Sept machines à rêver


RÉSUMÉ

Un amour qui n’en finit pas de mourir, des pas dans les fougères, une ville de Germanie que l’on a peut-être connue, un homme que l’on attend et qui frappe à la porte tandis qu’on agonise. Sept machines à rêver, comme autant d’engrenages musicaux et végétaux, qui laissent au réveil un souvenir fiévreux de mystères inviolés. Premier recueil de nouvelles de Gaston Compère, édité en 1974 par Pierre Belfond, Sept machines à rêver a révélé…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Gaston Compère
Auteur de Sept machines à rêver
Sans compromis, hautement originale, parfois d'abord difficile, l'oeuvre de Gaston Compère apporte beaucoup à celui qui s'y attache et qui sait que lire, c'est relire. Elle est riche de substance et complexe; elle associe, dans sa forme, des qualités que l'on croirait contradictoires. L'écrivain pratique tous les genres importants : poésie, roman, nouvelle, essai, théâtre. Il renouvelle sans cesse son écriture tout en gardant un style propre. Sensible aux grands courants littéraires passés et présents, il ne sacrifie pas aux modes. Il est, pour reprendre les termes de Frank Andriat, un de nos auteurs les plus réputés. Né à Conjoux en 1924, Gaston Compère aime la province et s'en inspire souvent. Docteur en philologie romane de l'Université de Liège, après avoir défendu une thèse sur le théâtre de Maeterlinck, il se remet, à trente ans, à l'étude de la grammaire et de la stylistique. Il a une étonnante maîtrise des ressources de notre langue, sait avec précision évoquer le mystère. Par ailleurs, il possède une solide formation musicale. D'où sans doute cette sensibilité aux rythmes, aux sonorités, aux harmonies des mots et des phrases, tout comme, d'ailleurs, beaucoup d'exigence en matière de composition, d'architecture. Il a enseigné à l'Athénée d'Ixelles, ce qui ne l'a pas empêché de publier une oeuvre abondante. Sa rencontre avec Marcel Thiry lui a permis de connaître André De Rache qui révèle Géométrie de l'absence à un public de lettrés. Plus tard, un jeune éditeur parisien, Pierre Belfond, lui accorde sa confiance. Le succès d'une oeuvre telle que Je soussigné Charles le Téméraire, Duc d'Occident, qui a fait l'objet d'une présentation à l'émission de Bernard Pivot, Apostrophes, montre quelle large audience Gaston Compère a acquise dans la francophonie. Les pièces qu'il a écrites ou adaptées sont jouées sur les scènes les plus importantes de la capitale : Le rideau de Bruxelles, Le théâtre du Parc, et Le théâtre de poche. En 1988, Gaston Compère a obtenu, pour l'ensemble de son oeuvre, le Grand Prix international d'expression française décerné par la Fédération internationale des Ecrivains de langue française. Gaston Compère est décédé le 14 juillet 2008 à Uccle.

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