » (clin d’oeil à Serge Gainsbourg). D’ailleurs n’a-t-il pas inspiré de jeunes auteurs tels que Bruno Solo pour Caméra Café et Alexandre Astier pour son génial Camelot ? On dit merci, cher Maître (et on s’incline, s’il vous plaît) car la liste est loin d’être terminée. Au théâtre, on a également les fameuses Brèves de comptoir de Jean-Marie Gouriot... Bon, promis, je m’arrête ici ! Avant de vous quitter, une dernière mise en garde : attention, chers lecteurs, au livre que vous tenez dans les mains. Quand un Cador est raconté par un autre Cador, il y a de quoi exploser façon puzzle ! À bon entendeur...…

La pluie

Dirigée par Pierre Emmanuel, la jeune collection « Duo » repose sur le principe du « dialogue » cher aux livres d’artiste, mais en associant deux poètes. Sollicité…

Au sud des jours ordinaires

Depuis longtemps, on connait la qualité des ouvrages des éditions « 180° », principalement axées sur le beau-livre et le tourisme. Des ouvrages à la fois…

La prophétie des nains

À nous permettre de retrouver des personnages de roman en roman, les auteurs nous les rendent familiers, attachants, et créent une forme de continuité par-delà les…

Bouche bavarde, oreille curieuse

Lorsque nous l’avions rencontrée à l’occasion de la parution de Paris fantasme ( Le Carnet et les Instants n°209 ), Lydia Flem nous avait rappelé…

L'Effondrement (et après) expliqué à nos enfants... et à nos parents

Pablo Servigne Illustré par

C’est Lucie, 13 ans, qui s’adresse ainsi à son père.…

La ville endormie

Thibaut Creppe n’est pas un inconnu au sein du petit monde de la littérature belge. Né en 1990, l’auteur, alors étudiant à l’ULG, crée, début des années 2010, un collectif,…

Philocomix : Métro, boulot, cogito (tome 3)

Le travail définit en grande partie notre identité, occupe une place…

Le secret

"Sandro, 15 ans, vit une amitié passionnée avec Giuliano, qu'il considère comme son double ou son jumeau. Giuliano a l'habitude de lui demander des serments d'amitié, mais un jour, comme Sandro…

Contre tous chacaux*: A Tribute to Bob Morane**

Le ton est donné… que dis-je ?… uppercutté … dès la couverture ! Le titre Contre tous chacaux (écho…