Résultats de recherche pour “HERGÉ” 61 à 85 (85)

Tintin et la lune. Objectif lune. On a marché sur la lune

À l’occasion du cinquantième anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune, Casterman réédite…

Les aventures de Tintin : On a marché sur la lune (tome 17)

À l’occasion du cinquantième anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune, Casterman…

Hergé et la publicité

S’il est entre Magritte et Hergé un point commun autre que leur enracinement en Belgique, c’est le début de leurs carrières respectives dans le domaine…

Tintin. Du cinéma à la BD

Sur les connivences entre le cinéma et les Aventures de Tintin , l’on disposait déjà de multiples indications, grâce aux entretiens d’Hergé avec Benoît Peeters…

Le roi, Donald Duck et les vacances du dessinateur

Ce plat pays qui n’est plus tout à fait le sien puisqu’il est devenu français continue néanmoins…

Maisons d’écrivain: où en est la Belgique?

Pour une Europe des patrimoines littéraires? « Il faut des résistants à l’amnésie culturelle ambiante ». C’est par ces mots que Jacques…

Le Mystère Tintin. Les raisons d’un succès universel

Qu’elle est ingrate, l’admiration que l’on voue à Hergé, et plus particulièrement…

Simenon à Neufchâteau et la BD belge

La mémoire-papier des grands Belges : deux belles propositions de lecture en Province de Liège Etrange pays que le nôtre. Ramassé sur…

Georges Simenon et Pierre Assouline

Le vrai critique serait un personnage qui se promènerait silencieusement dans l’histoire racontée et en saisirait tout ce que l’auteur…

Brassens et Tintin. Deux mondes parallèles

Quoi de plus dissemblable, si ce n’est incompatible a priori, que les univers de Georges Remi, alias Hergé, et de Georges…

Jijé, l’autre père de la BD franco-belge

Deux chercheurs, l’un, Philippe Delisle, français, qui enseigne l’histoire contemporaine à l’Université de Lyon…

Enseigner la littérature française en Belgique francophone 1841-2009 – Anthologie historique commentée

Pédagogue de terrain au long cours, Françoise Chatelain est une praticienne passionnée, une vraie : professeur de français dans un athénée hennuyer pendant près de trente ans, elle est aujourd’hui inspectrice « de l’officiel » après avoir obtenu un doctorat à l’ULB (chez le Prof. Paul Aron, avec qui elle a signé un Manuel et anthologie de littérature belge à l’usage des classes terminales de l’enseignement secondaire , publié au Cri en 2009). Explicitement sous-titré Anthologie historique commentée , son dernier-né, intitulé Enseigner la littérature française en Belgique francophone , est le fruit ô combien comestible de cette thèse de doctorat. Car l’ouvrage est à la fois roboratif et digeste, savoureux et piquant. Parcourant plus d’un siècle et demi de programmes et de manuels, de théories et de pratiques pédagogiques dans l’enseignement du français, il ne cache rien des us et coutumes réellement vécus dans les classes ni des coups de sang et de gueule de francs-tireurs du métier. Pas plus d’ailleurs que des récits d’anciens potaches, quand ceux-ci, devenus écrivains, en font la matière même de leurs œuvres.Cela nous vaut de délicieux morceaux… d’anthologie ! Ainsi le grand Verhaeren n’hésitait-il pas à écrire au début du siècle dernier : « L’enseignement d’il y a vingt ans avait pour but sournois de vous dégoûter du génie. On choisissait les chapitres qui voisinaient avec les lieux communs les plus aplatis. On n’étudiait point un écrivain ; on vérifiait l’observation des règles dans un livre. »Le poète et essayiste Iwan Gilkin, un des « patrons » du mouvement littéraire de la Jeune Belgique, qui termina sa rhéto en 1876 à l’Institut Saint-Louis de Bruxelles, dénonce ci-après l’apprentissage des figures de style (pensum artificiel qu’on impose pourtant toujours à nos collégiens d’aujourd’hui !). « Il est nécessaire que les écoliers apprennent à distinguer le langage simple ou exact du langage figuré, mais la nomenclature et la classification des figures ne sont que passe-temps de grammairiens sur lesquels il est ridicule de les faire pâlir. C’est le picotin des Vadius et des Trissotin ; le véritable écrivain les emploie sans même y penser, comme M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Tout ce que les écoliers en tirent, c’est un répertoire d’injures savantes qu’ils se lancent à la tête durant les récréations : sale catachrèse ! ou prosopopée de malheur ! » Manifestement, Hergé et le capitaine Haddock avaient pratiqué Iwan Gilkin…Mais, trêve de plaisanterie, l’anthologie de Françoise Chatelain est avant tout un solide ouvrage sérieux qui offre à son lecteur une éclairante dimension historique explicitée par des commentaires jamais pédants. De plus, les pratiques récentes et contemporaines ne sont pas oubliées, loin de là, puisque nombre d’acteurs et de témoins de ces dernières années sont appelés à la barre. Témoignent ici les Quaghebeur, Klinkenberg, Aron, Rosier, Dumortier, Dufays… Passionnant !Un livre à conseiller à tout prof de français, à imposer à chaque inspecteur de la discipline, à faire mémoriser par tout chercheur en pédagogie, à injecter en intraveineuse à chaque ministre de l’Enseignement. Christian LIBENS ♦ Lire l’article  de Françoise Chatelain sur l’enseignement de la littérature belge dans …

Degrelle 1906 – 1994

Auteur de plusieurs ouvrages traitant des Templiers, de La religion d’Hitler ou encore de L’érotisme au Moyen Âge , Arnaud de la Croix nous livre aujourd’hui…

Cowboy Henk et le gang des offreurs de chevaux

En 2014, la série de bandes dessinées Cowboy Henk recevait le Prix du Patrimoine au prestigieux…

Le style potache

Denis SAINT-AMAND , Le style potache , La Baconnière, 2019, 190 p., 20 €, ISBN : 9782889600137À l’heure où les cancres délaissent les parties de morpion griffonnées…

Francophonie vivante - 1 - 2017 - Faites vos jeux !

Sommaire • Editorial par Jérémy Lambert ,  François-Xavier Lavenne ,  Laurence Pieropan • Le jeu de Colin-Maillard par Michel Arnold…

Editorial

L’année 2017 est une date importante pour l’Association Charles Plisnier : celle du 80e anniversaire du prix Goncourt décerné en 1937 à l’écrivain belge pour ses Faux Passeports. En…

Cahiers internationaux de symbolisme - 2008 - "Tempo di Roma"

Sommaire • Tous les chemins mènent à Rome : une rencontre inattendue entre Hergé et Curvers par Paul Aron…

Du livre au film (dossier Littérature & Cinéma)

L'adaptation d'œuvres littéraires à l'écran est aussi ancienne que le cinéma lui-même. En témoigne…

Comme un chef - la mise en cases - d'une passion dévorante

S’il fallait expliquer ce qu’est la découverte d’une passion à quelqu’un qui n’a encore jamais eu la chance…

Les métamorphoses de Spirou. Le dynamisme d’une série de bande dessinée

Il était grand temps que le célèbre groom noir jaune rouge acquière ses lettres de noblesse et rejoigne le panthéon des personnages les plus glosés du Neuvième art belge – aux côtés de Tintin, les Schtroumpfs, Gaston Lagaffe ou encore Lucky Luke… Voilà qui est chose faite grâce au somptueux recueil collectif Les métamorphoses de Spirou (papier glacé, nombreuse illustrations en couleur savamment agencées, etc.). L’intérêt du personnage de Spirou ne repose pas que sur son pedigree. Dans un chapitre inaugural captivant et à partir d’une seule planche, Dick Tomasovic décortique – avec le brio de Marey et Muybridge pour le galop d’un cheval – la dynamique du toujours bondissant, plongeant, cascadant, échappant, bifurquant Spirou.Spirou le bien nommé – car en wallon, le mot signifie « écureuil », le saviez-vous ? – est en effet le personnage en 2D le plus animé qui soit. Sa caractéristique principale est cette insaisissable fluidité qui fait de lui «  un absolu du mouvement  » (D. Tomasovic). En témoigne sa première apparition sous la plume de Rob Vel, le 21 avril 1938, en couverture du premier numéro du Journal de Spirou . Au moyen d’une habile mise en abîme, le dessinateur y narrait en sept cases la genèse de sa créature de papier, qui s’échappe de la toile sur laquelle il vient d’être griffonné pour prendre immédiatement vie et vivacité.La mobilité de Spirou n’est pas que visuelle car, au contraire de Tintin qui eut pour créateur unique Hergé (compte non tenu des ses innombrables parodies), le fringant rouquin connut de multiples avatars sous la plume d’héritiers successifs, parmi lesquels on compte notamment Jijé, Franquin, Greg, Jidéhem, Roba, Fournier, Nic et Cauvin. À chaque génération son Spirou donc (et bien entendu son Fantasio, son Champignac, son Zorglub, son marsupilami). Sans doute un attachement particulier peut-il se marquer pour « l’héritage franquinien », dans lequel nombre de puristes verront l’aboutissement de la série (lire à ce propos l’excellente étude qu’Erwin Dejasse livre au sujet de l’album le plus déjanté, Panade à Champignac ). Le but de l’ouvrage n’est pourtant pas de juger des qualités des différents repreneurs, mais bien de saisir l’évolution d’une figure qui, quel que soit le trait qu’on lui a donné, séduit à chaque coup son lectorat et l’emporte dans ses folles aventures. L’article de Gert Meesters sur les évolutions stylistiques de la série, depuis sa création jusqu’au travail contemporain de Munuera et Morvan, est à cet égard des plus instructifs.Composé d’articles généraux puis de focus – sur la préhistoire de Spirou, l’art de Jijé, le Franquin dialoguiste, une comparaison avec Lagaffe, le portrait fouillé de Zorglub, les pastiches –, ce livre constitue une référence incontournable, qui fera pousser aux fans comme aux…