Sous prétexte de suivre le Geer, une rivière qui coule depuis la Hesbaye jusqu’à Maastricht, les auteurs explorent en textes et en images la dualité. Au cours d’un printemps, ils ont parcouru ce confluent de la Meuse, « de sa source à son embouchure » et réalisé une œuvre volontairement inclassable.
Dans sa forme, l’ouvrage bouleverse les canevas de l’édition classique et propose une double lecture du récit, laissant au lecteur le choix d’un début et d’une fin.
Le sable, le vent, n’est ni un roman, ni un essai, ni un guide. Il est peut-être simplement une ode à l’amitié.
Auteur de Le sable. Le vent
Auteur de Le sable. Le vent
C’est un objet à la couverture rigide, en papier qui paraît recyclé (mais qui peut-être ne l’est pas), d’une couleur kaki verdâtre et d’un toucher présent, avec une carte routière qui paraît être collée (mais qui peut-être ne l’est pas) d’où se détache un tracé, le fil rouge : « Une ligne capricieuse analogue aux veines céphaliques ou médianes parcourant les membres supérieurs, un serpent déplié dans sa course lente sur une rocaille au soleil à la recherche d’un refuge. » Un titre, Le sable. Le vent, et une origine doubles, Serge Delaive et Philippe Herbet.
C’est un livre qui désarçonne, qui se commence à une extrémité ou l’autre, il suffit de le retourner, au lecteur d’engager sa propre route.…
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René Lejeune nous fait pénétrer au Pérou et à Lima. Sous forme d'un journal de bord, il confie…