Résultats de recherche pour “Jacqueline Harpman” 31 à 60 (62)

Récit de la dernière année

Delphine, cinquante ans, apprend qu'elle a un cancer du poumon avancé et irrémédiable. La mort est conçue comme un scandale qui surgit indûment…

En toute impunité

Le narrateur tombe en panne de voiture non loin de La Diguière. Cette propriété du XVIIIe siècle est la seule raison de vivre de trois générations de femmes, une…

Jacqueline Harpman : Dieu, Freud et moi : Les plaisirs de l'écriture

Professeur, critique et conférencière, attachée à la littérature…

Ève

Chère Madame Harpman, Je viens de lire , sur le conseil de Marie, les histoires que vous avez écrites à son sujet et au sujet d'Antigone et de Jeanne. Je suis peu instruite, il n'y a que deux ou trois siècles que j'ai appris les alphabets,…

Sève de femmes

La peinture de nus féminins, signée Geneviève Van Der Wielen, en couverture du recueil de nouvelles de Christian Libens, Sève de femmes , ainsi que son titre, pourraient le ranger…

Solbosch

La littérature naît dans des lieux, elle s’en inspire, elle les imprègne, elle s’y imprime. Chaque jour, nous croisons, sans le savoir, les routes d’écrivains – anciens ou contemporains…

De l’insulte… aux femmes

Déjà Jacqueline Harpman vomissait la qualification de “pisseuse” décernée par son père à sa naissance, fût-ce dans un roman comme La Fille démantelée.…

Bruxelles et l'amour

Si une ville est un lieu chargé d'histoire, elle est aussi le repaire sacré de l'amour. Nul besoin d'entendre fredonner un gondolier pour attirer les amants : on peut…

Les résultats du concours Ad@ptez une classique sont connus !

Plus de 500 élèves ont participé à l'édition 2022-2023 du concours, qui mettait à l'honneur deux femmes…

Concours « Ad@ptez une classique » : les inscriptions sont ouvertes

Le concours  Ad@ptez une classique  met cette année à l’honneur  Jacqueline Harpman  et …

Dossier pédagogique : Le Bonheur dans le crime

Dossier pédagogique accompagnant le roman Le Bonheur dans le crime de Jacqueline Harpman Ce dossier pédagogique présente la structure du récit…

Présentation

Qu’y a-t-il de commun entre les récits conjecturaux de Rosny aîné, le space opera des aventures de Blake et Mortimer, les récits de l’étrange de Franz Hellens ou Thomas Owen…

Dossier pédagogique : Amours, toujours

Dossier pédagogique consacré à Amours, toujours de Jacqueline Harpman Télécharger en PDF https://objectifplumes.be/wp-content/uploads/2022/11/Dossier-pédagogique-Amour-toujours-de-Jacqueline-Harpman.pdf…

Septentrion - magazine n° 10 - 2-2024 - 2e semestre 2024

Sommaire • Le littoral aux Pays-Bas, en Belgique et dans le nord de la France. Mer, sable et béton par Jeroen Cornilly…

Espace Nord, le patrimoine littéraire à l’usage de tous

Espace Nord, collection patrimoniale dédiée aux Lettres belges francophones, fête en 2015 ses 32 ans et compte plus…

Dossier pédagogique : La dormition des amants

Le dossier pédagogique vous invite à découvrir La dormition des amants de Jacqueline Harpman , un roman aux allures historiques qui traite de …

Dossier pédagogique : La Fille démantelée

Dossier pédagogique accompagnant le roman La Fille démantelée de Jacqueline Harpman Le carnet pédagogique vous invite à découvrir un roman qui,…

Rouge encor du baiser de la reine

Étonnant, ce premier livre d’Anne Karen, qu’on n’ose appeler roman tant son atmosphère est poétique et son étrangeté féerique par endroits.…

Imaginaire de l’insolite et problématique identitaire dans les lettres belges francophones. Un nouveau fantastique ?

Une énième étude sur le fantastique belge ? Le sujet n’est-il pas rebattu ? Et des spécialistes de la carrure d’un Baronian ne se sont-ils pas assez exprimés sur la question pour qu’on puisse enfin considérer le terrain comme défriché, balisé, connu ? Le spécialiste en comparatisme dans le domaine francophone Bacary Sarr anticipe cette remarque en avertissant d’emblée que son étude ne fera intervenir nul bestiaire à cornes ou à canines et ne convoquera aucun esprit à coup de table tournante. Se démarquant en effet du «  fantastique conventionnel  », il privilégie celui «  qui se fonde sur une perception intérieure particulière de la réalité  ». Les auteurs réunis dans son corpus sont loin des Jean Ray, Thomas Owen, Franz Hellens et autres «  maîtres-fantastiqueurs » traditionnellement convoqués quand il s’agit d’investiguer dans l’imaginaire de nos Lettres. Sarr s’est penché sur des œuvres que l’on rattache a priori avec moins d’évidence à la veine fantastique, signées par Pierre Mertens, Dominique Rolin, Guy Vaes, Jean Muno et Jacqueline Harpman. Entre ces étoiles d’apparence bien éloignées se dessine une subtile constellation, dont les traits communs s’appellent d’une part « belgitude » et d’autre part, « étrangeté ».« Belgitude » car ces plumes, majeures dans notre historiographie littéraire, émergent dans un contexte pétri de doutes et d’interrogations quant à leur situation par rapport à l’institution littéraire et aux instances de légitimation. En porte-à-faux entre les identités, «  périphérique  », «  marginal  », l’écrivain francophone belge de l’après-guerre part immanquablement en quête de soi. Il plonge vers ses racines les moins stables pour affronter ses angoisses les plus profondes. Il évolue en perpétuelle zone d’inconfort à l’égard de sa langue comme de son identité culturelle.L’étrangeté du monde qu’il perçoit se réverbère dans l’intime conscience du sujet, en prenant un tour «  moins spectaculaire, mais insidieusement discret  ». Avant d’étudier les cas, Bacary Sarr propose une relecture globale de notre tradition littéraire de l’étrange, déjà bien présente à la fin du 19e siècle au cœur du naturalisme et du symbolisme. Le fantastique y figure à la fois un point de communion (parce qu’il franchit la barrière des genres pour se diluer dans toutes les œuvres de l’époque, même à très faible dose) et de rupture (en conférant une coloration «  nationale  » à ces deux écoles littéraires, il les singularise au sein d’un espace européen où elles sont omniprésentes).La matrice de nos lettres semble dès lors vouée à enfanter, selon «  une implacable mécanique des doubles  », une kirielle de Janus à l’identité complex(é)e, en équilibre entre le réel et… Et quoi, en fait ? Le surréalisme ? L’irréel ? L’imaginaire ? La fiction ? Tout cela, et autre chose encore, qui hante sourdement le «  moi inhabitable  » de nos romancières et romanciers.En offrant ce nouveau cadre de réflexion, Bacary Sarr ouvre des perspectives multiples. L’une d’elle est peut-être l’ébauche d’un nouveau paradigme pour situer les lettres francophones de Belgique : les œuvres analysées ( Dulle Griet , Ripple-Marks , Octobre long dimanche , Terre d’asile , Le bonheur dans le crime ) ne sont-elles pas emblématiques d’une création littéraire davantage en quête de centre que de sens ? Ce qui en fait alors la beauté n’est pas leur but ultime, mais le voyage intérieur qu’elles…

Bon-A-Tirer - collection 1 - 1er décembre 2017 - Retour sur BAT 2001-2002

Sommaire • Le Poète Ronald Hansen par Hugo Claus • Louis par Béatrix Beck…

Le Futur de l’archive et l’Archive de demain

Contrairement à l’image poussiéreuse que lui prête l’imaginaire populaire, l’archive est avant tout une affaire d’avenir. Dans la…

Maisons d’écrivain: où en est la Belgique?

Pour une Europe des patrimoines littéraires? « Il faut des résistants à l’amnésie culturelle ambiante ». C’est par ces mots que Jacques…