Résultats de recherche pour “Christian Rau” 451 à 480 (598)

Samwinne ås langues come li walon

C’ est ene novele idêye ki vént d’ aspiter dins l’ tiesse da Mitchî Francård, on waloneu k’ a stî eto on tins vice-recteur di l’ Univiersité…

Textyles 47 : Bruxelles - une géographie littéraire

« Un auteur français contemporain doté d'une certaine célébrité a intitulé un de ses romans : La carte et le territoire.…

Tu sais où tu vas

Né à Emmels en 1939, le poète Robert Schaus nous a quittés durant l’hiver dernier. Homme riche de deux cultures (et même de trois puisqu’il fut longtemps professeur d’anglais),…

Dossier pédagogique : Dotremont autrement

Carnet à destination des élèves du dernier cycle du primaire et du premier cycle du secondaire pour découvrir l'œuvre de Christian Dotremont Télécharger…

Twâs p'tits mots d' no tèrwâr

tripot : homonyme du français mais pas synonyme. Un tripot est un endroit où l'on joue pour de l'argent et ce mot est considéré comme péjoratif.…

Edito

El Fôkeûse a passè ! Cher amis lecteurs ! Ce titre que nous souhaitons utiliser le moins possible est hélas de circonstance. Le malheur que nous pressentions depuis quelque temps s'est produit le lundi…

Écrire les mots comme ils bougent : Le règne de la vie dans l’art

La vraie poésie est celle où l’écriture a son mot à dire. Christian Dotremont, « Signification…

Les sorties Genèse de janvier et février 2017

Trois parutions marquent le début de cette année 2017 aux éditions Genèse : la Vodka du diable de George Arion ; Hong-Kong Blues  d’Alain…

Espace Nord, le patrimoine littéraire à l’usage de tous

Espace Nord, collection patrimoniale dédiée aux Lettres belges francophones, fête en 2015 ses 32 ans et compte plus…

Des films au coeur du roman (dossier Littérature & Cinéma)

De Bernard Gheur (La bande originale) à Nadine Monfils (Mémé goes to Hollywood), de Michel Lambert (Fin de tournage)…

Enseigner la littérature française en Belgique francophone 1841-2009 – Anthologie historique commentée

Pédagogue de terrain au long cours, Françoise Chatelain est une praticienne passionnée, une vraie : professeur de français dans un athénée hennuyer pendant près de trente ans, elle est aujourd’hui inspectrice « de l’officiel » après avoir obtenu un doctorat à l’ULB (chez le Prof. Paul Aron, avec qui elle a signé un Manuel et anthologie de littérature belge à l’usage des classes terminales de l’enseignement secondaire , publié au Cri en 2009). Explicitement sous-titré Anthologie historique commentée , son dernier-né, intitulé Enseigner la littérature française en Belgique francophone , est le fruit ô combien comestible de cette thèse de doctorat. Car l’ouvrage est à la fois roboratif et digeste, savoureux et piquant. Parcourant plus d’un siècle et demi de programmes et de manuels, de théories et de pratiques pédagogiques dans l’enseignement du français, il ne cache rien des us et coutumes réellement vécus dans les classes ni des coups de sang et de gueule de francs-tireurs du métier. Pas plus d’ailleurs que des récits d’anciens potaches, quand ceux-ci, devenus écrivains, en font la matière même de leurs œuvres.Cela nous vaut de délicieux morceaux… d’anthologie ! Ainsi le grand Verhaeren n’hésitait-il pas à écrire au début du siècle dernier : « L’enseignement d’il y a vingt ans avait pour but sournois de vous dégoûter du génie. On choisissait les chapitres qui voisinaient avec les lieux communs les plus aplatis. On n’étudiait point un écrivain ; on vérifiait l’observation des règles dans un livre. »Le poète et essayiste Iwan Gilkin, un des « patrons » du mouvement littéraire de la Jeune Belgique, qui termina sa rhéto en 1876 à l’Institut Saint-Louis de Bruxelles, dénonce ci-après l’apprentissage des figures de style (pensum artificiel qu’on impose pourtant toujours à nos collégiens d’aujourd’hui !). « Il est nécessaire que les écoliers apprennent à distinguer le langage simple ou exact du langage figuré, mais la nomenclature et la classification des figures ne sont que passe-temps de grammairiens sur lesquels il est ridicule de les faire pâlir. C’est le picotin des Vadius et des Trissotin ; le véritable écrivain les emploie sans même y penser, comme M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Tout ce que les écoliers en tirent, c’est un répertoire d’injures savantes qu’ils se lancent à la tête durant les récréations : sale catachrèse ! ou prosopopée de malheur ! » Manifestement, Hergé et le capitaine Haddock avaient pratiqué Iwan Gilkin…Mais, trêve de plaisanterie, l’anthologie de Françoise Chatelain est avant tout un solide ouvrage sérieux qui offre à son lecteur une éclairante dimension historique explicitée par des commentaires jamais pédants. De plus, les pratiques récentes et contemporaines ne sont pas oubliées, loin de là, puisque nombre d’acteurs et de témoins de ces dernières années sont appelés à la barre. Témoignent ici les Quaghebeur, Klinkenberg, Aron, Rosier, Dumortier, Dufays… Passionnant !Un livre à conseiller à tout prof de français, à imposer à chaque inspecteur de la discipline, à faire mémoriser par tout chercheur en pédagogie, à injecter en intraveineuse à chaque ministre de l’Enseignement. Christian LIBENS ♦ Lire l’article  de Françoise Chatelain sur l’enseignement de la littérature belge dans …

Vacances Obligatoires en Famille

Les vacances en famille ! Le plus souvent, c’est un bonheur partagé. Un moment unique que l’on se dépêche de vivre intensément.…

Promenades littéraires au pays de Liège

Guy Delhasse est un récidiviste. N’a-t-il pas déjà publié une demi-douzaine de guides littéraires depuis 2007, fruits de flâneries…

Verhaeren.Un poète pour l’Europe

Poète majeur, dramaturge original, critique d’art intuitif et pénétrant, Émile…

Bribes

Voici une publication qui, par sa minceur et l’apparente évanescence du matériau qui la constitue, tranche avec la vie tumultueuse de son auteure. La biographie de Béatrix Beck est en effet hors-norme à…

Les recettes du polar sauce Lapin

Comme Joseph Delmelle jadis ou Joël Goffin naguère, Guy Delhasse est un chasseur de fantômes d’écrivains, c’est-à-dire qu’il s’est donné…

La Repasseuse

À l’image de la peinture de Konstantin Yegorovich Makovsky, datant de 1900, qui illustre la couverture, le style du roman La Repasseuse de Bénédicte Lapeyre ne brille pas par…

TeXTes

Éric CLÉMENS , TeXTes , 1970-2019 , anthologie composée par Dominique Costermans et Christian Prigent, CEP, 2020, 15 €, ISBN : 978-2-39007-054-2Éric CLÉMENS , Le fictionnel et le fictif , Essai sur…

Les seins des saintes

Peur sur Liège depuis qu’un gastronome d’une espèce particulière saigne des jeunes femmes, prostituées de préférence, en leur dévorant goulument les…

L’ABC du petit philosophe

On savait Pierre Coran poète. Avec ce recueil de maximes, on le découvre philosophe. Au fil de sa prolifique carrière d’écrivain…

L’in-temps

Le poème hubinien se développe autour d’un sans lieu qui n’est peut-être, pour citer Fernand Verhesen évoquant son expérience de la traduction, «  que le rien central dans le silence…

L’ardent dictionnaire des auteures & auteurs liégeois

Les éditions de la Province de Liège publient un Ardent dictionnaire des auteures &…

À mi-chemin entre Amsterdam et Paris, Septentrion, 50 ans de relations culturelles néerlandophonie - francophonie

En 2021, Septentrion fête son 50e anniversaire . Une publication de culture générale concernant le monde néerlandophone, mais dans la langue et à destination du voisin: c’est ce qui rend Septentrion unique. La revue a grandi, mûri, est devenue adulte, mais il y a eu constamment du mouvement à l’arrière-plan. Histoire, non seulement d’une revue, mais tout autant des relations culturelles, jalonnées de temps forts et de creux, entre la néerlandophonie et la francophonie. * Le succès d’une publication se mesure-t-il aux lieux où elle est l’objet de toutes les louanges? Peut-être bien. Le 18 mars 1981, le Flamand Jozef Deleu était l’hôte des salons de l'hôtel du Petit-Luxembourg à Paris, la résidence du président du Sénat Alain Poher. Étaient notamment présents Sadi de Gorter, premier directeur de l’Institut Néerlandais de Paris et ami fidèle de Deleu, et une brochette de hauts dignitaires de France, de Belgique et des Pays-Bas. Pas moins de quatre cents personnes ont assisté à la remise du prix Descartes à Deleu par Louise Weiss. La distinction était attribuée par l’Association France-Hollande, un organisme qui s’était assigné pour mission de promouvoir les liens culturels entre la France et les Pays-Bas. Son président, l’ancien préfet Yves Cazaux, s’est livré à un vibrant éloge de Jozef Deleu, qui, à la fois fondateur et rédacteur en chef de Septentrion. Revue de culture néerlandaiseXX , méritait ce prix plus que personne d’autre. Le premier numéro de Septentrion était paru en 1972. Deleu, fils d’une mère flamande et d’un père français, avait placé en exergue de son avant-propos une citation de Paul Valéry: “Enrichissons-nous de nos mutuelles différences”. Septentrion, revue de culture genérale, entendait offrir trois fois par an une information de qualité sur l’aire linguistique néerlandaise (soit les Pays-Bas et la Flandre, partie néerlandophone de Belgique) et mettre en évidence les influences réciproques entre la néerlandophonie et la francophonie. Avec Septentrion, Deleu n’en était pas à ses premières armes. En 1957 déjà, il avait fondé la revue Ons Erfdeel (à présent de lage landen), qui allait bientôt s’affirmer comme l’une des principales publications périodiques de culture générale en néerlandophonie. Le tout premier numéro portait d’ailleurs le titre Ons Erfdeel - Notre Patrimoine. Ce choix initial d’une édition bilingue trahissait le vif intérêt de Deleu pour la Flandre française. La rapide progression de Ons Erfdeel doit avoir été une surprise pour Deleu lui-même. Il était instituteur depuis de longues années, mais il quitta l’enseignement pour porter la Stichting Ons Erfdeel (Fondation Notre Patrimoine) sur les fonts baptismaux. Deux ans plus tard, en 1972, la fondation entamait la publication de Septentrion. L’immeuble construit pour la fondation est situé à Rekkem, en Flandre-Occidentale, à même la frontière franco-belge et juste à mi-chemin entre Paris et Amsterdam. Les choses bougent Nous pouvons dire aujourd’hui que Septentrion est né à un moment-clé. Un moment où le renforcement de l’autonomie culturelle des différentes communautés linguistiques de Belgique au sein du pays a engendré en Flandre un besoin accru de collaboration avec l’étranger. Quasi automatiquement, la Flandre s’est tournée en premier lieu vers les Pays-Bas. Le rapprochement avec le Nord a mené en 1980 à la création de la Taalunie, organe officiel qui allait développer une politique stimulante pour le néerlandais aux Pays-Bas et en Flandre (et, plus tard, également au Surinam) et se vouer au soutien du néerlandais dans le monde. L’année suivante s’ouvrait à Amsterdam la maison culturelle flamande De Brakke Grond. Sous l’impulsion, entre autres, de la Fondation Notre Patrimoine, des voix se sont également manifestées en faveur du développement d’un rapprochement culturel et d’une coopération avec d’autres pays. En Flandre (d’abord essentiellement dans la sphère privée, puis aussi dans une partie du monde politique), il apparaissait de plus en plus évident que des relations de bon voisinage sont primordiales pour une communauté de langue et de culture. Le plus proche voisin était la francophonie, elle méritait la priorité. De plus, la fixation de la frontière linguistique en Belgique (1963) avait atténué la crainte de l’impérialisme francophone. C’est dans cette atmosphère et ce contexte que Septentrion a vu le jour. Suspendus aux lèvres de Hugo Claus Éditer une revue en français sur les Pays-Bas et la Flandre, cela n’en restait pas moins une entreprise téméraire. Mais Deleu a su rallier à sa cause aussi bien des traducteurs talentueux que d’éminentes personnalités des sphères académique et sociétale belges et françaises pour constituer le comité de conseil. La rédaction ne comprenait pas seulement des Flamands, mais aussi, notamment, un Français et deux Néerlandais. La revue pouvait dès lors démarrer sur de bonnes bases. En feuilletant aujourd’hui les premières années de parution, on ne s’étonnera pas du succès de Septentrion. Dans la ligne de son objectif culturel au sens large, la revue offrait d’emblée une mine d’informations sur la littérature, les arts plastiques, une grande variété d’autres disciplines artistiques et des sujets sociaux d’intérêt général. Ces informations prenaient forme dans des articles de fond, mais aussi, au fil du temps, dans des textes plus courts en prise sur l’actualité. Une intéressante trouvaille a été celle des «lettres flamandes et néerlandaises», rendant compte, chacune à sa manière, de la vie culturelle et des thèmes généraux de société. À la fin des années 1970 paraît la première des “chroniques” pleines de verve de Sadi de Gorter. Ce compagnon de la première heure, passeur de cultures s’il en est, allait publier une “chronique” dans chaque numéro et ne s’arrêter que peu avant sa mort en décembre 1994. À partir de 1986, Septentrion a paru non plus trois, mais quatre fois par an. La rédaction a réussi à s’attacher davantage de plumes de qualité, auteurs et critiques qui (principalement dans le monde néerlandophone) jouissaient d’un grand renom. La presse française ne demeurait pas insensible aux objectifs de la revue et à sa haute tenue. Libération voyait en Septentrion “une contribution directe à la bonne entente entre les peuples dans le cadre d’une Europe un peu plus unifiée chaque jour”. En même temps paraissaient de plus en plus souvent des numéros plus volumineux dans lesquels un thème déterminé était présenté de manière approfondie. Quelques exemples au hasard: des numéros thématiques consacrés à la poésie contemporaine, tantôt néerlandaise, tantôt flamande, un autre à James Ensor, un autre encore à la Grande Guerre. Au début du XXIe siècle ont notamment paru des numéros thématiques sur l’Escaut et la Meuse, un sur le Québec et un sur les relations entre les Plats Pays et Paris. Ces deux derniers exemples nous amènent à une période où Jozef Deleu a cessé d’être le rédacteur en chef, Luc Devoldere ayant pris sa succession en 2002. Les numéros thématiques ont couramment donné lieu à l’organisation de soirées culturelles, souvent dans des salles de prestige ou autres lieux réputés, comme l’ Institut Néerlandais à Paris, le Théâtre de la Monnaie à Bruxelles, l’Opéra royal de Liège ou le Théâtre royal de Namur. Ces soirées ont toujours suscité un vif intérêt et ont, à l’occasion, été rehaussées par la présence de sommités. L’affiche n’était évidemment pas étrangère à cet engouement, notamment lorsqu’elle comportait des noms dont la réputation avait gagné la francophonie, tel l’écrivain Hugo Claus (1929-2008), venu en personne à diverses reprises donner lecture de quelques-uns de ses poèmes en traduction française. Chaque fois, l’assistance était suspendue à ses lèvres. Une excursion dans le nord…

Dotremont autrement : un concours

Ce concours est organisé par les AML  dans le cadre de la Fureur de lire et à l’occasion du centenaire de la naissance de Christian Dotremont. Un concours pour découvrir…

Li Rantoele - n° 97 - Printemps 2021 - Bontins 2021

Sommaire • Pont d’ tchance po Rawoul par Samuël Dumont • Fé come les Kebecwès par Georges Staelens • édito  : Ratacaedje…

Cahiers wallons-Rèlîs Namurwès - 2 - 2021 (84e année) - Mars - Avril 2021

Sommaire • Pârin a s' djoûrnéye par Benoît Deschamps • Al cache…

èl mouchon d'aunia - 2-2021 - Février 2021

Sommaire • Djoû d'iviér' par Dominique Heymans • Dè nos djoûs par Raymond Honoré • Cwayances dè Walonîye par Mouchon d'Aunia • Twâs…

èl mouchon d'aunia - 3-2021 - Mars 2021

Sommaire • Carnèval par David André • Istwâre dè guère par Lily Faes, texte inédit • Fayè tans par Christian Thonet • L'ortografe humanise l'orthographe…