Résultats de recherche pour “les auteurs” 751 à 780 (899)

Concours La petite Fureur 2022 : les gagnants

Le concours "La Petite Fureur" est un concours littéraire de la Fédération Wallonie-Bruxelles s'adressant aux enfants et aux ados de 3 à 15 ans.…

Les Prix Lu et Partagé récompensent André Borbé et Léa Viana Ferreira

Les Prix Lu et partagé ont été décernés pour la première fois ce jeudi 30…

Textyles 57 : Ouvrir l'album

Les albums pour la jeunesse ont longtemps été délaissés par la critique académique en vertu d’une hiérarchie arbitraire et d’une histoire de la littérature pensée comme catalogue…

Textyles 53 : Malédictions littéraires

L’une des figures les plus saillantes de l’imaginaire littéraire est celle de l’écrivain maudit. Dominé par la souffrance, qui peut infléchir directement…

Textyles 45 : Les Passeurs - Médiation et traduction en Belgique francophone

«  Les Passeurs , le présent numéro de Textyles a pour objet le vaste…

Textyles : Revue des lettres belges de langue française

Textyles, revue des lettres belges de langue française , est une revue universitaire, qui paraît deux fois par an, sous…

Textyles 47 : Bruxelles - une géographie littéraire

« Un auteur français contemporain doté d'une certaine célébrité a intitulé un de ses romans : La carte et le territoire.…

Concours « Un auteur... Une voix » : édition 2023

Le concours Un auteur... Une voix est un concours organisé par la Roulotte théâtrale avec le soutien du service des langues régionales…

Carnet pédagogique des 10 mots - édition 2023

Cette année encore, pour prolonger le Livret des dix mots diffusé dans toute la Francophonie, la Direction de la langue française propose aux…

Dossier pédagogique : Quelques incontournables de la poésie belge

Un dossier consacré à la poésie belge qui propose une sélection d’auteurs incontournables…

Appel à candidature : résidence d'auteur·trice jeunesse à la Marlagne

La Marlagne et le Service Général des Lettres et du livre organisent une résidence…

Marine Schneider remporte la Pépite d'Or à Montreuil

Le salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil attribue chaque année ses récompenses, les Pépites. Trois de nos auteurs…

Grand concours de nouvelles de la Fédération Wallonie-Bruxelles 2022-2023

Vous avez envie d’écrire, vous écrivez ?   Alors lancez-vous, quel que soit…

Le Cahier pédagogique des 10 mots - édition 2022

Cette année encore, pour prolonger le Livret des dix mots diffusé dans toute la Francophonie, la Direction de la langue française propose…

Écrire les mots comme ils bougent : Le règne de la vie dans l’art

La vraie poésie est celle où l’écriture a son mot à dire. Christian Dotremont, « Signification…

Appel à textes pour la collection Evasion chez Académia

Vous aimez écrire ? Vous avez un manuscrit dans vos tiroirs ? Ceci devrait vous intéresser : les éditions Académia…

Appel à projets : bourses en littérature générale

La Direction des Lettres lance un dernier appel à projets en 2022 pour ses bourses littéraires La Direction des Lettres de la Fédération…

Dossier pédagogique : La littérature belge, une littérature spécifique ?

Ce cours présente une brève histoire de la littérature belge et de ses spécificités,…

Dossier pédagogique : Atelier d'écriture et d'illustration - En voyage

Carnet créatif à compléter à partir de 6 ans (en accompagnement) ou de 8 ans (en…

Avant-propos: Les oreilles du théâtre

Quarante ans déjà que le théâtre s’est découvert des oreilles. C’était dans les années 1980, Raymond Murray Schafer venait…

Prix Marcel Thiry : appel à candidatures

L’appel à candidatures est ouvert pour le prix Marcel Thiry 2022. Il récompensera un roman ou un recueil de nouvelles. Les candidatures sont attendues pour…

Drieu la Rochelle face à son œuvre

Pierre Drieu la Rochelle fait partie de ces auteurs (à juste raison) dont on ne peut prononcer le nom ou aborder les écrits sans…

Elvis Cadillac, King from Charleroi

Elvis a plutôt mal commencé dans la vie. Très jeune, sa mère a disparu (fuite vers une autre vie ou…enlèvement ?) et son père n’a…

« La Belgique même s’en est mêlée, justes cieux ! » Léon Bloy et la Belgique, I, Édition des écrits sur Léon Bloy publiés de son vivant par des Belges ou en Belgique

Premier d’une série d’ouvrages d’Émile Van Balberghe  sur Léon Bloy, celui-ci, « La Belgique même s’en est mêlée, justes cieux ! » Léon Bloy et la Belgique, I , est dévolu à l’édition des écrits sur Léon Bloy, publiés de son vivant, par des Belges ou en Belgique. La matière est considérable, constituée par un corpus documentaire établi avec précision et rigueur, en recourant toujours aux documents originaux, par cet érudit de l’extrême qu’est Émile Van Balberghe. Pourquoi Léon Bloy a-t-il intéressé autant ses contemporains belges, écrivains et critiques ? On peut se poser la question, sachant que cet imprécateur professionnel n’a pas manqué d’assassiner aussi la Belgique de ses propos : Si vous êtes un poète et un chrétien, fuyez la Belgique. Ce pays est incontestablement le chef-lieu de l’Hypocrisie, de l’Avarice, de l’Imbécillité catholiques. […] La bassesse belge est unique  ; et n’a d’égale que la sottise… S’il ne vint jamais en Belgique, ce fut la Belgique qui vint à lui, comme le souligne Pierre Glaudes dans sa préface. C’est bien le pays avec lequel il eut le plus de contacts, d’échanges et aussi de démêlés parfois comiques.L’intérêt de cette réunion de textes est multiple. Outre le fait que l’activité critique belge à l’égard de Bloy a fait le pendant à la fameuse « Conspiration du silence » en France, qu’elle compensait, d’une certaine manière, c’est un pan entier de l’histoire littéraire de la fin du XIXe siècle qu’elle met au jour et elle nous permet de renouer avec l’effervescence des revues d’avant-garde en Belgique. L’approche de cette copieuse documentation est aisée tant son organisation est minutieusement réglée. Elle est d’ailleurs annoncée très explicitement, après la préface de P. Glaudes et une introduction stimulante de l’auteur, dans un chapitre très clair décrivant l’économie de l’ouvrage.Qu’en est-il de ces écrits divers, lettres, articles, communications, échanges avec Léon Bloy ou à propos de ses publications, « en Belgique ou par des Belges » ? Lors de cette période, qu’on désignait jusqu’il y a peu sous la dénomination « Fin de siècle », moins nette aujourd’hui, la vie littéraire était très vivante en Belgique : efflorescence de revues, grandes et plus petites, et donc de critiques, attentifs à ce qu’il se passait, tant en Belgique qu’en France. Ce fut une période faste pour la littérature belge ; pour le naturalisme et surtout pour le symbolisme, dont les productions imprimèrent un essor majeur à nos lettres. En ce qui concerne précisément Léon Bloy, qui n’appartient proprement à aucune de ces deux mouvances, pas plus en France qu’ailleurs, bon nombre de littérateurs ou de critiques s’intéressent très tôt à ses écrits, la frontière n’étant guère difficile à franchir pour les publications françaises, de quelque qualité qu’elles soient. Sans entrer dans le détail de cette période assez longue de la réception des publications de Bloy recensées dans le présent volume (1883-1916), ni nécessairement suivre l’ordre chronologique des parutions tel qu’il est rigoureusement respecté ici, il faut en retenir les contributions les plus éminentes et probablement les plus influentes, alors ou aujourd’hui. Il est en effet remarquable que, face à cette « conspiration du silence », dont Bloy fera très tôt et pour longtemps son fonds de commerce, les écrivains et critiques belges se prononcent d’abondance, et généralement de façon très positive voire enthousiaste.Le plus remarquable de ces avis est sans aucun doute celui de Verhaeren. Avec d’entrée une exclamation aussi retentissante que « Voici quelqu’un ! », le commentaire ne peut être que vibrant autant qu’attentif. Des Propos d’un entrepreneur de démolitions , un livre que « tout le monde ferait bien de lire », il évoque « une témérité hirsute, une impudeur sacrée, une rage pie » ; une « rage arborée », inique parfois, mais toujours « belle, rude, sincère ». Selon  Verhaeren toujours, qui nous donne à lire dans ses critiques lucides la même démesure inventive que dans sa poésie, Le Désespéré « s’impose avec toute la force de ses qualités dominantes : la sincérité, l’originalité, la force », mais aussi la « douceur insigne ». Edmond Picard lui aussi réagit très explicitement à l’irruption bloyenne et offre l’hospitalité de L’Art moderne à « ce grand artiste à plume poignardante » : « un des plus étonnants phénomènes littéraires de ce temps ».Il va sans dire que Bloy est très attentif à ces articles laudatifs et qu’il s’ensuit toute une correspondance, qui n’ira pas sans heurts, le temps passant et les humeurs se dégradant.Ainsi en ira-t-il, par exemple, de ses relations avec Edmond Picard, avec lequel il se querellera. Mais ce dernier, à l’occasion d’un compte rendu de Exégèse des lieux communs , dans Le Peuple , cette fois, tentera par des éloges un peu épais d’effacer cet épisode.Camille Lemonnier qui parrainera Bloy et le fera entrer au Gil Blas , pour un temps assez bref au demeurant, n’est pas avare de louanges et, dans L’Estime littéraire , trace un portrait élogieux de « l’hyperbolique et grandiose Léon Bloy, le génie le plus classiquement latin dans la littérature française depuis trois siècles ». Il y revient dans ses Souvenirs littéraires .Autre grande voix, celle de Max Elskamp, que Bloy n’identifiera pas sous le pseudonyme d’Em. Haëe, qui publie dans Le Spectateur catholique un article où il le qualifie de « Père des lettres françaises » mais où il exprime aussi une infinie compassion pour la pauvreté, le dénuement, le désespoir pitoyables de ce « Prince de la souffrance ». Quelle est, pour l’auteur du Désespéré , l’observation la plus gratifiante ? Il ne manque en tout cas pas d’y voir une « consolation ».Maeterlinck, dans une lettre à Louis Vauxcelles qui avait publié une interview de Bloy, évoque à propos de La Femme pauvre le génie, lorsqu’il ose une comparaison avec Le Roi Lear. Jules Destrée s’exprimera plusieurs fois et longuement sur Léon Bloy. Dans Notes et silhouettes , il analyse les écrits de plusieurs pamphlétaires et notamment compare Vallès et Bloy qui a nettement sa préférence et est pour lui est au moins des deux le « plus littéraire des pamphlétaires». Opinion sur laquelle il reviendra, reconnaissant tout de même à Vallès d’incontestables qualités d’écrivain déployées dans la trilogie des romans tandis qu’il définira ainsi Sueur de sang  de Bloy : « ignoble et sublime ».Hubert Krains dira son admiration plus précisément à propos de Christophe Colomb devant les taureaux  : Bloy est « un tireur merveilleux, qui n’égare jamais une balle », avec les « raffinements d’un artiste moderne » et la « sauvage grandeur d’un écrivain biblique ».Certains nuancent leur avis. Jean d’Ardenne, qui s’étonne du silence français alors que tant d’auteurs médiocres jouissent des faveurs de la critique, regrette le cynisme, l’excès, le paroxysme du Désespéré , dont il loue tout de même « l’inouïsme ». Maurice Dullaert dans Le Magasin littéraire est plus dubitatif. Ce qui donne lieu à un échange de correspondance prolongé : Bloy qui ne supporte pas la moindre remarque restrictive le traite de dilettante .Quant à Georges Rency qui y va franchement (« Il faut oublier sa personnalité antipathique pour ne considérer que ses beaux livres »), il donne à l’auteur de La Femme pauvre une leçon d’humilité en le comparant avec le Zola de La Faute de l’abbé Mouret , mais il reconnaît que la langue de ce « grossier personnage » est « une merveille ».Bloy le traite d’imbécile !On…

Palmes dans l’azur. Roman bossa-nova

Il est des auteurs de chez nous dont la terre d’élection – réelle et littéraire – se situe bien loin des banquets à la…

L’Esprit frappeur, récit d’une aventure théâtrale

Les souvenirs de spectacles sont des lucioles, elles surgissent…

Cuistax – Compilax

Observer les voyageurs de la nuit avec Jina Cho, reconnaitre des becs oiseaux avec Loïc Gaume, retrouver les sept différences dans un panier de légumes avec Anne Brugni, ou cuisiner…

Non Dits

Non dits , qu’est-ce que c’est ? Un ouvrage de photographies. Mais pas que. Une boîte à imaginaire aussi. Une mécanique jouissive faite pour que, mine de rien, on se raconte des…