Né en 1969 à Brest, France
« Je profite de chaque nouveau livre pour approfondir mon style. Ce ne sont pas les histoires que je raconte, ou encore moins les thèmes, qui comptent, mais le style, la façon dont je raconte. Mon écriture est un mélange de spontanéité et de recherche sur la narration. J’aime écrire vite, très vite, après avoir mûri un projet longtemps. L’essentiel n’est pas ce que je raconte, mais comment je le raconte. Et je cherche le lien direct entre le gamin qui me lit et mon texte, sans intermédiaire adulte. » Plusieurs de ses livres sont traduits en diverses langues et ont reçu de nombreux prix.
Lauréat d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2013 & 2021
Parce que sa mère doit faire un truc, Émile doit aller dormir chez des gens. Des gens ! Des gens qu’Émile ne connait même pas. En plus, sa mère le prévient, ces gens ont une particularité. Un léger détail dont Émile ne devra surtout pas se moquer. Un gros nez. Un gros nez planté au milieu du visage de ces gens et dont il ne faudra rien dire. Comme un garçon obéissant, Émile…
Le plus mauvais livre du monde, c'est celui sur lequel on ne veut pas tomber, surtout lorsque l'on n'a plus de batterie sur son téléphone et de longues heures à ne rien faire. Mais il existe un sort bien pire encore : croiser par hasard l'auteur de ce livre particulièrement mauvais. Et lui parler.
Ils sont rares les livres qui parviennent non seulement à être drôles mais également…
Dans cette bourgade bourgeoise tout droit sortie d'un tableau du XVIIIe siècle, les habitants déambulent calmement. Tirés à quatre épingles, les enfants donnent sagement la main à leurs parents. Rires, jeux et rototos à table ne sont pas admis dans ce modèle d'éducation. C'est dans un ciel bleu immaculé qu'un drôle de phénomène se produit : tombe du ciel une averse de Fifi…
Voici une nouvelle aventure d’Emile. Et, dès le titre, le lecteur pressent qu’Emile va encore nous étonner. Car qui d’autre qu’Emile peut nous raconter une histoire avec un joint de culasse ? Dans cette histoire, Emile se retrouve en voiture avec un copain de maman. Et, manque de chance, le voyant rouge s’allume. Mais, par chance, cela fait dire beaucoup de gros mots au copain…
Vincent Cuvellier évoque, avec une infinie tendresse, l'amour indéfectible qu'il voue à son fils. « Je parlais, je parlais, je parlais, avec une voix tellement douce que je crois que ça a fait une chanson ». Cet homme, devenu père, endosse son nouveau rôle avec humour et sensibilité. « J'aimais bien quand mon fils pleurait, parce que je pouvais le coller contre moi et lui chanter une vieille…
Emile visite le musée et découvre des sculptures ainsi que des peintures classiques et contemporaines.