Henri Michaux. Dans la ferveur d’une complicité






NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Octobre 1984 : le corps d’Henri Michaux est mis en bière en présence d’une vingtaine de personnes, désignées avec soin de son vivant. Parmi elles Yves Peyré, bibliothécaire, poète, essayiste, proche de l’écrivain-artiste depuis 1978, année où il vient de lancer à Lyon une nouvelle et ambitieuse revue littéraire, L’Ire des Vents. Timidement consulté, Michaux lui a aussitôt accordé son intérêt et promis sans doute l’une ou l’autre contribution. Les deux hommes se rencontrent, sympathisent rapidement malgré la dissymétrie : Michaux a 79 ans, Peyré 26, le premier est un créateur célèbre et fort sollicité, l’autre un provincial encore peu connu. Mais de nombreux engouements littéraires, picturaux et philosophiques leur…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Henri Michaux. Dans la ferveur d’une complicité"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Un jardin dans les Rocheuses

Amanda nous emmène sur un chemin forestier.«Nous sommes à la hauteur du…

Retour à Montechiarro

1849-1889. Le comte Bonifacio Della Rocca fait la connaissance d’Asmodée Edern à Venise. Cette rencontre déclenche une série d’événements qui changeront à jamais le cours de sa vie. Alors qu’il…

Les grains noirs de l'ivraie

Mais qui l'avait muté dans ce département, antichambre de la retraite où s'entremêlait…