De Bernard Gheur (La bande originale) à Nadine Monfils (Mémé goes to Hollywood), de Michel Lambert (Fin de tournage) à Christine Aventin (Breillat des yeux le ventre), de Christian Libens (Cinéma, poèmes) à Stefan Liberski (Le triomphe de Namur), nombre d’écrivains ont puisé dans le cinéma une inspiration pour leurs romans, recueils de poèmes et autres récits.
Trois d’entre eux – Francis Dannemark (La véritable vie amoureuse de mes amies en ce moment précis, Laffont, 2012), Luc Dellisse (Cinéma total, Luce Wilquin, 1999 ; Le Professeur de scénario, Impressions nouvelles, 2009) et Véronique Janzyk (On est encore aujourd’hui, ONLiT, 2014) – évoquent pour Le Carnet la place des films dans leur création romanesque.
Le Carnet et les instants : Vous avez tous les trois écrit un ou plusieurs livres, des fictions, dans lesquelles le cinéma joue un rôle central. Pourquoi parler de cinéma dans une œuvre littéraire ?
Véronique Janzyk : Dans mon cas, cela vient…
Lettres de Liège. Littérature wallonne, histoire et politique (1630-1870)
Genre : Essais littéraires Editeur : en coédition avec Le Cri Format : 16 X 24 cm Nombre de pages : 253 p. Date de publication : 2012 ISBN : 978-2-8710-6593-7 Prix : 21,00 € À propos du livre L’ouvrage entend saisir une image des lettres dialectales, en région liégeoise, à trois moments privilégiés de leur histoire. Des Dialogues de paysans offrent un tableau des misères de la guerre au XVIIe siècle. Inscrits dans le cadre de conflits internationaux, ils se lisent également sur la toile de fond de la politique communale, où s’affrontent Chiroux et Grignoux. Le « Théâtre liégeois » du XVIIIe siècle renvoie à la guerre de Sept Ans et au choc culturel, notamment linguistique, que représente le contact avec les troupes françaises. Enfin, on met en évidence combien le « renouveau dialectal » du milieu du XIXe siècle, illustré par la création de la Société liégeoise de Littérature wallonne en 1856, est préparé par une importante production politique opposant catholiques et libéraux francs-maçons. Cette littérature militante comporte une évocation de la ville mosane et des bouleversements urbanistiques contemporains à laquelle l’amateur pourra trouver le charme des photographies d’autrefois. La « poésie ouvrière » y promène le lecteur des alentours du vieux pont-des-Arches, avec la « nouvelle » tour de Saint-Pholien, vers l’ancien Collège communal, le Jardin Botanique, le marché aux fromages de la place…
Corinne Mayère est une salariée pas très motivée d'Edéf qui décide d'écrire…
1920-1995 : un espace temps littéraire. 75 ans de littérature française en Belgique
En trois conférences d'une heure, dans le cadre des…