Résultats de recherche pour “L&” 14221 à 14250 (15282)
Ene bressene nén come les ôtes
[Economeye walone] I gn a tos les djoûs des bressenes ki s’ metnut so pî dins nosse payis walon. A Mont-Sint-Wubert, e Roman Payis, ene bressene nén…
Cahiers internationaux de symbolisme - 149-150-151 - 2018 - Guerre
Sommaire • Introduction par Catherine Gravet • Ulysse à l’école des héros par Catherine Gravet…
Pas simple de s’appeler Violette avec un profil de baobab
Il y a des romans où la réponse à cette question se construit dans l’ombre…
Concours Adaptez un classique 2024-2025
Chaque année, la collection Espace Nord organise un concours à destination des classes du secondaire, Ad@ptez un classique . Cette année, le concours se décline…
Appel à candidature : résidence BD jeunesse à la Marlagne
La Marlagne et le Service général des Lettres et du livre organisent une résidence pour un auteur ou une autrice…
Jean-Luc Outers: «La collection Espace Nord est devenue une marque»
Jean-Luc Outers dirigeait la Promotion des Lettres lors du rachat…
Appel à candidature : résidence d'auteur·trice jeunesse à la Marlagne
La Marlagne et le Service Général des Lettres et du livre organisent une résidence…
Appel à projets : Adaptation graphique d’une œuvre publiée dans la collection Espace Nord
La collection Espace Nord Fondée…
Un homme sort de prison. On comprend que c’était un prisonnier important. Les journalistes l’attendent. On lui demande : « Que comptez-vous faire maintenant ? »…
« – Vu vos antécédents dans l’armée belge et votre ancien mandat dans la police militaire, j’ai pensé à vous […] » (p. 10-11). Le Consul honoraire de Belgique…
Exister, résister. Ce qui dépend de nous
Après son très remarqué Global burn-out, après L’Âge des transitions , le philosophe Pascal Chabot nous livre un essai…
Créer des zones d’incertitude, d’opacité, mélanger l’angoisse des esprits brisés et l’horreur des corps torturés ; la plume de Patricia Hespel…
L’histoire de ce livre ne commence pas par « Il était une fois », mais par « Il y a des lunes et des lunes,…
À l’image traditionnelle d’un Norge (Georges Mogin, 1898-1990) poète humaniste, partagé entre la spiritualité et l’épicurisme, Daniel Laroche, dans sa conférence du…
─ Ah Freddo ça va être démentiel notre mariage ! ─ Putain de bordel de merde oui ma chérie (…) Se marier c’est punk, il nous faut un mariage punk ! Ça fait : on…
Marine, une jeune journaliste, était venue à New-York pour interviewer Wil.i.am des Black Eyed Peas, mais l’annonce de la mort de Stromae, dans une chambre…
Jean Ray / Thomas Owen. Correspondances littéraires
Commençons par la préface qui cadre bien les enjeux du livre. Arnaud Huftier y fait remarquer…
Tout au long des cinq parties qui composent son dernier recueil, Véronique Daine se garde bien de reprendre son souffle.…
Cowboy Henk et le gang des offreurs de chevaux
En 2014, la série de bandes dessinées Cowboy Henk recevait le Prix du Patrimoine au prestigieux…
Dans Le voyage de Luca , prix Rossel des jeunes en 2008, Jean-Luc Outers s’émerveillait au travers des yeux de ses personnages, incrédules sur les bords…
Naguère bourgmestre d’Ixelles, Willy Decourty renoue avec son passé de jeune rédacteur au journal Le Peuple, au temps des Golden Sixties , pour fourbir, avec Le flic évanoui ,…
Tu vas aimer notre froid. Un hiver en Yakoutie
Qui peut croire qu’au milieu de la Taïga, dans les confins gelés du monde, se trouve un petit bout de Belgique,…
L’enfance n’est pas qu’une période de notre existence. Elle constitue surtout cette inépuisable réserve d’impressions rétiniennes, olfactives, tactiles et sensorielles, bref sensuelles…
Le rire du jeune crocodile. Une enfance au Congo belge de 1950 à 1960. Récit d’une odyssée
Le récit que Jean-Marie Dubetz nous donne à lire est composé de fragments de son enfance dans l’ancien Congo belge, depuis ses premiers souvenirs jusqu’à ses dix ans. Il souligne d’entrée de jeu sa volonté de transmettre son histoire au sein de sa famille, mais aussi auprès d’un public plus large intéressé par son vécu particulier et l’empreinte que ce dernier a laissée sur lui, à savoir la capacité d’émerveillement de l’enfant face à la beauté du monde dans lequel il a grandi. Comment tant de souvenirs ont-ils pu rester marqués dès l’âge de deux ans dans ma mémoire ? Oserais-je dire qu’un coucher de soleil sur ce fleuve gigantesque ne pouvait que laisser des traces indélébiles ? La magnificence de la nature au milieu de laquelle je me trouvais a sans doute eu pour effet de stimuler une sensibilité prête à éclore. Est-ce un hasard si aujourd’hui je suis toujours prompt à m’émerveiller ? Mon regard semble en tout cas d’abord à l’affût du moindre signe de beauté. Ce n’est qu’ensuite qu’il relève ce qui malheureusement semble l’altérer. Jean-Marie Dubetz nous raconte ainsi son enfance divisée en deux parties : il passe les six premières années de sa vie sur plusieurs bateaux avec son père (qui est batelier), sa mère et son frère André. Ensuite, il mettra les pieds sur terre pour nous raconter les quatre années suivantes où il emménagera à Léopoldville, son père réparant désormais les cargos. L’auteur a pris le parti de raconter son histoire à travers son regard d’enfant. Une série de souvenirs juxtaposés nous sont donc dévoilés, où l’on devine en filigrane les particularités du régime colonial, la minorité dominante, le monde de privilégiés auquel appartient Jean-Marie. Maman salue, porte son attention à la santé des hommes. Quand il y a un souci, pendant la traversée, c’est à elle que l’équipage fait appel, car c’est connu, la femme du capitaine soigne aussi. Je vois, j’entends, je comprends. Ma langue est blanche comme celle de maman. Au creux des machines, dans les cales, au village, la noire chante, supplie ou crie. Tout en haut du bateau, la blanche prime. Pourquoi, comment ? Quand je parle blanc comme mes parents, le roi c’est moi. J’adore ça. Vous l’aurez compris, Le rire du jeune crocodile n’est pas un récit engagé qui aurait pour objectif de retracer minutieusement les détails de l’histoire de l’ancien Congo belge. Nous découvrons davantage au fur et à mesure des pages le questionnement d’un enfant, qui nous raconte essentiellement les bêtises qu’il a faites avec son grand frère, inconscient des dangers de la faune locale qui l’entourait (les crocodiles, les hippopotames, les mouches tsé-tsé et les moustiques prêts à transmettre la malaria n’étaient jamais loin). Lorsque le Congo est en passe de devenir un état indépendant, les émeutes, les troubles dans la capitale et le racisme envers les noirs sont en arrière fond, mais n’inquiètent jamais le petit Jean-Marie, dont la principale préoccupation est de s’amuser. Le rire du jeune crocodile est une histoire agréable à lire. Elle est préfacée par Pie Tshibanda, qui salue le travail de transmission et interroge sur le statut de réfugié, dans lequel nous pouvons tous un jour basculer. Un petit bémol : dommage qu’il y ait tant de fautes d’orthographe. Séverine…
Soucieux d’impliquer de la première à la dernière page de son roman historique, Thierry Jacquemin utilise deux outils. D’une part il chérit la personnification, une figure…
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