Gelukkige slaven die we zijn. C’est le dernier cri romancé de Tom Lanoye, le populairder des écrivains du nord du pays. Si la version néerlandaise est sortie en 2013, la traduction française, elle, vient de paraître, signée une fois de plus Alain Van Crugten, traducteur attitré de Tom Lanoye… et de Hugo Claus accessoirement. Hugo Claus, justement, qu’on aime à présenter comme le père spirituel du poète-essayiste-dramaturge-romancier-politicard flamand que nous envient les Hollandais. Ce n’est pas la seule comparaison dont doit souffrir ce dernier, qualifié encore récemment, à l’occasion d’Esclaves heureux, d’« égal littéraire d’un Tarantino » (sic).
Gelukkige slaven die we zijn. C’est le dernier…
Pendant des années, cette île a servi d'asile psychiatrique. Un asile où le nombre de décès était particulièrement…