De Bernard Gheur (La bande originale) à Nadine Monfils (Mémé goes to Hollywood), de Michel Lambert (Fin de tournage) à Christine Aventin (Breillat des yeux le ventre), de Christian Libens (Cinéma, poèmes) à Stefan Liberski (Le triomphe de Namur), nombre d’écrivains ont puisé dans le cinéma une inspiration pour leurs romans, recueils de poèmes et autres récits.
Trois d’entre eux – Francis Dannemark (La véritable vie amoureuse de mes amies en ce moment précis, Laffont, 2012), Luc Dellisse (Cinéma total, Luce Wilquin, 1999 ; Le Professeur de scénario, Impressions nouvelles, 2009) et Véronique Janzyk (On est encore aujourd’hui, ONLiT, 2014) – évoquent pour Le Carnet la place des films dans leur création romanesque.
Le Carnet et les instants : Vous avez tous les trois écrit un ou plusieurs livres, des fictions, dans lesquelles le cinéma joue un rôle central. Pourquoi parler de cinéma dans une œuvre littéraire ?
Véronique Janzyk : Dans mon cas, cela vient…
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