Résultats de recherche pour “Truus” 1921 à 1950 (2326)

La formule "Au revoir"

"Au revoir" : le tome 17 de l’Atlas linguistique de la Wallonie consacre une notice et une carte à cette formule de la conversation XX . [Voir  la carte dans "Images"…

Il y a assez bien de belgicismes comme ça!

En 1971 et en 1974 , l’Office du bon langage de la Fondation Charles Plisnier se fait remarquer par la publication…

Trinquons au lancement de TRINKHALL Museum!

Le Parc d’ Avroy , à Liège, s’en trouve tout réjoui. Son nouveau musée Le Trinkhall museum, anciennement MADmusée,…

La peste, le choléra et la littérature

Charybde et Scylla sont deux monstres fabuleux qui gardent le détroit de Messine. En réalité ce sont deux écueils que les…

Neel Doff, la postérité douloureuse

[ Choix grammatical: dans cet article le féminin fait office d’indéfini. ] * Les Bruxelloises connaissent toutes un peu Neel…

In Memoriam Jenny d'Inverno

Cette grande dame du wallon nous a quitté·e·s le 25 juin 2020. Elle était née à Liège, au quartier Sainte-Marguerite, le 28 mars 1926. C’est à ses grands-parents…

L’archive, la fougère

Lara Barsacq est chorégraphe, danseuse et comédienne. Comme interprète, elle a notamment travaillé avec L'Ensemble Batsheva et Les ballets C de la B. * Lara Barsacq…

Le Tour de l’Histoire

Ma famille maternelle vient de Nazareth, un village entre Turenne et Noailles, au sud de Brive-la-Gaillarde, dans cette France du milieu où l’absence de côte, de…

Voisine

Hier j’ai fait un bouquet Avec les fleurs que je n’ai pas J’ai fait une soupe de poireaux Avec les poireaux que je n’ai pas Une voisine m’a dit Chassez le naturel il revient au galop J’ai regardé…

Lès djins malôdes du coronavîrusse

Ène minêye avoyêye dul Chine Kîrant lès djins, brokant s’ leûs chines, Su stramlot pa t’t-avô la tère Pou fwêre dès…

bOn AnNiVeRsAiRe, ThYl !

" De l’Ulenspiegel de Charles De Coster est issue la littérature belge. " Romain Rolland Jubilons ! En 2017, Ulenspiegel sera jeune de trois jubilés, et le…

Démons et merveilles. Critique de la raison pure

À l’occasion de l’exposition Démons et merveilles qui se tient au Centre Wallonie-Bruxelles , paraît …

La danse est-elle facebookable?

Pas de spectacles à savourer pour de vrai dans les salles de théâtre, confinement oblige? Qu’à cela ne tienne, les propositions de retransmission…

INTRODUCTION: La vie et ses limites

Le 13 novembre 2020 , on enregistrait 1 338 100 morts du COVID. Si nous n’avions lancé notre appel dès 2019, l’actualité nous aurait…

L'infinie longueur de l'immortalité

La Pr. Laurence Ris  est biologiste et cheffe du Service de neurosciences à l'Université de Mons (Belgique). Pierre Gillis  est physicien,…

La ligne blanche

Le recueil  l a Ligne blanche  regroupe de nombreux auteurs et autrices autour de la réflexion « Que représente la ligne blanche ? ». Leurs styles se mélangent pour offrir au lecteur des textes plus originaux…

Le regard éclairé. À propos de Philippe Jacottet, Reiner Kunze, Franz Moreau, Norge, Joseph Orban, Marcel Piqueray, Quasimodo et André Schmitz

Le 19 octobre 2019… Une date tout droit sortie du « monde d’avant », celui où il était encore loisible de se réunir devant une scène de concert ou un grand écran, à la tablée d’un restaurant ou, pourquoi pas, pour entendre parler de poésie. C’est ce qui se passait à Bruxelles, ce samedi-là, à l’occasion d’une des rencontres internationales organisées par le Journal des Poètes . Afin de «  célébrer cette émotion appelée poésie  », les participants y évoquaient tour à tour une figure, belge ou non, et par-delà des voix s’exprimant dans des registres très différents. L’émotion, c’est en effet ce qui relie des personnalités aussi diverses que Norge, Joseph Orban, Marcel Piqueray ou Salvatore Quasimodo. Le volume s’ouvre sur une évocation presque intime signée Jean-Marc Sourdillon , éditeur à la Pléiade des œuvres de Philippe Jaccottet. Les poèmes de Jaccottet y sont envisagés dans leur résonance interrogative la plus profonde, comme des questions dont la béance même garantit l’existence. «  Une façon […] non pas d’expliquer ou d’analyser le réel, comme le font les sciences ou la philosophie, mais de l’aimer ou de le redouter  ».De Joseph Orban, qu’elle connut très bien, Danielle Bajomée trace un portrait ajouré de failles touchantes, «  entre ombre et indigo  » : «  Je l’ai presque toujours perçu comme un garçon triste, sombrement lumineux, peu aimable, toxique parfois, mais à l’esprit pur  », écrit-elle. Sa réflexion se détache pourtant de son ancrage biographique pour accéder à une lecture très fine des proses brutes, jusqu’à la violence, d’Orban. Elle souligne aussi le paradoxe – qui chez le poète n’est souvent que dynamique de style – d’une écriture où l’ignoble s’exprime avec une jubilation métaphorique confinant à la préciosité. C’est que, jusqu’à ses derniers jours, Joseph Orban aura ouvert, sur le réel et les mots pour le dire, des yeux d’enfants éblouis qui conservaient intact leur sens du merveilleux. Judith Chavanne est poétesse et aussi essayiste, avec une étude sur Jaccottet justement. Dans le présent ensemble, elle a pourtant préféré savourer le silence qui émane des mots laissés par le poète Allemand Reiner Kunze (né en 1933). Alors qu’il est connu et reconnu en Allemagne, Kunze est moins familier pour le public francophone, qui peut cependant le découvrir à la faveur d’une traduction d’ Invitation à une tasse de thé au jasmin (Cheyne, 2013). Cette « anthologie », établie par Kunze personnellement, constitue l’entrée idéale dans son œuvre et sert de fil conducteur à l’exploration menée par Judith Chavanne, qui nous amène à découvrir une production où le problème éthique prend toute son importance : Kunze a commis l’erreur littéraire, partant morale, de se faire, pendant un temps, le chantre du régime communiste. Jusqu’à ce qu’il porte sur le monde qui l’entoure «  un regard éclairé  ». Un retour à l’élémentarité des choses le dessille et marque le début de sa dissidence intérieure. Le programme, périlleux à appliquer dans la RDA des années 60, vaut encore en 2021 : «  S’en tenir / à la terre // Ne pas jeter d’ombre / sur d’autres // Être dans l’ombre des autres / une clarté.  »Qu’il s’agisse encore des pages consacrées à André Schmitz, Salvatore Quasimodo, Franz Moreau, Norge ou Marcel Piqueray, les interventions rassemblées ici dépassent le niveau de la simple étude formelle pour accéder à celui de l’interpellation métaphysique. À chacun, il a été demandé, comme l’aurait fait Philippe Jaccottet, Que reste-t-il ?…

Bob Dylan et le prix Nobel

My songs were on the fringes then, and I think they’re on the fringes now. Bob Dylan XX L’Académie suédoise a attribué à Bob Dylan le prix Nobel de littérature…

La Polémique du Nobel décerné à Bob Dylan

[ La Polémique du Nobel  est la 2e Partie du texte intitulé Bob Dylan et le prix Nobel , par Adrian Grafe, à lire également…

Lu tching

Lu djoû k’ il ariva amon zèls, çu n’ èsteût k’ cîr èt poyèdjes. One putite boule ki djèmihéve tinrûl’mint, ki ala rèfiler totes lès cwènes, ki lèpéve lès deûts k’ on lî…