Résultats de recherche pour “L&” 14101 à 14130 (15283)

50 ans, ça se joue !

Un  Cinquantenaire nouveau vient de prendre place dans le paysage culturel : celui du Théâtre Jean Vilar. Étrange et formidable histoire que celle de ce théâtre et de son fondateur,…

Modiene famile

Cwand « Står-Trake » , li prumî rîlêye-fime [télésérie], a-st ataké e 1966, c’ esteut so l’ difén do trevén do metaedje a pårt [ségrégation] divins les Estats Unis.…

Petit frère

L’on sait François Emmanuel fin observateur des relations humaines ; qu’il s’agisse d’un couple ou d’une famille complète, il sonde les âmes et nous en rend compte avec…

Trinquons au lancement de TRINKHALL Museum!

Le Parc d’ Avroy , à Liège, s’en trouve tout réjoui. Son nouveau musée Le Trinkhall museum, anciennement MADmusée,…

Démons et merveilles. Critique de la raison pure

À l’occasion de l’exposition Démons et merveilles qui se tient au Centre Wallonie-Bruxelles , paraît …

Petit manuel de survie en zone tempérée

Bon. Allez. J’avoue. Je jalouse, extrêmement, tous ces gaillards, toutes ces gaillardes, à l’œil vif et pointu, ces intelligences…

Ce que je confie aux vagues

Les dix illustrations d’Isabelle Busschaert sont splendides ! On aimerait avoir les originaux en main. Ce sont des taches de couleurs liquides s’épousant…

Les gagnants du concours Ad@ptez un classique sont connus

Le concours organisé par Espace nord, la Fédération Wallonie-Bruxelles et les AML (Archives et Musée de la Littérature)…

Les mondes possibles de Jérôme Ferrari.

En portant son choix sur Jérôme Ferrari, Pascaline David (co-fondatrice de la maison d’éditions namuroise Diagonale associée à Actes-Sud pour cette publication)…

Pourquoi je n’écris plus de poésie

Pourquoi je n’écris plus de poésie repose sur un double mouvement, une aspiration romantique à une poésie oraculaire…

50 ans, ça se joue !

Un  Cinquantenaire nouveau vient de prendre place dans le paysage culturel : celui du Théâtre Jean Vilar. Étrange et formidable histoire que celle de ce théâtre et de son fondateur, Armand Delcampe…Le…

Tea time à New Delhi

À l’été 2015, nous vous présentions ici même le premier roman de Jean-Pol Hecq, Georges et les dragons , qui paraissait aux éditions Luce Wilquin. Coup de cœur du…

Assigné à existence - de Roland Devresse - La rage au verbe

Karoo s’intéresse aujourd’hui au jeune poète Roland Devresse. Travaillé par la colère, face à une époque…

Lès deûs galants rostis : sin.ne III et sin.ne IV

(Les indications scéniques figurent entre parenthèses. Certaines corrections ont été opérées par…

Maiko no hikari

Ukiyo-e , ce mot vous dit-il encore quelque chose ? Ou bien est-il déjà tombé dans l’oubli, balayé par – au choix – la nouvelle vague, nouvelle sensation, nouvelle expo…

Neuvaines 4 à 6

En septembre 2015, sur ce même blogue du Carnet , j’ai dit tout le bien que je pensais des Neuvaines 1 à 3 de Daniel De Bruycker . Vient de paraitre le deuxième volume…

Déséquilibres ordinaires

Ça aurait pu être cet homme, à la face écrevisse, bien bâti, bien ravagé. À la fois campé et chancelant, une bouteille à la main, légèrement…

Lettres de Sicile. Un architecte belge à Palerme, 1919-1921

« Si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que tout change. » Cette phrase tirée du Guépard…

Le rayonnement de Mudra - Afrique. Entretien avec Germaine Acogny, «la fille noire de Béjart»

À l’inauguration de Mudra-Afrique à Dakar , Béjart déclarait à un journaliste : « Ce n’est pas moi le directeur, c’est Germaine Acogny. Elle va réaliser mes rêves, mais elle va le faire différemment. » XX Comment avez-vous réalisé ses rêves ? Germaine Acogny : Mudra-Afrique a duré cinq ans (l’école a dû fermer en 1982 faute de soutiens financiers, ndlr). Puis, j’ai rencontré Helmut Vogt et pendant dix ans nous avons essayé de réaliser nos rêves en France, mais cela a échoué. Je lui ai donc dit : « Quand tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens. »  Puis je suis revenue dans mon pays, au Sénégal, en compagnie de Helmut et nous nous sommes installés dans un village de pêcheurs près de Dakar. Nous avons choisi ce lieu merveilleux pour y fonder une école. Comme disait Béjart, « un bon maçon se voit, comme un bon danseur » ; la formation est essentielle pour exercer un métier. Le président Senghor et Maurice Béjart m’ont aidée à faire asseoir la danse africaine et à lui donner la place qui lui revient de droit. L’École des sables, que j’ai fondée en 1998 avec Helmut Vogt, est un lieu d’échange et de formation professionnelle pour des danseurs africains et du monde entier dans les meilleures conditions, pour continuer de transformer les traditions dans la modernité. Ma rencontre avec Béjart a produit Mudra-Afrique, puis s’est incarnée dans l’École des sables… deux rêves qui se sont rejoints. Quels rapports entreteniez-vous avec Béjart ? Sentez-vous une filiation ? G. A.: Nous étions très proches. J’avais une totale liberté d’action, Béjart me faisait confiance, il m’appelait la « patronne ». Ma ressemblance avec lui est troublante, j’avais les mêmes pensées que lui et notre rencontre a produit Mudra-Afrique. Béjart disait que, s’il avait eu des enfants, ils auraient pu être noirs. Il avait un quart de sang sénégalais… Il me considérait comme sa fille noire, je l’appelais souvent papa. À travers le miroir de ses yeux, j’ai retrouvé mes racines. Je suis sa fille spirituelle. Quelle influence Mudra-Afrique a-t-elle eue sur le développement de la danse au Sénégal et en Afrique ? A-t-elle favorisé l’émergence d’une danse contemporaine africaine ? G. A.: La formation pluridisciplinaire de Mudra-Afrique a eu une grande l’influence sur les danseurs de toute l’Afrique qui ont suivi la formation. Par exemple, Irène Tassembedo, au Burkina Faso, a fondé une école et a développé une carrière internationale. Laurent Longafo, de la République démocratique du Congo RDC, a introduit ma technique de danse à l’Université. Le rayonnement va au-delà du Sénégal. Après Mudra-Afrique, j’ai été pendant cinq ans directrice artistique de la section Danse d’Afrique en Créations (fondation puis association qui a œuvré dans le domaine des arts contemporains, danse, photo, cinéma, théâtre…), où je me suis investie dans le développement de la danse contemporaine. Malheureusement, nos gouvernants ne mettent pas assez de moyens pour la formation de nos danseurs et dans les arts en général. Vous êtes directrice de l’École des sables, fondée en 1998 et inaugurée en 2004. Avez-vous gardé « l’esprit Mudra » dans l’enseignement qui y est dispensé aujourd’hui ? G. A.: Bien sûr, l’aspect pluridisciplinaire est très présent, un danseur doit avoir plusieurs cordes à son arc… Nous n’avons pas les moyens de dispenser des cours sur une année mais la formation se répartit sur trois mois intensifs et les danseurs les plus doués reviennent trois à quatre fois pour compléter leur formation (c’est une formation continue suivant les thèmes abordés, par exemple :outillage chorégraphique, interprétation ou pédagogie). La formation est dispensée par des enseignants internationaux qui ne sont pas là pour imposer mais faire découvrir, échanger. Eux-mêmes apprennent beaucoup en venant ici, il s’agit d’un dialogue entre le maître et l’élève.  Vous venez de signer une nouvelle création, À un endroit du début… Vous revenez où tout a commencé. Quelles sont vos sources d’inspiration ? G. A.: Je m’inspire de mes racines et de ce qui m’entoure. Quand Mudra-Afrique existait, Béjart voulait créer Le Sacre avec des danseurs africains et il m’a dit, « ce sera toi l’élue ». J’avais 35 ans. Mais l’école a fermé, ce projet n’a pas abouti. 35 ans après, Olivier Dubois m’a proposé d’être son Élue noire XX, je n’ai pas hésité une seconde ; j’ai donc dansé Le Sacre en solo ! Dans mes prières ou mes méditations, Maurice Béjart est toujours présent.       Cité dans Mudra.103 rue Bara de D. Genevois. Pour sa reprise du Sacre du Printemps de Stravinsky, le chorégraphe français Olivier Dubois a choisi Germaine Acogny. Mon élue noire d’Olivier Dubois, du 7 au 9 avril 2016, festival Séquence Danse, au CentQuatre, à Paris…

Ce que, s’il fallait croire, je croirais avoir été

« N’oublie jamais non plus d’être seul. Jamais. C’est dans la solitude seulement…

Un pas de deux

Marianne De Wil est peintre et décoratrice. Fascinée par les mots, elle a créé des décors de théâtre et mis en scène des expositions littéraires.…

Antoine Boute – S’enfonçant, Spéculer – un grand éclat de rire dissonant

S’enfonçant, Spéculer est un roman conceptuel, plus proche de…

La magie du frangipanier

Le ciel de Clémence s’est obscurci lorsqu’elle avait treize ans. Alors qu’elle empruntait le métro pour rentrer chez elle, deux jeunes hommes l’ont sauvagement…

Lara Gardner a disparu

Jeanne Morin, une femme apparemment sans histoires, nous livre, en un récit par épisodes datés, la singulière aventure qui lui est arrivée. Alors qu’elle…

Pour présenter – Eduardo Halfón

En mars 2015, Maxime Hanchir a rencontré à plusieurs reprises l’auteur guatémaltèque Eduardo Halfón (prix Roger Caillois 2015) dans le cadre du festival de littérature…

Simenon, romancier absolu

Dans son dernier essai, Jean-Baptiste Baronian apporte la preuve définitive que tout n’a pas été écrit sur Georges Simenon et que, trente…

Editorial

UN est unique. Deux font la paire. Une unité de plus, et voilà une série. Ce troisième numéro de CLARA Architecture/Recherche consacre un dossier thématique à une question qui…

Cocteau, une valse à mille temps

En 1963 décédait Jean Cocteau , poète, romancier, dramaturge et cinéaste. Son œuvre, aux multiples résonances, n’a pas fini de nous étonner.…