Du haut de ses quinze ans, Valentin a des projets plein la tête, une famille formidable et Apollon, le chien qui a grandi avec lui. Son confident, son frère. Mais tout comme son grand-père adoré, Apollon décline dangereusement. Comment admettre que l’on peut perdre ceux qu’on aime lorsque la vieillesse n’est encore qu’une île lointaine ? Heureusement, il y a Marta, qui pose sur la vie de Valentin des gerbes de lumière.
Auteur de Une île lointaine
Né le 30 mars 1958 à Ixelles
Licencié en Philologie romane, Université libre de Bruxelles Professeur de français à l’Athénée Fernand Blum de Schaerbeek
Mes romans s'inspirent de la vie, du quotidien; ils parlent de moments et d'êtres qui nous rencontrent tous. Je travaille le matin. J'écoute le silence et c'est de lui que naissent mes mots, dans l'ouverture que je peux avoir sur le monde. Et, quand j'ai fini mon premier jet, je relis, je relis et je relis encore.
Lauréat d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2008Valentin a quinze ans et la vie devant lui. Son grand-père, cinq fois cet âge, et une maladie dégénérative qui rend sa fin de vie tristement tangible. Et puis, il y a Apollon, le drahthaar que Valentin a reçu pour Noël alors qu’il pouvait à peine parler, son meilleur ami, son confident de toujours, son frère. Lui aussi décline. Quatorze ans, c’est déjà un âge honorable pour un chien.Évidemment, les situations de ses deux êtres chers sont différentes mais elles comportent également leur lot de points communs. Valentin assiste impuissant à leur affaiblissement, tout en continuant de partager avec eux ses préoccupations d’adolescent. Pour séduire Martha, Papy reste de bon conseil. Et parler à Apollon permet d’avoir les idées claires.« Me…
Valentin a quinze ans et la vie devant lui. Son grand-père, cinq fois cet âge, et une maladie…