Résultats de recherche pour “France Adine” 721 à 750 (912)

Appel à projets "La langue française en fête 2022" - Dis moi "dix mots qui (d)étonnent"
La thématique de l'édition 2022 de la Langue…

Offre d’emploi : attaché(e)/gestionnaire de dossiers et de projets au service du livre
La Fédération Wallonie-Bruxelles recherche…

Les sœurs Loveling / De zussen Loveling
Huit poétesses néerlandophones et francophones – Catherine Barsics , Victoire de Changy , Hind Eljadid , Astrid Haerens , Ruth Lasters…

Le virus de l’imagination non reproductible. Les festivals TAZ et OEROL
Le festival d’Avignon et l’Edinburgh Festival…

Prix « Ottignies-Louvain-la-Neuve de la Nouvelle » : appel à candidatures
La Ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve relance le Prix littéraire de la Nouvelle.…

Appels à candidatures pour les Prix de poésie de l'AEB
L’AEB (Association des écrivains belges) remettra cette année deux prix de poésie : PRIX HUBERT KRAINS Le prix Hubert…

In Memoriam Danielle Trempont-Bury
En cette fin d’octobre 2020, nous avons appris le décès de Danielle Trempont, née Bury. Avec son départ, la région carolorégienne…

L'autrice Geneviève Damas reçoit le Prix des lycéens 2021
Au cours de cette année scolaire soumise aux aléas de la situation sanitaire, la lecture a plus que jamais constitué…

Nouveau : les ateliers de création linguistique "La plume au bout de la langue"
Ces ateliers invitent élèves et apprenants à s’approprier la langue…

Coucours de nouvelles : La Louvière re-nouvelle
La Ville de La Louvière lance la seconde édition du concours littéraire : "La Louvière re-Nouvelles !" Organisé en 2018 dans le cadre du…

Le jeu «décomplexé». Le théâtre flamand vu de France
Dans les années 1980 et 1990, la puissance d'innovation du théâtre flamand…

Le virus de l’ imagination non reproductible. Les festivals TAZ et OEROL
Le festival d’Avignon et l’Edinburgh…

Appel à candidatures pour le prix Marcel Thiry
Le prix Marcel Thiry 2021 est consacré à la poésie. L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 30 juin 2021. Le prix Marcel Thiry Doté…

Il y a assez bien de belgicismes comme ça!
En 1971 et en 1974 , l’Office du bon langage de la Fondation Charles Plisnier se fait remarquer par la publication…

Francophonie vivante - n° 2 - 2020 - Vivacité des français
Sommaire • Éditorial par Jérémy Lambert , François-Xavier Lavenne • Il y a assez bien de belgicismes…

La peste, le choléra et la littérature
Charybde et Scylla sont deux monstres fabuleux qui gardent le détroit de Messine. En réalité ce sont deux écueils que les…

Du tins dès diggers / Du Temps des "Diggers" (décembre 1918 - mai 1919)
Il y a un peu plus de cent ans , des troupes de l’armée…

Concours 2020 "Un auteur, une voix"
«Un auteur, une voix…» est un concours organisé par La Roulotte théâtrale, une asbl qui s’est vouée à la promotion des «arts de la parole»,…

" De l’Ulenspiegel de Charles De Coster est issue la littérature belge. " Romain Rolland Jubilons ! En 2017, Ulenspiegel sera jeune de trois jubilés, et le…

Dictionnaire de citations pas comme les autres
On peut imaginer que, dans la vie de deux enseignants passionnés de littérature comme Liliane Schraûwen…

INTRODUCTION: La vie et ses limites
Le 13 novembre 2020 , on enregistrait 1 338 100 morts du COVID. Si nous n’avions lancé notre appel dès 2019, l’actualité nous aurait…

Cahiers internationaux de symbolisme - n° 155-156-157 - nov. 2020 - Limites de la vie
Sommaire • Quand Pasolini regarde la psychanalyse,…

Être juré du Prix Goncourt. Une responsabilité devant l’Histoire
François-Xavier Lavenne – Avant de devenir journaliste,…

My songs were on the fringes then, and I think they’re on the fringes now. Bob Dylan XX L’Académie suédoise a attribué à Bob Dylan le prix Nobel de littérature…

Mimy Kinet : « Je ne connais pas la révolte. Je suis simplement entrée en révolution »
Mimy Kinet est une poétesse belge dont les…

La création durable et circulaire va beaucoup plus loin que le recyclage et la réduction des dégâts environnementaux. Nous devons opérer une transition vers une économie circulaire. Avec une manière de produire et de consommer qui n’épuise pas les ressources rares de la terre, basée sur l’énergie renouvelable et mettant en œuvre des cycles fermés, sans déchets. Les designers jouent un rôle important en la matière. Par l’invention de nouveaux produits et services, et le choix des matériaux. Et en faisant en sorte que les produits durent plus longtemps, soient plus facilement réparables et recyclables. La nouvelle génération se consacre corps et âme à cette mission. Les Pays-Bas se situent à l’avant-garde, mais le courant est également perceptible en Belgique et en France. * Emma van der Leest (° 1991) fait produire des matières présentant des similitudes avec les textiles et le cuir par des bactéries, et en trouve d’autres dans le port de Rotterdam pour colorer ces substances de manière naturelle. En collaboration avec un biologiste et avec des chercheurs d’un centre médical universitaire, elle étudie la possibilité de faire produire un revêtement imperméable naturel par certaines moisissures. Au cours de sa formation de conceptrice de produits à la Willem de Kooning-academie de Rotterdam, Van der Leest s’est spécialisée en biodesign: l’utilisation de micro-organismes comme source d’inspiration, comme élément constructif ou comme base d’un produit complet. Elle travaille aujourd’hui en free-lance, enseigne à la Design Academy Eindhoven et effectue des recherches dans le cadre du Biobased Art & Design lectoraat, une coopération entre la Willem de Kooning-academie, TU Delft (université de technologie) et l’Avans Hogeschool de Breda. Elle a également fondé le BlueCity Lab à Rotterdam, un lieu de travail où scientifiques, designers, artistes, étudiants et entrepreneurs peuvent à leur gré expérimenter de nouveaux matériaux et produits conçus à partir de micro-organismes. Jalila Essaïdi (° 1980), artiste formée à l’université de Leyde, avec une spécialisation en bio-art, a fait parler d’elle dans le monde entier avec une peau capable d’amortir, voire même d’arrêter des balles. Une combinaison de tissu humain et de soie d’araignée, produite par des micro-organismes génétiquement modifiés. Plus tard, elle a capté à nouveau l’attention des médias avec un textile fabriqué à partir de bouse de vache. Il y a un an et demi, elle a ouvert à Eindhoven le BioArt Lab, où l’on s’emploie à résoudre des problèmes sociétaux en combinant nature et technologie. Pratique et pragmatique Van Leest et Essaïdi sont exemplaires des développements dans le domaine du design durable et circulaire aux Pays-Bas. Les concepteurs de la nouvelle génération font s’estomper complètement les frontières entre science, technologie, design et art. Ils collaborent de préférence avec des gens de toutes provenances, dans des réseaux ouverts, de manière à réunir autant de connaissances et de compétences que possible. Et ils ont une mission : contribuer à un monde meilleur, si possible avec un effet concret. Ils veulent offrir des solutions aux défis auxquels nous sommes confrontés, que ce soit dans le domaine de l’écologie, de l’économie ou de la vie en société. Ils ne puisent pas leur inspiration dans de grands idéaux ou des perspectives politiques, mais sont pratiques et pragmatiques. Pleins d’ardeur, les créateurs de la nouvelle génération s’attaquent aux problèmes et, tout en expérimentant, ils se lancent avec enthousiasme à la recherche d’un produit, d’un procédé ou d’un matériau innovants. Dans cette quête, la nature offre de l’inspiration en abondance, nulle part ailleurs on ne trouve plus beaux exemples de bouclage de cycles écologiques. Les vieux métiers et les techniques et méthodes traditionnelles de travail suscitent un regain considérable d’intérêt, car la nature y est souvent habilement utilisée. Cette tendance est internationale et observable en de nombreux endroits. «On ne conçoit plus sans penser à la durabilité. Ce ne sont plus des matières diverses mais des idées et des solutions (durables) qui ont pris le dessus», a écrit Tracy Metz, journaliste et auteur américano-néerlandaise en avril 2018 en introduction à un article sur le Salone del Mobile de Milan, le plus important événement au monde - par la taille et l’influence - dans le domaine du design. Avec un clin d’œil Les Pays-Bas peuvent certainement revendiquer une place de premier plan dans ce domaine. Ce fut Piet Hein Eek qui, diplômé de la Design Academy Eindhoven, lança en 1990 une armoire en morceaux de planches de bois de récupération. Un manifeste pour l’artisanat et la conscience environnementale comme contrepoids au design bien trop léché, à ses yeux sans âme, qui donnait le ton à cette époque. Des contemporains comme Richard Hutten, Hella Jongerius et Marcel Wanders l’accompagnèrent dans cette voie, et ainsi se développa lentement le mouvement qu’on appela Dutch Design et qu’on qualifia de minimaliste, expérimental, innovateur, peu conventionnel et doté du sens de l’humour. En suivant l’enseignement de design industriel, davantage tourné vers l’entreprise, de l’Université de technologie de la TU Delft, l’étudiante Conny Bakker fut, au début des années 1990, étroitement impliquée dans la mise en place du réseau d’écodesign O2, devenu mondial depuis. Par la suite, elle soutint une thèse sur les informations environnementales pour les concepteurs. «Au début du processus de conception, les créateurs tâtonnent trop. Il leur manque l’outillage pour s’attaquer correctement au sujet. Il faut disposer d’un point d’appui pour développer une combinaison produit/marché pour le long terme. Imaginez : avec toutes ces discussions sur l’émission de dioxyde de carbone, on peut parier que la législation se fera attendre cinq ou dix ans. Si dès maintenant on anticipe là-dessus, on peut prendre un formidable avantage concurrentiel», a-t-elle déclaré en 1995 (!) dans une interview relative à sa soutenance de thèse. En 2017, Conny Bakker a été nommée professeur ordinaire de méthodologie de conception pour la durabilité et l’économie circulaire à la TU Delft. Matelas recyclable Après une première vague d’intérêt pour l’environnement et le développement durable dans les années 1990, incluant assurément le secteur manufacturier, une deuxième vague se dessine maintenant. De même que les lycéens descendent en nombre croissant dans la rue et en des lieux multiples pour faire entendre leur voix sur les problèmes climatiques, de jeunes concepteurs imaginatifs de plus en plus nombreux se manifestent avec des idées et des concepts parfois radicaux, qui peuvent contribuer à l’économie durable et circulaire. Tracy Metz l’a constaté à Milan, mais cette tendance est visible aussi lors de la Dutch Design Week à Eindhoven, qui accueille chaque année 350 000 visiteurs. Un échantillon de l’édition d’octobre 2019. Ontwerpbureau Niaga (again lu à l’envers) a développé, en collaboration avec DSM, un tapis composé d’une seule matière - du polyester - et par conséquent complètement recyclable. Et avec Auping, un premier matelas recyclable. Pour l’entreprise de traitement des déchets Renewi, qui transforme déjà près des deux tiers des ordures collectées en nouvelles matières premières, les étudiants de la Design Academy Eindhoven se penchent sur les résidus qui, à l’heure actuelle, vont directement à l’incinérateur. Pourquoi ne fait-on pas de baskets à partir de vieux pneus, lança l’un de ces pionniers. Et même des cendres des incinérateurs, on peut encore tirer des minéraux et des matériaux utiles, d’autres l’ont montré. Le musée d’art moderne Van Abbe à Eindhoven a participé lui aussi et offert une estrade à des concepteurs…

Deux fils rouges de la littérature maghrébine en langue française
Le foisonnement de la littérature maghrébine est tel qu’on…

Tandis que les mouvements politiques et les études universitaires trans se mettent en place aux États-Unis à partir du milieu des années 1990, une nouvelle approche esthétique du transgenre XX se développe dans les arts plastiques, rompant avec les représentations médiatiques et médicales de la transsexualité (centrées sur la chirurgie de réassignation sexuelle). En effet, des artistes anglo-saxons comme Del LaGrace Volcano ou Loren Cameron enregistrent des performances transgenres (portraits ou autoportraits) grâce à leur appareil photographique, en tant qu’auteurs de leur propre corps, par l’exposition artistique des différentes techniques d’incarnation (pas seulement la chirurgie) qui permettent d’altérer le sexe qui leur a été assigné à la naissance. Les années 2000 et 2010 voient quant à elles apparaître une nouvelle génération d’artistes transgenres anglo-saxons comme Loren Cameron, Kris Grey, Wynne Neilly, Yishay Garbasz, Cassils, Nina Arsenault, Simon Croft ou encore Tobaron Waxman qui s’engagent dans des pratiques performatives, souvent assistées par les technologies médiatiques (photographies, vidéos, enregistrements sonores) XX . Ces plasticien-ne-s transgenres questionnent la naturalité du corps et la conception biologique du genre en démontrant les cadres socio-culturels qui produisent la forme/le design biomorphique du sexe, du genre et de l’identité. Ainsi, nous voudrions nous intéresser aux productions artistiques qui investissent le territoire du transgenre, renouvelant le langage esthétique de l’art corporel et le rapport à l’identification politique du sujet à travers l’ouvrage de son corps. Notre hypothèse est que les artistes transgenres emploient le corps comme un laboratoire, poursuivant les recherches identitaires exploratoires du drag telles qu’elles sont analysées dans les théories du travestissement chez Judith Butler avec Trouble dans le genre (1990). Ce qui confère un nouveau statut au corps qui n’est plus une matière biologique donnée par la nature, mais plutôt le support matériel d’une identité dissidente échappant au biopouvoir de la différence sexuelle. En premier lieu, nous nous intéresserons à ce que produisent les technologies transgenres, dans le dispositif artistique de la performance directe ou médiatisée : les hormones, les prothèses, les opérations chirurgicales et la musculation apparaissent comme de véritables processus de création corporelle. Nous verrons qu’à travers ces nouvelles « techniques du corps » XX , les artistes transgenres interrogent le sexe dans sa capacité à représenter le genre d’un sujet. En second lieu, nous observerons que si la performance est investie en tant que mode d’expression politique par les sujets trans pour problématiser le sexe au regard des « technologies de genre » XX , il nous paraît également important de montrer que la culture artistique elle-même est pointée par les performeur.ses transgenres, comme une technologie de la subjectivité corporelle. En effet, nous verrons que la réappropriation des représentations du corps dans l’histoire de l’art, de l’Antiquité jusqu’à l’art contemporain, permet aux artistes transgenres de questionner la production artistique des genres, des sexualités et des races à travers la recontextualisation politique de ces iconographies corporelles dans des performances critiques. Enfin, nous voudrions proposer l’hypothèse que le langage esthétique utilisé par les artistes transgenres, pour renouveler l’art corporel et repenser la culture visuelle de l’histoire de l’art comme une possible technologie de subjectivité (genre, sexualité, race), s’articule comme une traduction corporelle de la théorie du travestissement (drag) proposée par Judith Butler dans Trouble dans le genre en 1990XX . Nous nous appuierons sur les analyses artistiques de plusieurs œuvres pour soutenir cette proposition théorique, ainsi que sur les concepts de « vêtement incarné » (France Borel) et de « bio-drag » (Beatriz Preciado). Nous parlerons quant à nous de « corps laboratoire » pour qualifier les pratiques artistiques du transgenre qui consistent à problématiser la biophysique du corps pour dénaturaliser le genre et inventer des identités dissidentes qui se désintéressent de la différence sexuelle. L’ART TRANSGENRE, UNE RUPTURE DES CORPS AVEC LE SYSTÈME SEXE/GENRE Depuis les années 1990, les artistes transgenres apparaissent sur la scène du body art afin de présenter l’expérience de la transition corporelle comme une nouvelle réflexion esthétique possible dans le champ de l’art. La présente étude s’intéressera à ce phénomène relativement récent. Bien que notre article se présente comme une étude esthétique de la performance chez les artistes transgenres, il ne s’agit pas pour nous de la présenter comme une enquête de terrain exhaustive ; nous nous concentrons principalement sur des œuvres produites dans le contexte contemporain anglo-saxon et tentons d’examiner cette tendance artistique actuelle à partir de huit artistes transgenres (cités en introduction) qui sont très présent-e-s sur la scène artistique, dans les textes académiques et sur Internet. Les artistes transgenres font appel à trois procédés artistiques pour capter la performance des corps transformés : ils peuvent présenter leur corps pendant ou au terme de leur processus de transition corporelle, ou alors enregistrer la progression de la transition corporelle dans le temps, ou encore exposer les outils techniques (hormones, bistouris, prothèses, haltères) ou des reliques (poils, organes, seringues usagées) qui attestent de la transformation du corps. Dans les œuvres de notre corpus, la performance du corps en cours de transition (pendant la chirurgie ou l’hormonothérapie) n’est jamais présentée directement, en présence du public : ce dernier n’est jamais convié en salle d’opération, ou invité à voir des injections d’hormones au sein d’un musée par exemple. Les œuvres que nous avons à notre disposition se servent des médias en différé, et notamment de la photographie, pour capter la transformation corporelle qui se joue dans la performance transgenre. Dans une série de trois autoportraits photographiques en noir et blanc (1996) XX , Loren Cameron expose son corps au terme de sa transition female-to-male XX , il est entièrement nu, face à l’objectif de l’appareil photographique qu’il déclenche lui-même à distance. L’artiste présente tous les caractères sexuels d’un corps masculin idéal, sauf qu’il a un vagin, ce détail anatomique vient témoigner de son identité transgenre. Dans chacune des photographies, l’artiste accomplit des actions qu’il met en scène à travers des poses qu’il emprunte à la chorégraphie du body-building et au processus d’une réassignation de genre female-to-male. Dans la première, il simule une injection de testostérone. Dans la deuxième, il joue avec la lame d’un bistouri à l’endroit où l’on distingue les cicatrices de sa mastectomie. Et dans la troisième, il exécute des flexions du bras à l’aide d’un haltère. En somme, il présente les étapes traditionnelles de la transformation d’un corps female-to-male : l’hormonothérapie, les chirurgies et la musculation afin de construire le nouveau genre masculin de son corps. Le sexe féminin, pourtant parfaitement visible, résiste à l’identification féminine du corps de l’artiste car, comme le suggère Josch Hoenes, « pour l’identification masculine, la présence du pénis est beaucoup moins significative qu’une poitrine codée masculine et la prise de poses spécifiques. » XX Dans cette œuvre, la relation ontologique du sexe et du genre est donc remise en cause du fait de la mutation possible du corps au contact des technologies transgenres, comme les hormones synthétiques. Dans une installation multimédia intitulée Sitting with (2010), l’artiste female-to-male Kris Grey présente une chaise et une…
- Page précédente
- 1
- …
- 23
- 24
- 25
- 26
- 27
- …
- 31
- Page suivante