Résultats de recherche pour “Marie LAMBERT” 1 à 30 (36)
14-18 - 100e anniversaire de la Guerre Le combat d'Ochamps Mise en page et impression : Province de Luxembourg
Marie-Jo Lafontaine : Tout ange est terrible
Véronique BERGEN , Marie-Jo Lafontaine. Tout ange est terrible , Lettre volée, 2020, 26 €, ISBN : 978-2-87317-565-8…
Sortie d’un mariage qui a duré neuf ans, Carol savoure sa solitude dans sa maison bruxelloise avec son chat Diego et sa chienne Gala. Bien dans son corps, dans sa vie…
Francophonie vivante - 1 - Mars 2015 - Que peut révéler l'humour?
Sommaire Textes d'Isabelle Acke-Fable / Marie-Ange Bernard / Isabelle Bielecki / Huguette de Broqueville…
Le Carnet et les Instants - 4e trimestre 2018 - Le Carnet et les instants 200
Sommaire • Ne penser qu’à ça (1993) par Amélie Nothomb • Splendeurs…
Knock Outisder ! Vers un troisième langage
À travers l'évocation du parcours de La « S » Grand Atelier (Vielsalm, Belgique), Knock Outsider , Vers un troisième langage envisage un véritable laboratoire artistique de la mixité.Faire voler en éclat les catégories, ouvrir de nouvelles perspectives de reconnaissance pour des créateurs traditionnellement positionnés en marge des grands courants artistiques, valoriser un « art brut contemporain » qui s'affranchisse de ses modèles historiques...Autant d'enjeux soulevés par les projets menés par l'association belge La «S» Grand Atelier avec des artistes porteurs ou non d'un handicap mental. Mixtes, les pratiques deviennent un terrain d'échanges où chacun, avec ses spécificités, entre en dialogue. Le langage d'un artiste rencontre celui d'un autre, la rencontre des deux langages en crée un troisième, inédit.Knock Outsider!est en quelque sorte l'acte de naissance de cette, de ces voie(s) nouvelle(s). Alternant textes de réflexion, chroniques, photographies et porte folios des oeuvres, ce livre propose plusieurs traversées : poétique, visuelle, documentaire et idéologique. Un manifeste qui sera suivi d'ouvrages et aventures réunis conjointement par La « S » et FRMK sous le nom Knock Out. Pour un constant aller-retour entre réalisations et relations. Pour une tension vive entre l'œuvre et l'humain. Vers un troisième langage.Avec les contributions de : Rita Arimont, Adolpho Avril, Jan Baetens, Alexandre Balcaen, Riccardo Bargellini, Richard Bawin, Marie Bodson, Paz Boïra, Kostia Botkine, Marcel Bugiel, Blu Cammello, Carmela Chergui, The Choolers, Nicole Claude, Nicolas Clément, Bruno Decharme, Arnout De Cleene, François de Coninck, Stéphane De Groef, Erwin Dejasse, Messieurs Delmotte, Laura Delvaux, Ludovic Demarche, Olivier Deprez, DoubleBob, Annabelle Dupret, Gustavo Giacosa, Dominique Goblet, Samuel Lambert, Sophie Langohr, Pascal Leyder, François Liénard, Thomas Mailaender, Teresa Maranzano, Barbara Massart, Barnabé Mons, Moolinex, Morvandiau, Pierre Muylle, Bruno Péquignot, Patrick Perin, Rémy Pierlot, Anne-Françoise Rouche, Marcel Schmitz, Dominique Théâte, Luc Vandierendonck, Thierry Van Hasselt, Won Kinny…
« Alors dans un frisson, s’ouvre l’espace derrière nous, seule confidence possible. » De but en blanc , le dernier opus en date de Jean-Marie Corbusier , publié…
« Écrire sur le vêtement, sur mon rapport au vêtement, ma relation au vêtement, obsessionnelle, compulsive, admirative, spontanée, fantasmée, ensorcelée,…
Voyage infini du songe Au pays du merveilleux Le ciel reflète les Variations d’un lac Le feuillage en filigrane Esquisse les secrets du soir L’on pourrait dire,…
Troisième volet du cycle Le monde encore une fois , Penser la perception fait suite aux ouvrages L’exclusion (2015) et Pas encore une image (2020) pour interroger le rapport, très…
Véronique BERGEN, Les danses de Roberto Succo , Maelström, coll. « Bookleg », 2023, 3 € , ISBN : 978-2-87505-480-7D’une densité dessillante,…
Georges Simenon et Pierre Assouline
Le vrai critique serait un personnage qui se promènerait silencieusement dans l’histoire racontée et en saisirait tout ce que l’auteur…
Panorama d’une littérature pour adolescents (Dossier)
Loin d’être cantonnée à un genre particulier , la littérature pour adolescents se…
Introduction (in Dossier La place Cockerill)
La place Cockerill et le Quai-sur-Meuse jouent un rôle particulier dans le cœur urbain de Liège. Le vaste espace public qu’ils…
Maisons d’écrivain: où en est la Belgique?
Pour une Europe des patrimoines littéraires? « Il faut des résistants à l’amnésie culturelle ambiante ». C’est par ces mots que Jacques…
Francophonie vivante - 4 - 2016 - Littérature et engagement
Sommaire • Editorial par Myriam Watthee-Delmotte • Le souffle du poète par Jérémy Lambert • Avant-propos.…
Vie du livre : La librairie labellisée, un lieu de qualité pour le lecteur et la promotion du livre
Poussez les portes des librairies labellisées ! Vous serez certain d’y trouver l’accueil digne du lecteur que vous êtes. La fête du livre y est perpétuelle : rencontres avec des auteurs, des illustrateurs, des éditeurs, heures du conte, ateliers thématiques, clubs de lecture pour tous les âges, expositions, séances de dédicaces, nocturnes... l’imagination est au pouvoir. Depuis 2007, un label des librairies contribue à valoriser un métier essentiel à la vie culturelle en Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB). Actuellement, 54 librairies sont labellisées en Wallonie et à Bruxelles (v. la liste en bas de page* ). Vous les identifierez grâce au logo du label qu’elles affichent. Onze critères, définis en concertation avec le Syndicat des libraires francophones de Belgique, permettent de déterminer les bénéficiaires du label « le libraire ». Ces critères ont fait l’objet en juillet 2013 d’un arrêté du Gouvernement de la Communauté française fixant le règlement d’usage et de contrôle de la marque « le libraire ». Ils peuvent se résumer en quelques mots clés : Primauté du livre, accueil par des libraires professionnels bien outillés et formés, acceptant la commande à l’unité et proposant un assortiment de nouveautés, d’ouvrage de fonds et de titres d’auteurs belges sans restriction de distributeur ou de maison d'édition. Ce label donne accès aux aides de la FWB qui sont principalement de trois ordres : des subventions pour l’organisation de rencontres littéraires et pour des abonnements à des outils bibliographiques professionnels, ainsi que des prêts sans intérêts pour l’aménagement et l’équipement des lieux. En 2016, la FWB a financé 314 animations littéraires dans 33 librairies labellisées et ceci ne représente qu’une petite partie du programme culturel développé par les libraires dans leurs murs ou en partenariat avec des théâtres, des centres culturels, des festivals, des écoles... La lecture : un enjeu global et territorial Pour qu’écoles, bibliothèques publiques, centres culturels mais également auteurs et éditeurs puissent agir ensemble pour le développement de la lecture, le déploiement d’un réseau dense de librairies indépendantes est essentiel. La lecture est un enjeu global et territorial capital : là où se développent bibliothèques et librairies, la démocratie se renforce. Les mandataires politiques qui s’emparent de cet enjeu territorial fort contribuent au vivre ensemble grâce au livre et à la lecture. Cette volonté politique peut notamment se concrétiser par le choix des critères d’attribution de marchés publics d’achat de livres permettant un véritable partenariat entre écoles, bibliothèques, centres culturels d’une part et librairies indépendantes d’autre part. Un accord-cadre Les collectivités locales et pouvoirs organisateurs des bibliothèques mais aussi des écoles sont confrontés à la passation de marchés publics de livres sans être toujours outillés pour fonder leur sélection sur des critères de qualité. C’est donc souvent le taux de remise qui détermine le choix. Dans cette logique, les librairies sont amenées à forcer leurs ristournes, risquant ainsi de mettre leur commerce en difficulté et les collectivités locales sont conduites à sélectionner des fournisseurs peu performants, voire défaillants. L’accord-cadre portant sur un marché de fournitures de livres (imprimés et numériques) du Ministère de la Communauté française vise à mettre fin à cette situation. Ce vaste marché public est accessible à tous les services de la Fédération Wallonie-Bruxelles mais également aux 102 pouvoirs adjudicateurs bénéficiaires qui s’y sont ralliés (villes, communes, pouvoirs organisateurs de bibliothèques...). Ce marché a été attribué en janvier 2017 à l’Association momentanée de libraires indépendants (AMLI) pour une durée de quatre ans. Cette association est composée de 50 librairies réparties sur tout le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les différents pouvoirs adjudicateurs pourront donc commander indifféremment dans ces établissements sans limitation d’aucune sorte et selon leur nécessité du moment. Par cet accord-cadre, la Fédération Wallonie-Bruxelles renforce son soutien aux bibliothèques publiques et au secteur de la librairie. Un décret pour soutenir entre autres les librairies Le réseau de la librairie indépendante, véritable poumon culturel et économique local, a été parfois mis à mal ces dernières années par différents mouvements économiques. Il revient aux autorités publiques de soutenir ce réseau constitué souvent de toutes petites entreprises pour maintenir la liberté de choix du lecteur, la profusion et la diversité culturelles, aux profits des auteurs, des éditeurs et de tous les citoyens, mais aussi pour éviter le processus de concentration tel qu’il s’est développé au Royaume-Uni, en Italie, en Flandre où les librairies indépendantes disparaissent au profit de chaînes qui influencent de manière restrictive les choix éditoriaux des éditeurs. Le projet de « Décret relatif à la protection culturelle du livre » est actuellement examiné par le Conseil d’État. Il devrait être voté fin 2017 pour entrer en application en 2018. Il a pour finalité de construire, en Fédération Wallonie-Bruxelles, une politique de soutien à la création, à la diffusion et à l’accessibilité des livres en limitant les remises autorisées et en abolissant la pratique de la « tabelle » ou mark-up (surcoût appliqué au prix des livres importés de France). Il a été rédigé après une concertation menée avec les associations professionnelles (la Maison des auteurs, l’Association des Éditeurs belges, le Syndicat des Librairies francophones, ProDiPresse, Espace Livre & Création) et les instances d’avis compétentes en la matière (le Conseil du Livre, le Conseil des Bibliothèques Publiques, la Commission d’Aide à l’Edition, la Commission d’Aide à la Librairie) et entend répondre aux demandes légitimes du secteur du livre. Parmi les nombreuses motivations exprimées par celui-ci, on relèvera notamment la protection de la diversité culturelle, la démocratisation du livre et la promotion de la lecture, la suppression de la « tabelle » devant mener à une diminution du prix payé par les consommateurs pour l’achat de livres édités en France (soit plus de 70% des livres achetés en Belgique francophone), une juste concurrence entre les librairies, les grandes surfaces et les sociétés de vente en ligne. « Le présent dispositif veut inscrire, dans les outils législatifs de la Communauté française, une mesure de politique culturelle globale visant le soutien aux acteurs du livre et plus spécifiquement aux créateurs (auteurs, illustrateurs, traducteurs...) et aux diffuseurs culturels que sont les différentes catégories de détaillants, et en particulier les libraires de premier et second niveaux. Il vient renforcer la politique du livre développée, entres autres, grâce au "Plan Lecture" (lutte contre l’illettrisme et le décrochage scolaire, promotion de la lecture dès le plus jeune âge...) » (extrait de l’exposé des motifs de l’avant-projet de décret) Le décret devrait ainsi définir les acteurs autorisés à déterminer le prix des livres (imprimés et numériques) vendus en Communauté française ; il devrait également fixer les limites des variations de prix, à la hausse comme à la baisse, en pourcentage et leur cadre temporel ; il déterminera les dérogations accordées pour l’achat de livres par certains organismes. Cette régulation du livre devrait permettre de faire respecter le prix créé par l’éditeur qui en gardera la maîtrise. Tous les détaillants pourront être en concurrence, non plus sur les taux de remise sans rapport avec la valeur réelle du livre, mais bien sur la fiabilité des services fournis, la variété, la disponibilité et la qualité de l’offre. En 2014 déjà, le Conseil du livre (en accord avec Het…