La cire moderne


RÉSUMÉ

Manu et Sam, deux jeunes hommes paresseux, reçoivent un courrier qui les invite à se rendre chez un notaire. Manu hérite d’un vieil oncle qui possédait une fabrique de cierges. Sam et lui se lancent alors dans une tournée des monastères dans l’espoir d’y écouler leur marchandise.




À PROPOS DES AUTEURS
Max de Radiguès
Illustrateur de La cire moderne
 Max De Radiguès (né en 1982) est auteur de bande dessinée et éditeur à L’Employé du Moi.

Il a publié trois livres à L’Employé du Moi : Antti Brysselissä, Jacques Delwitte — Little White Jack et L’âge dur, et a participé à de très nombreux collectifs en Europe et aux États-Unis. En 2009, il est invité pour un an de résidence au Center for Cartoon Studies, à White River Junction — Vermont, au côté notamment de James Sturm et Jason Lutes. Il raconte cette expérience au rythme d’une page par semaine dans Focus, le supplément culturel de l’hebdomadaire belge ; Le Vif l’Express. Celles-ci ont donné lieu à un livre. Pendant ce temps à White River Junction, paru chez 6 pieds sous Terre en 2011. Il repart sur le continent Américain en 2011, à Montréal, pour un séjour à l’atelier de bande dessinée « 7070 ». Il y écrit ses prochains projets, avant de revenir en France, pour une résidence au château Brignon à Carbon Blanc. En plus de ses livres, il aime multiplier les expériences de publication en ligne (via son propre site, grandpapier.org, Les autres gens et Flickr) et retourner à la photocopieuse, au fanzine et à la microédition. Ce qui a donné lieu à des projets comme L’âge dur et Moose, fanzines mensuels envoyés par la poste à ses abonnés.


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La cire moderne"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Avec Jean-Paul II, tome 1

L'enfance et la jeunesse de cet enfant polonais dans un pays envahi par les nazis…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…