Résultats de recherche pour “L&” 14581 à 14610 (15297)

Un trou dans la mémoire

Le texte qui ouvre le recueil de nouvelles de Virginie Mouligneaux et lui donne son titre, Un trou dans la mémoire (prix de la Fondation Laure Nobels…

Alors j’écris

Meredith se réveille dans une chambre d’hôpital à Londres. Une douleur aigüe martèle sa gorge. « Apparemment, tu ne pourras plus parler », lui annonce son frère. La nouvelle…

« Qu’il eût été fade d’être heureux »

Nous vivons une époque où la recherche éperdue du bonheur individuel est devenue la seule règle de vie.…

À tout va

Fondateur en 1988 des éditions Tétras Lyre, l’artisan-poète Marc Imberechts continue, dans ce nouveau recueil, sa lente plongée dans l’intimité d’un parcours riche en expériences et…

Alors, c’est du jazz

Après ses courtes nouvelles réunies dans l’ouvrage Petites méchancetés sans grandes conséquences publiées en 2015 aux Éditions Quadrature, Marc Menu nous revient en nous…

Tentations

Après Indulgences en 2014 , Jean-Pierre Bours replonge dans les temps foisonnants et clairs-obscurs de la Renaissance européenne, débutant son préambule à la charnière entre le XVe siècle…

Amourète

Ayîr èt audjoûrdu I . C’èst par one bèle swèréye d’èsté, Qui d’astchèyance s’ont rèscontré Twènète èt Zande. Come tot Nameur vineûve choûter Li grand concêrt qu’èsteûve…

Exode

Le pays était froid rude à voir et sauvage à s’endurcir le cœur Çà et là des clartés violentes aveuglaient sans rien éclairer qu’un ciel d’orage…

La Yougoslavie – au cœur des Ardennes

Dans un village ardennais, un homme originaire de Croatie débarque en 1995 chez Teresa, une femme à peine veuve et encore jeune, suite à une panne de voiture…

El boukin

Christian Thonet (Haine-Saint-Paul) est le lauréat du second prix de notre concours de poésie « Ville de La Louvière » El boukin keûrt pa t't-avô l' bosquèt, sès-orèyes ô vint, s'impanche…

Editorial: Tombeau de Jean Dumortier

La voix de Myriam, au second jour de nos vacances : Jean est mort. Comme si quelque chose d'incroyable était arrivé. Et qui pourtant devait…

Clara - 2 - Juin 2014 - La mosquée bruxelloise comme projet

Sommaire • Editorial par  le comité éditorial • Résumés par  varia Dossier thématique : la mosquée bruxelloise…

Au rendez-vous des insomniaques

Nous entrons dans l’univers de cinq personnages qui se rencontrent pour la première fois dans des réunions de thérapie collective pour soigner…

Pout on fé bouter des waloneus eshonne ?

Gn a-t i co bén 300.000 ? Metoz deus Walons eshonne, c’ est deus soçons. Metoz è on troejhinme, ça n’ tådje nén po…

Passe le train

Dans ce roman de Dina Kathelyn, nous sommes plongés dans la vie d’Élodie, une jeune femme légèrement complexée et renfermée, qui ne se sent exister qu’à travers le regard de l’autre…

Au cœur de la montagne

Un jour, Nella est traversée d’un sentiment impérieux : Nonna va bientôt s’éteindre, ses pulsations cardiaques s’affaiblissent,…

‘La 100 ans : aous’ 1914 (II)

Fragment du recueil A rwâtant mourè lès dârnîs couvats, éd.imprimerie Collins, Charleroi, 1947. L’auteur, Fernand Bonneau (1885-1962),…

Fraternités Ouvrières, haut lieu de permaculture discrète : entretien avec Josine et Gilbert Cardon

HR : Pourquoi « fraternités ouvrières » ? JC : Parce qu’on vient du monde ouvrier. Dans la période où on a fondé l’association, on ne voyait pas que cela puisse s’appeler autrement. On était déjà dans cette période de crise. On se connaissait entre syndicalistes et on a été vidé des équipes populaires en raison des engagements politiques de certains. HR : Les équipes populaires ? JC : Un mouvement d’éducation permanente mais d’obédience catholique, qui n’a pas supporté ici que des gens fassent partie de ces équipes et soient en même temps engagés dans des actions politiques non PSC. HR : Quelle époque ? JC : En 1969, 68/69. Il y a eu des statuts spéciaux et on a été viré et cela nous a fait le plus grand bien ! Parce qu’alors on a tout réinventé : tout n’arrivait pas mâché bouilli de la maison mère : on a dû faire la tambouille nous-mêmes ! Réfléchir comment on allait organiser un mouvement. 50 personnes ont quitté les équipes populaires à ce moment-là ; on a fait des activités entre nous. HR : Tu parles d’orientation politique pourtant fraternités ouvrières, c’est une association d’agriculture biologique, dès l’origine ? JC : Non, c’est n’importe quel thème de réflexion, de possibilité d’analyse des situations, du monde dans lequel on vit, pour le transformer. À un moment, on s’est englouti complètement dans le jardin, dans l’apprentissage du jardinage naturel, dont on ignorait beaucoup de choses. Mais ce qu’on voulait, c’est de ne plus employer de poison. Dès le début, on a été pris par la demande, tellement il y avait d’amateurs. On a eu jusqu’à 1200 membres. On a reconsidéré l’éducation permanente un peu autrement. On n’a pas commencé à mettre des thèmes, par exemple : voilà, on va parler du krach boursier qu’il y a eu dans les années 80. On n’a plus prévu de thème mais c’est au moment des réunions que les conversations se sont dirigées naturellement vers un thème. L’actualité est là qui guide ; ces rencontres ne sont pas dirigistes. Le thème vient naturellement entre les personnes qui disent leur avis. On constate que les plus pauvres sont toujours esquintés par les plus riches. Prise de conscience importante qui signifie une prise de responsabilité en tant que citoyen où les gens vont devoir réfléchir à comment ils votent pour quel programme ils vont voter et c’est aussi pour les animateurs principaux de l’association, c’est un moyen de demander aux gens de faire l’effort de s’intéresser, de se faire responsables, eux aussi de la société qui va mal parce que ils ont aussi leur part à donner. Consacrer du temps à réfléchir, à ne pas répondre, je m’en fous et laisser tout aux seuls élus politiques. HR : Ces réunions se font en dehors des rencontres jardinages ou en leur sein ? JC : Cela se fait spontanément. Parfois des thèmes sont prévus mais il n’y a pas un dirigeant qui aurait ses conceptions. Il y a échange : les gens prennent, reçoivent des éléments d’informations qu’ils ne comprenaient pas. Un exemple : il y a quelqu’un qui était raciste et s’exprimait souvent contre les personnes d’autres origines présentes dans le pays. Et puis à un moment donné on a expliqué les migrations. Comme il y a une ignorance de l’histoire, on a expliqué les migrations, les problèmes qui engendrent les migrations et qu’il y en a partout sur toute la planète, dans tous les sens. Et on s’est rendu compte que dans la même conversation, cette personne défendait le migrant ! En disant, il y en a qui sont obligés. C’était un jeudi après-midi, quand on est à plusieurs et que des choses discutent. HR : Et le jardinage naturel ? JC : C’est arrivé en 78. Il y a eu des activités (sur le style des autres associations d’éducation permanente). On a abordé comme sujet les jardins. Et on a été happé ; on n’avait pas le temps de préparer quelque chose de complètement dirigé, pourtant, cela s’est passé quand même parce que les gens parlent entre eux, parce que le fait d’être bien ensemble ; il y a toute une série de circonstances qui font que quand on est à 10 ou 12, quelqu’un va lancer quelque chose et c’est parti, on discute. HR : Et Gilbert et toi, vous aviez une sensibilité particulière par rapport au jardinage ou vous aviez appris ? JC : Pas du tout. Tout ce qu’on a appris, c’est par nos propres moyens avec... justement, la formation permanente [rires]. HR : Et maintenant, vous avez deux jardins d’une grande superficie ? JC : On a notre jardin, ici, qui est le plus proche des gens qui viennent – juste à côté de la salle de réunion – et puis il y en a un autre, qui est un jardin collectif qui se fait avec 6 familles, qui se situe du côté Flandres, à Albeek. HR : Et ces familles ? JC : Il y a des personnes qui font partie du groupe, pratiquement tous... Ce sont des gens de la région. Il y a 6000 mètres carrés. 6 ares donc ? (Non, 60...) HR : Vous le divisez ? JC : Non, tout est en collectif. On travaille ensemble puis on partage les récoltes. Ici le jardin fait 1800 mètres carrés. HR : Gilbert avait un jour dit le nombre d’arbres qu’il y a dans ce jardin... JC : Oui, plus de 2000 ! HR : Le type de travail de la terre que vous préconisez est assez particulier. On parle de « permaculture » bien que Gilbert semblait réservé par rapport à ce mot ? Mais c’est de la permaculture. Comment y êtes-vous venus ? JC : Ben Gilbert dit : moi, c’est par paresse en premier lieu... Dring... [on sonne à…

C’ est vos k’ el dit:

Jean Cayron: Les disfindeus d’ l’ acoird acsegnnut ki les payis d’ Azeye, Inde et Chine e leu tiesse, fwaiynut des demonés acoirds di comiece. Ki, si on n’ si…

èl mouchon d'aunia - 7 - 2015 - èl Mouchon d'Aunia / Septembre 2015

Sommaire • Souv’nances dè colonîye par Liliane Faes • Twâs p’tit mots d’ no tèrwâr…

Les écrivains nuisent gravement à la littérature

Éric Allard a de l’esprit et un amour de la littérature suffisamment fin pour pouvoir la taquiner, la moquer…

"Ne leur donnez pas à manger"

Le monde, paraît-il , est devenu un grand village. C’est du moins ce que nous disent ceux qui surfent sur le net, et les tchateurs. C’est une fort…

Projet classé DX

Elsie DX, c'est bien plus que le nom de scène d'Elise Dutrieux. C'est un projet artistique complet, qui mélange avec élégance musique ethnique, électro, graphisme et vidéo. C'était aussi l'invité de la galerie…

Ma voisine a hurlé toute la nuit

La nouvelle, à côté des autres genres littéraires que sont le roman ou la poésie, n’a jamais occupé une position centrale…

Leu cûr alotche

In djon.ne solé brét dins l’ hastrèle, Seu l’ mousse ou cûr dès nwârs tchayés, Rtchaufant lès pîres èt lès èstèles Leumant lès éwes, l’ long dès pazés. Sa leumîre…

Éclipse

Le titre du dix-huitième livre de Françoise Houdart aux Éditions Luce Wilquin, Éclipse , peut paraître commun, de prime abord. Pourtant, au fil des lignes, il déploie sa richesse symbolique…

Le petit tsar

Nous entrons dans le quotidien de Nancy, une biologiste de quarante-cinq ans qui vit avec son fils Corentin et Adam, un psychiatre renommé. Nancy est habitée par de nombreuses angoisses…

Ghettos

Il est certains artistes pour qui la poésie commence là où finit le monde, là où le réel se cabre. Le très jeune poète Quentin Volvert (né en 1997) appartient à cette confrérie. Dans une langue…

Pays dans un pays. Marcheuses et Marcheurs des Temps présents

Ils ont marché et marcheront encore, ils traceront des voies nouvelles, ces Marcheuses et Marcheurs, comme…