Résultats de recherche pour “France Adine” 721 à 750 (926)
On savait Pierre Coran poète. Avec ce recueil de maximes, on le découvre philosophe. Au fil de sa prolifique carrière d’écrivain…
Le poème hubinien se développe autour d’un sans lieu qui n’est peut-être, pour citer Fernand Verhesen évoquant son expérience de la traduction, « que le rien central dans le silence…
L’or, la paille, le feu. L’avènement des barbares
Un saut presque vertigineux dans le temps ! Le livre de Charles Senard L’or, la paille, le…
Sous un titre joliment original, Sprimont s’enlivre , un recueil de treize textes nous invite à découvrir, à la porte des Ardennes, Sprimont et des villages environnants.Chemins verdoyants…
Privé : Phénomène : Portraits d’Amélie Nothomb
Paru aux éditions Gründ sous le titre Phénomène , un beau-livre présente le travail…
Appel à candidatures pour les Prix littéraires de l'Association des Écrivains Belges (AEB)
L'Association des des Écrivains Belges…
Prix de la Vocation : appel à candidatures
La Fondation de la Vocation lance un appel à candidatures pour son prix littéraire et son prix de poésie. L’appel, à destination des personnes de…
En 2021, Septentrion fête son 50e anniversaire . Une publication de culture générale concernant le monde néerlandophone, mais dans la langue et à destination du voisin: c’est ce qui rend Septentrion unique. La revue a grandi, mûri, est devenue adulte, mais il y a eu constamment du mouvement à l’arrière-plan. Histoire, non seulement d’une revue, mais tout autant des relations culturelles, jalonnées de temps forts et de creux, entre la néerlandophonie et la francophonie. * Le succès d’une publication se mesure-t-il aux lieux où elle est l’objet de toutes les louanges? Peut-être bien. Le 18 mars 1981, le Flamand Jozef Deleu était l’hôte des salons de l'hôtel du Petit-Luxembourg à Paris, la résidence du président du Sénat Alain Poher. Étaient notamment présents Sadi de Gorter, premier directeur de l’Institut Néerlandais de Paris et ami fidèle de Deleu, et une brochette de hauts dignitaires de France, de Belgique et des Pays-Bas. Pas moins de quatre cents personnes ont assisté à la remise du prix Descartes à Deleu par Louise Weiss. La distinction était attribuée par l’Association France-Hollande, un organisme qui s’était assigné pour mission de promouvoir les liens culturels entre la France et les Pays-Bas. Son président, l’ancien préfet Yves Cazaux, s’est livré à un vibrant éloge de Jozef Deleu, qui, à la fois fondateur et rédacteur en chef de Septentrion. Revue de culture néerlandaiseXX , méritait ce prix plus que personne d’autre. Le premier numéro de Septentrion était paru en 1972. Deleu, fils d’une mère flamande et d’un père français, avait placé en exergue de son avant-propos une citation de Paul Valéry: “Enrichissons-nous de nos mutuelles différences”. Septentrion, revue de culture genérale, entendait offrir trois fois par an une information de qualité sur l’aire linguistique néerlandaise (soit les Pays-Bas et la Flandre, partie néerlandophone de Belgique) et mettre en évidence les influences réciproques entre la néerlandophonie et la francophonie. Avec Septentrion, Deleu n’en était pas à ses premières armes. En 1957 déjà, il avait fondé la revue Ons Erfdeel (à présent de lage landen), qui allait bientôt s’affirmer comme l’une des principales publications périodiques de culture générale en néerlandophonie. Le tout premier numéro portait d’ailleurs le titre Ons Erfdeel - Notre Patrimoine. Ce choix initial d’une édition bilingue trahissait le vif intérêt de Deleu pour la Flandre française. La rapide progression de Ons Erfdeel doit avoir été une surprise pour Deleu lui-même. Il était instituteur depuis de longues années, mais il quitta l’enseignement pour porter la Stichting Ons Erfdeel (Fondation Notre Patrimoine) sur les fonts baptismaux. Deux ans plus tard, en 1972, la fondation entamait la publication de Septentrion. L’immeuble construit pour la fondation est situé à Rekkem, en Flandre-Occidentale, à même la frontière franco-belge et juste à mi-chemin entre Paris et Amsterdam. Les choses bougent Nous pouvons dire aujourd’hui que Septentrion est né à un moment-clé. Un moment où le renforcement de l’autonomie culturelle des différentes communautés linguistiques de Belgique au sein du pays a engendré en Flandre un besoin accru de collaboration avec l’étranger. Quasi automatiquement, la Flandre s’est tournée en premier lieu vers les Pays-Bas. Le rapprochement avec le Nord a mené en 1980 à la création de la Taalunie, organe officiel qui allait développer une politique stimulante pour le néerlandais aux Pays-Bas et en Flandre (et, plus tard, également au Surinam) et se vouer au soutien du néerlandais dans le monde. L’année suivante s’ouvrait à Amsterdam la maison culturelle flamande De Brakke Grond. Sous l’impulsion, entre autres, de la Fondation Notre Patrimoine, des voix se sont également manifestées en faveur du développement d’un rapprochement culturel et d’une coopération avec d’autres pays. En Flandre (d’abord essentiellement dans la sphère privée, puis aussi dans une partie du monde politique), il apparaissait de plus en plus évident que des relations de bon voisinage sont primordiales pour une communauté de langue et de culture. Le plus proche voisin était la francophonie, elle méritait la priorité. De plus, la fixation de la frontière linguistique en Belgique (1963) avait atténué la crainte de l’impérialisme francophone. C’est dans cette atmosphère et ce contexte que Septentrion a vu le jour. Suspendus aux lèvres de Hugo Claus Éditer une revue en français sur les Pays-Bas et la Flandre, cela n’en restait pas moins une entreprise téméraire. Mais Deleu a su rallier à sa cause aussi bien des traducteurs talentueux que d’éminentes personnalités des sphères académique et sociétale belges et françaises pour constituer le comité de conseil. La rédaction ne comprenait pas seulement des Flamands, mais aussi, notamment, un Français et deux Néerlandais. La revue pouvait dès lors démarrer sur de bonnes bases. En feuilletant aujourd’hui les premières années de parution, on ne s’étonnera pas du succès de Septentrion. Dans la ligne de son objectif culturel au sens large, la revue offrait d’emblée une mine d’informations sur la littérature, les arts plastiques, une grande variété d’autres disciplines artistiques et des sujets sociaux d’intérêt général. Ces informations prenaient forme dans des articles de fond, mais aussi, au fil du temps, dans des textes plus courts en prise sur l’actualité. Une intéressante trouvaille a été celle des «lettres flamandes et néerlandaises», rendant compte, chacune à sa manière, de la vie culturelle et des thèmes généraux de société. À la fin des années 1970 paraît la première des “chroniques” pleines de verve de Sadi de Gorter. Ce compagnon de la première heure, passeur de cultures s’il en est, allait publier une “chronique” dans chaque numéro et ne s’arrêter que peu avant sa mort en décembre 1994. À partir de 1986, Septentrion a paru non plus trois, mais quatre fois par an. La rédaction a réussi à s’attacher davantage de plumes de qualité, auteurs et critiques qui (principalement dans le monde néerlandophone) jouissaient d’un grand renom. La presse française ne demeurait pas insensible aux objectifs de la revue et à sa haute tenue. Libération voyait en Septentrion “une contribution directe à la bonne entente entre les peuples dans le cadre d’une Europe un peu plus unifiée chaque jour”. En même temps paraissaient de plus en plus souvent des numéros plus volumineux dans lesquels un thème déterminé était présenté de manière approfondie. Quelques exemples au hasard: des numéros thématiques consacrés à la poésie contemporaine, tantôt néerlandaise, tantôt flamande, un autre à James Ensor, un autre encore à la Grande Guerre. Au début du XXIe siècle ont notamment paru des numéros thématiques sur l’Escaut et la Meuse, un sur le Québec et un sur les relations entre les Plats Pays et Paris. Ces deux derniers exemples nous amènent à une période où Jozef Deleu a cessé d’être le rédacteur en chef, Luc Devoldere ayant pris sa succession en 2002. Les numéros thématiques ont couramment donné lieu à l’organisation de soirées culturelles, souvent dans des salles de prestige ou autres lieux réputés, comme l’ Institut Néerlandais à Paris, le Théâtre de la Monnaie à Bruxelles, l’Opéra royal de Liège ou le Théâtre royal de Namur. Ces soirées ont toujours suscité un vif intérêt et ont, à l’occasion, été rehaussées par la présence de sommités. L’affiche n’était évidemment pas étrangère à cet engouement, notamment lorsqu’elle comportait des noms dont la réputation avait gagné la francophonie, tel l’écrivain Hugo Claus (1929-2008), venu en personne à diverses reprises donner lecture de quelques-uns de ses poèmes en traduction française. Chaque fois, l’assistance était suspendue à ses lèvres. Une excursion dans le nord…
Prix de littérature Charles Plisnier 2022 : appel à candidatures
Le prix de Littérature Charles Plisnier 2022 récompensera un roman ou recueil de nouvelles. Les candidatures…
En 2022, deux prix de langues régionales endogènes de Fédération Wallonie-Bruxelles seront attribués à une œuvre en prose et à une étude philologique. Mettre en valeur les langues régionales de la Fédération Wallonie-Bruxelles Ces prix sont dotés chacun d’un montant de 2.500 euros. Ils récompensent des travaux qui mettent en valeur l’une des langues régionales reconnues en Fédération Wallonie-Bruxelles, qu’elle soit d’origine romane (champenois, lorrain, picard, wallon) ou germanique (francique, thiois brabançon). Remise des prix Les deux jurys sont composés de membres de la Commission des Écritures et du Livre (session « Langues régionales endogènes ») qui peuvent faire appel, le cas échéant, à des experts extérieurs. La proclamation des prix aura lieu en 2022. Conditions de participation Les œuvres présentées au concours seront soit inédites , soit publiées : − après le 31 décembre 2018, pour le prix de l’œuvre en prose − après le 31 décembre 2019, pour le prix de l’étude philologique (recherche en matière de langue ou de littérature) Les dossiers de candidature seront adressés le 1er février 2022 au plus tard , en six exemplaires, au Service des Langues régionales endogènes de la Communauté française, c/o Charmarke OSMAN OMAR, 44 Boulevard Léopold II, 1080 Bruxelles. Informations complémentaires Pour toute demande ou information, les personnes intéressées peuvent contacter le Service des langues régionales endogènes : − par courrier ordinaire c/o Charmarke OSMAN OMAR, 44 Boulevard Léopold II, 1080 Bruxelles − soit par téléphone : +32 (0)2 413 33 08 − soit par courriel : charmarke.osmanomar@cfwb.be Règlement complet (PDF)…
Entretien avec Jérôme Poloczek autour de son recueil « Presque poèmes »
Comme l’année dernière, Lettres Numériques participe à la campagne…
Appel à candidatures pour le Prix de la première œuvre en langue régionale 2022
En 2022, un prix de langues régionales endogènes de la…
Appel à projets "La langue française en fête 2022" - Dis moi "dix mots qui (d)étonnent"
La thématique de l'édition 2022 de la Langue…
Offre d’emploi : attaché(e)/gestionnaire de dossiers et de projets au service du livre
La Fédération Wallonie-Bruxelles recherche…
Les sœurs Loveling / De zussen Loveling
Huit poétesses néerlandophones et francophones – Catherine Barsics , Victoire de Changy , Hind Eljadid , Astrid Haerens , Ruth Lasters…
Le virus de l’imagination non reproductible. Les festivals TAZ et OEROL
Le festival d’Avignon et l’Edinburgh Festival…
Prix « Ottignies-Louvain-la-Neuve de la Nouvelle » : appel à candidatures
La Ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve relance le Prix littéraire de la Nouvelle.…
Appels à candidatures pour les Prix de poésie de l'AEB
L’AEB (Association des écrivains belges) remettra cette année deux prix de poésie : PRIX HUBERT KRAINS Le prix Hubert…
In Memoriam Danielle Trempont-Bury
En cette fin d’octobre 2020, nous avons appris le décès de Danielle Trempont, née Bury. Avec son départ, la région carolorégienne…
L'autrice Geneviève Damas reçoit le Prix des lycéens 2021
Au cours de cette année scolaire soumise aux aléas de la situation sanitaire, la lecture a plus que jamais constitué…
Nouveau : les ateliers de création linguistique "La plume au bout de la langue"
Ces ateliers invitent élèves et apprenants à s’approprier la langue…
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La Ville de La Louvière lance la seconde édition du concours littéraire : "La Louvière re-Nouvelles !" Organisé en 2018 dans le cadre du…
Le jeu «décomplexé». Le théâtre flamand vu de France
Dans les années 1980 et 1990, la puissance d'innovation du théâtre flamand…
Le virus de l’ imagination non reproductible. Les festivals TAZ et OEROL
Le festival d’Avignon et l’Edinburgh…
Appel à candidatures pour le prix Marcel Thiry
Le prix Marcel Thiry 2021 est consacré à la poésie. L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 30 juin 2021. Le prix Marcel Thiry Doté…
Il y a assez bien de belgicismes comme ça!
En 1971 et en 1974 , l’Office du bon langage de la Fondation Charles Plisnier se fait remarquer par la publication…
Francophonie vivante - n° 2 - 2020 - Vivacité des français
Sommaire • Éditorial par Jérémy Lambert , François-Xavier Lavenne • Il y a assez bien de belgicismes…
La peste, le choléra et la littérature
Charybde et Scylla sont deux monstres fabuleux qui gardent le détroit de Messine. En réalité ce sont deux écueils que les…
Du tins dès diggers / Du Temps des "Diggers" (décembre 1918 - mai 1919)
Il y a un peu plus de cent ans , des troupes de l’armée…
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