Auteur de L’avenue, la kasbah
Elie est cinéaste et il débarque en Tunisie au plein cœur des mouvements du printemps arabe. Son arrivée dans le pays vise initialement à préparer un retour sur les lieux de tournage du film de Jean-Jacques Andrien, Le fils d’Amr est mort (1975). Mais dès qu’il pose le pied sur le sol tunisien, il est pris dans le tourbillon d’espoir qui anime la population qui se mobilise dans les rues. Dans sa foulée et derrière sa caméra, nous arpentons les assemblées, les sit-in, les défilés.Et nous rencontrons Alyssa, qu’il aborde lors d’une réunion. Entre eux, c’est le coup de foudre immédiat. Le besoin de se revoir relève de l’évidence, la communion d’esprit est forte tout autant que l’attirance des corps. Et pourtant, leur relation…
Les malentendus de l’amour et de ses pièges, les centaines d’Occidentales qui ont abandonné…
Fabrice est un jeune homme de 16 ans qui vient de perdre sa mère. Il vit désormais avec…
" Je sens ses bras autour de ma taille. Il me serre si fort. Je n'ose ouvrir les yeux. La chaleur de sa langue sur la mienne, que c'est doux, que c'est bon. Je profite de ce baiser qui n'en finit pas, de ses mains qui crient tendresse, de ses jambes qui disent caresses, de ce corps qui surgit de l'arbre en chantant l'Amour !". Les sept visages de l'eau, un mariage d'amour et de haine où le passé imprègne le présent et détermine l'amour. FranMi nous emmène à travers une recherche d'identité, d'un rôle social dans une communauté villageoise qui, à l'instar de Saint-Léger, son village d'adoption, présente plein de contradictions. Comment vivre, comment demeurer dans un environnement où les traditions et habitudes anciennes se frottent à la consommation et la vitesse…