Résultats de recherche pour “Frank P��” 31 à 60 (65)

Mortelle assemblée de copropriété

Comme chaque année, Jérôme se rend à l’assemblée générale de la copropriété de son immeuble. Et comme chaque année, il aurait…

Une île lointaine

Valentin a quinze ans et la vie devant lui. Son grand-père, cinq fois cet âge, et une maladie dégénérative qui rend sa fin de vie tristement tangible. Et puis, il y a Apollon,…

Les mardis d’Averell Dubois

Du plus grave au plus folâtre, voire au burlesque, la tessiture littéraire de Frank Andriat s’épanouit à tous les niveaux avec une liberté de cancre…

L'île noire

A la mort de leur père, l'énigmatique Capitaine Reyns, Frank et Robert, deux jeunes adolescents, se retrouvent seuls au monde, sans moyens d'existence et sans toit. Seuls ? Pas tout à fait…

Calcaire

Sur la route de Maastricht, une villa s'effondre brutalement, et son occupante occasionnelle, la fragile Lies, ne donne plus de nouvelles : son ami Frank Doornen la cherche partout. L'enquête…

WWW

Lien après lien, elle se tisse. Gigantesque, de ses fils invisibles, elle nous retient comme d’insignifiants insectes. Une fois pris, impossible de s’y soustraire, la moindre de nos vibrations émettant des multitudes…

L’ogre, c’est mon enfant

Dans l'espoir de cacher des blessures profondes qui saignent depuis des années, Catherine Saint-Georges, trente-quatre ans, s'est livrée à corps perdu…

C’est vous l’écrivain

Élargissant leur catalogue lexicographique bien connu, et peut-être inspirées par la vogue actuelle des « making of », les éditions…

Comme un rat

«  Plus nous avançons dans une langue et plus son mystère s’épaissit.  » Voici l’un des aphorismes que l’on peut glaner au fil de la déambulation à laquelle nous convie Jan Baetens, chasseur…

Lespolitichats

Il a beau dire, l’ami Frank, que ces nouvelles «  ne sont en rien un portrait exact de leur personnalité  » (Celle de ces «  stars politiques qui lui (en) ont donné l’idée  »)……

Les politichats

Il a beau dire, l’ami Frank, que ces nouvelles «  ne sont en rien un portrait exact de leur personnalité  » (Celle de ces «  stars politiques qui lui (en) ont donné l’idée  »)……

Les mardis d’Averell Dubois

Du plus grave au plus folâtre, voire au burlesque, la tessiture littéraire de Frank Andriat s’épanouit à tous les niveaux avec une liberté de cancre…

Lorsque la vie déraille

Dans le TGV Paris-Toulouse, en route pour le Salon du livre, un auteur supporte tant bien que mal le monologue prétentieux et vulgaire d’un écrivain à succès.Maria…

Mortelle assemblée de copropriété

Comme chaque année, Jérôme se rend à l’assemblée générale de la copropriété de son immeuble. Et comme chaque année, il aurait…

Une île lointaine

Valentin a quinze ans et la vie devant lui. Son grand-père, cinq fois cet âge, et une maladie dégénérative qui rend sa fin de vie tristement tangible. Et puis, il y a Apollon,…

Une cathédrale de sensations

Le lecteur qui s’engage dans les travées de la Recherche, ou bien qui considère la masse impressionnante de l’œuvre, a effectivement cette impression…

Abstraction and Comics. Bande dessinée et abstraction

Qu’en est-il de la bande dessinée dite abstraite ? Quels sont ses ressorts historiques, sémiotiques ou formalistes ? Le très beau coffret de deux volumes, Bande dessinée et abstraction, rassemble des contributions et des créations originales qui explorent la grande variété de l’abstraction en bandes dessinées. L’abstraction doit-elle être comprise dans le sens qu’elle a pris dans l’histoire de l’art, en peinture ? Peut-on dire qu’elle définit un tournant moderniste touchant les arts visuels alors que, ab initio , depuis l’origine de l’art, la tendance à l’abstraction est présente ? Les opérateurs identifiant une BD expérimentant l’abstraction varient en fonction des théoriciens : là où Ibn Al Rabin nomme abstraction le non-figuratif, Andreï Molotiu la resserre autour de l’éviction de la narration. Les créations du collectif WREK avec l’artiste-graveur Olivier Deprez, celles de Pascal Leyder, Frank Vega, Berliac, Francie Shaw, Ilan Manouach et bien d’autres jouent la carte de la tension, du dialogue non mimétique avec les textes. L’irruption de quelques planches abstraites dans une BD ou la construction d’œuvres graphiques entièrement soutenues par l’abstraction modifient le «  régime scopique du spectateur  » (Jacques Dürrenmatt). Si le terme de bande dessinée abstraite se répand dans les années 2000, auparavant, bien des artistes ont construit des œuvres reposant sur des images non figuratives, par exemple géométriques, ou invalidant le dispositif narratif. Au travers des contributions de Jan Baetens, Jean-Charles Andrieu de Levis, Kakob F. Dittmar, Paul Fisher Davies, Jean-Louis Tilleuil, Denis Mellier et d’autres, il appert qu’il n’y a pas une abstraction mais des abstractions. Certains créateurs maintiennent une visée diégétique, un récit tandis que d’autres l’évacuent. De même, certains recourent à la figuration, d’autres la subvertissent. Purification d’une forme qui sonde la seule dimension graphique, le voir, sans plus se diluer dans le raconter, attention exclusive aux qualités plastiques des images, veine underground, autonomiste refusant les codifications et les dogmes de la BD, les circuits de production et de réception, exploration libre, mutante des ressources du médium, interrogation sur la fabrique des images, contestation de l’auctorialité… la bande dessinée abstraite expérimente bien des formes qui secouent l’horizon d’attente de lecteurs habitués à la lisibilité d’un récit (personnages, actions,  péripéties, contexte spatio-temporel…), une lisibilité poussée à ses extrémités avec la ligne claire. Les titres, les textes accompagnant les images restaurent parfois une trame narrative, orientant la réception des lecteurs.Choisir l’abstraction, c’est aussi s’abstraire des comics, accomplir «  un geste de rupture qui cherche à s’abstraire plus ou moins radicalement de l’hégémonie du récit  » (Denis Mellier), opter pour l’a-narrativité, s’affranchir de la «  tutelle du récit  » ou/et rompre avec le champ du figuratif. Qu’elles contestent l’impératif narratif, la représentation figurative ou les deux, les expressions multiples de la bande dessinée abstraite déterritorialisent la sphère du neuvième art, y traçant des lignes de fuite, des dispositifs qui déstratifient le genre. Autrement dit, elles illimitent les possibilités du médium, jouant de tous les registres de la narrativité minimale, de la visée de son degré zéro ou de la métanarrativité comme de ceux du figuratif.«  Ses tendances [de la BD] à l’abstraction sont peut-être constitutives de son discours graphique…

Abstraction and Comics. Bande dessinée et abstraction

Qu’en est-il de la bande dessinée dite abstraite ? Quels sont ses ressorts historiques, sémiotiques ou formalistes ? Le très beau coffret de deux volumes, Bande dessinée et abstraction, rassemble des contributions et des créations originales qui explorent la grande variété de l’abstraction en bandes dessinées. L’abstraction doit-elle être comprise dans le sens qu’elle a pris dans l’histoire de l’art, en peinture ? Peut-on dire qu’elle définit un tournant moderniste touchant les arts visuels alors que, ab initio , depuis l’origine de l’art, la tendance à l’abstraction est présente ? Les opérateurs identifiant une BD expérimentant l’abstraction varient en fonction des théoriciens : là où Ibn Al Rabin nomme abstraction le non-figuratif, Andreï Molotiu la resserre autour de l’éviction de la narration. Les créations du collectif WREK avec l’artiste-graveur Olivier Deprez, celles de Pascal Leyder, Frank Vega, Berliac, Francie Shaw, Ilan Manouach et bien d’autres jouent la carte de la tension, du dialogue non mimétique avec les textes. L’irruption de quelques planches abstraites dans une BD ou la construction d’œuvres graphiques entièrement soutenues par l’abstraction modifient le «  régime scopique du spectateur  » (Jacques Dürrenmatt). Si le terme de bande dessinée abstraite se répand dans les années 2000, auparavant, bien des artistes ont construit des œuvres reposant sur des images non figuratives, par exemple géométriques, ou invalidant le dispositif narratif. Au travers des contributions de Jan Baetens, Jean-Charles Andrieu de Levis, Kakob F. Dittmar, Paul Fisher Davies, Jean-Louis Tilleuil, Denis Mellier et d’autres, il appert qu’il n’y a pas une abstraction mais des abstractions. Certains créateurs maintiennent une visée diégétique, un récit tandis que d’autres l’évacuent. De même, certains recourent à la figuration, d’autres la subvertissent. Purification d’une forme qui sonde la seule dimension graphique, le voir, sans plus se diluer dans le raconter, attention exclusive aux qualités plastiques des images, veine underground, autonomiste refusant les codifications et les dogmes de la BD, les circuits de production et de réception, exploration libre, mutante des ressources du médium, interrogation sur la fabrique des images, contestation de l’auctorialité… la bande dessinée abstraite expérimente bien des formes qui secouent l’horizon d’attente de lecteurs habitués à la lisibilité d’un récit (personnages, actions,  péripéties, contexte spatio-temporel…), une lisibilité poussée à ses extrémités avec la ligne claire. Les titres, les textes accompagnant les images restaurent parfois une trame narrative, orientant la réception des lecteurs.Choisir l’abstraction, c’est aussi s’abstraire des comics, accomplir «  un geste de rupture qui cherche à s’abstraire plus ou moins radicalement de l’hégémonie du récit  » (Denis Mellier), opter pour l’a-narrativité, s’affranchir de la «  tutelle du récit  » ou/et rompre avec le champ du figuratif. Qu’elles contestent l’impératif narratif, la représentation figurative ou les deux, les expressions multiples de la bande dessinée abstraite déterritorialisent la sphère du neuvième art, y traçant des lignes de fuite, des dispositifs qui déstratifient le genre. Autrement dit, elles illimitent les possibilités du médium, jouant de tous les registres de la narrativité minimale, de la visée de son degré zéro ou de la métanarrativité comme de ceux du figuratif.«  Ses tendances [de la BD] à l’abstraction sont peut-être constitutives de son discours graphique…

Calcaire

Après Bye bye Elvis (2014), qui retraçait la descente aux enfers et le décès de la grande star, Caroline De Mulder revient en terres mosanes et elle y décline un polar sombre à l’issue…

Jean Muno. La subversion souriante de l’ironie

C’est avec l’ironie pour fil conducteur qu’Isabelle Moreels étudie en profondeur l’œuvre de Jean…

Les recettes du polar sauce Lapin

Comme Joseph Delmelle jadis ou Joël Goffin naguère, Guy Delhasse est un chasseur de fantômes d’écrivains, c’est-à-dire qu’il s’est donné…

Un dernier ver ?

« Que peut-il arriver à un pt’it black, vêtu de sombre, (qui parcourt) la campagne par une nuit sans lune » ? [1]  Rien de bon assurément, répondrez-vous et vous aurez…

Divin Vinci, Léonard de Vinci, L’Ange incarné

À l’occasion du 500ème anniversaire de la mort de Leonardo da Vinci, le philosophe…

Comme un rat

«  Plus nous avançons dans une langue et plus son mystère s’épaissit.  » Voici l’un des aphorismes que l’on peut glaner au fil de la déambulation à laquelle nous convie Jan Baetens, chasseur…

C’est vous l’écrivain

Élargissant leur catalogue lexicographique bien connu, et peut-être inspirées par la vogue actuelle des « making of », les éditions…

WWW

Lien après lien, elle se tisse. Gigantesque, de ses fils invisibles, elle nous retient comme d’insignifiants insectes. Une fois pris, impossible de s’y soustraire, la moindre de nos vibrations émettant des multitudes…

Jean Muno. La subversion souriante de l’ironie

C’est avec l’ironie pour fil conducteur qu’Isabelle Moreels étudie en profondeur l’œuvre de Jean…

Les recettes du polar sauce Lapin

Comme Joseph Delmelle jadis ou Joël Goffin naguère, Guy Delhasse est un chasseur de fantômes d’écrivains, c’est-à-dire qu’il s’est donné…